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Une soirée autour de la trame verte et bleue au Roudour avec les étudiants de Suscinio

Que se trame t-il autour de chez vous ? Tout savoir sur les reservoirs et corridors ėcologiques des communes morlaisiennes, venez nombreux!

Afin que les espèces animales puissent retrouver le réseau écologique, dont dépend leur cycle de vie, un maillage, nommé La trame verte et bleue, est en cours de conception dans le territoire de Morlaix (Finistère). Des étudiants en BTS en gestion et protection de la nature au lycée de Suscinio accompagnés de 6 enseignants et du directeur du centre culturel de Ti an oll, prêtent main-forte à Morlaix communauté et au CPIE pour définir le projet.
Ils vont aller sur le terrain à la rencontre des habitants, des entrepreneurs, des élus… Ils ont préparé des questionnaires et des entretiens pour recueillir l’avis des uns et des autres sur un sujet inconnu du grand public . Le but est de sensibiliser, d’identifier les besoins selon les secteurs, mais aussi d’apporter des solutions pour stopper la fragmentation de l’habitat et de créer des corridors et reservoirs écologiques.

Mercredi 27 mars, à 20 h, les rencontres et enquêtes menées par les étudiants seront synthétisées et présentées de manière ludique et interactive au Roudour, à Saint-Martin-des-Champs. Nous espérons que le public viendra en nombre, ce sera l’occasion de partages importants!




L’Ecocentre Trégor de Pleumeur-Bodou (côtes d’Armor – 22) propose trois missions de services civiques à pourvoir pour le 18 février

L’Ecocentre Trégor de Pleumeur Bodou (côtes d’Armor – 22) propose trois missions de services civiques à pourvoir pour le 18 février, d’une durée de 8 mois (30 h/semaine)

Présentation de l’Écocentre:

L’Ecocentre trégor est un centre de découverte et d’expérimentation autour de l’écologie pratique, ouvert au grand public une partie de l’année. On y trouve un potager pédagogique, un sentier interactif sur les énergies, un espace dédié aux jeux en bois, un sentier nature et pied nus et des espaces enfants. Cette partiepeut être visitée librement. L’association propose des stages et des animations pour petits et grands à des prix abordables pour chacun. Le but est de sensibilise rle plus grand nombre de personnes aux enjeux écologiques tout favorisant le côté ludique.
Les missions proposés ( cliquer sur les intitulés des missions pour avoir leurs descriptions ):
[ http://www.ecocentre-tregor.fr/wp-content/uploads/2015/03/Mission-Service-Civique-2019-Escape-Game-LEcocentre-Tregor-.pdf ]
[ http://www.ecocentre-tregor.fr/wp-content/uploads/2015/03/Mission-Service-Civique-2019-Escape-Game-LEcocentre-Tregor-.pdf ]1) Aménagement et mise en place d’un Escape Game Nature
[ http://www.ecocentre-tregor.fr/wp-content/uploads/2015/03/Mission-Service-Civique-2019-Potager-p%C3%A9dagogique-LEcocentre-Tregor-.pdf ]2) Aménager et animer un potager pédagogique 
[ http://www.ecocentre-tregor.fr/wp-content/uploads/2015/03/Mission-Service-Civique-2019-Sentiers-land-art-et-pieds-nus-LEcocentre-Tregor-.pdf ]3) Aménager et animer des sentiers land art et pieds nus
Vous avez une réelle sensibilité écologique et l’envie de transmettre ces valeurs.
Vous aimez le travail d’équipe et savez être autonome.
Une de ces missions est faite pour vous !

Si les liens ne fonctionnent pas vous pouvez retrouver des descriptions des missions sur notre site internet [ http://www.ecocentre-tregor.fr/ ]http://www.ecocentre-tregor.fr/

Candidature :
Ces offres de missions ne sont pas encore visibles sur le site[ http://service-civique.gouv.fr ]service-civique.gouv.fr, elles devraient l’être à partir de mi-janvier. Vous pouvez dès à présent candidater en nous envoyant une lettre de motivation et un CV à l’adresse mail [ mailto:ecocentre.tregor@gmail.com ]ecocentre.tregor@gmail.com
 
Qui peut candidater ?: Vous devez avoir en 16 et 25 ans et ne pas avoir fait de mission de service civique auparavant.

Contact/Renseignement : Contactez Aurélien au 06 77 01 20 73 ou Elisa au 06 71 13 3254  et par mail à  [ mailto:ecocentre.tregor@gmail.com ]ecocentre.tregor@gmail.com

Ecocentre Trégor – Spered All
Adresse : Route du Râdome, 22560 Pleumeur-Bodou

Tél : 06 40 56 84 46 @ : [ mailto:ecocentre.tregor@gmail.com ]ecocentre.tregor@gmail.com
Site : [ http://www.ecocentre-tregor.fr/ ]www.ecoc[ http://www.ecocentre-tregor.fr/ ]entre-tr[ http://www.ecocentre-tregor.fr/ ]egor.fr Facebook : [ http://www.facebook.com/ecocentre.tregor/ ]ecocentre.tregor




Stéphane Durand : « il nous faut créer une nouvelle alliance avec la nature »

Biologiste, naturaliste, auteur de documentaires et conseiller scientifique des aventures cinématographiques de Jacques Perrin (Le Peuple migrateur, Océans, Les Saisons), Stéphane Durand dirige la très belle collection Mondes sauvages chez Actes Sud dans laquelle il publie « 20 000 ans ou la grande histoire de la nature » et « Ré-ensauvageons la France – plaidoyer pour une nature sauvage et libre », co-écrit avec le naturaliste Gilbert Cochet.

Il sera mercredi 17 octobre prochain à 20 h, à la première des « Rencontres Nature » organisées par le lycée de Suscinio à Morlaix.

Les « Rencontres Nature de Suscinio » inviteront à différents moments de l’année scolaire les publics du lycée et le grand public à dialoguer avec un.e spécialiste de la nature sur un thème particulier.

La soirée débutera par la projection de « Océans » de Jacques Perrin et Jacques Cluzaud (en résonance avec le projet Erasmus + de l’établissement scolaire autour de « L’homme et la mer »), suivie d’une discussion avec Stéphane Durand autour du livre qu’il vient de co-écrire avec Gilbert Cochet « Ré-ensauvageons la France » : au cours du XXe siècle, la défaite du sauvage a semblé totale. Nous avons progressivement fait le vide autour de nous. Et pourtant, tout n’est pas perdu, loin de là. La place pour la vie sauvage ne manque pas sur notre territoire ; elle ne manque que dans nos têtes ! Un ouvrage résolument optimiste.

Cette soirée s’inscrit aussi dans la série d’événements organisée par la Fédération des cafés-librairies de Bretagne autour du thème « A l’origine… la nature »

Stéphane Durand sera également le jeudi 18 octobre à 20h30, au café Théodore (Trédrez-Locquémeau) et le vendredi 19 octobre à 19h30 au café-librairie A la Lettre thé (Morlaix).

En amont de ces trois rencontres, Stéphane Durand a répondu à quelques questions pour Eco-Bretons.

Le livre «Ré-ensauvageons la France» que vous venez de co-écrire avec Gilbert Cochet, tranche étonnamment par son optimisme quant à la bonne santé de la biodiversité en France, au moment où de nombreux constats alarmistes disent le contraire.  Vous précisez même: «pratiquement aucune espèce n’a réellement disparu». Qu’en est-il réellement~?

L’idée de ce livre est partie d’un constat : en tant que naturalistes de terrain, nous constatons le retour de nombreuses espèces. Les naturalistes qui ont commencé leurs observations il y a 40 ans n’en reviennent pas. Le livre n’est donc pas un douce utopie, il se base sur des faits scientifiques avérés qui sont très positifs mais qui sont noyés dans un flot ininterrompu de mauvaises nouvelles tout aussi avérées et que nous ne dénions évidemment pas .On essaie de voir le verre à moitié vide, en incorrigibles optimistes. Ce qui est sûr, c’est qu’une partie très particulière de la biodiversité s’écroule : la biodiversité champêtre, ces petits insectes, mollusques, oiseaux et fleurs des champs qui s’étaient adaptés lentement à ce nouvel écosystème que l’homme a mis en place : la campagne. La campagne fout le camp, les paysans disparaissent, il est normal que la vie sauvage des campagnes disparaissent également.

Vous évoquez les capacités incroyables de réparation de la nature. Pouvez-vous nous en donner quelques exemples, en Bretagne notamment?

En mer, le retour des fous de Bassan et des phoques ;

A terre, le magnifique exemple du Léguer, ce fleuve côtier qui a retrouvé sa « sauvagerie » et sa fonctionnalité dès le lendemain de l’effacement du barrage. Loutres et saumons sont revenus en un rien de temps.

Nos voisins européens sont-ils meilleurs que nous en matière de protection de la biodiversité? Pour quelles raisons?

Alors là, c’est une excellente mais très vaste question… à laquelle j’ai demandé à Valérie Chansigaud de répondre dans son livre « Les Français et la nature, pourquoi si peu d’amour ? » dans ma collection Mondes Sauvages/Actes Sud. La réponse est complexe, un mélange de contexte historique et d’histoire culturelle. Mais c’est paradoxal : les anglais, qui sont bien plus motivés que les français pour protéger la nature ont commencé par tout détruire chez eux. La biodiversité britannique est d’une pauvreté affligeante… Seule la faune marine résiste un peu et revient…

Vous dites que la biodiversité constitue l’enjeu économique de demain, en créant de l’emploi et des opportunités économiques. Pensez-vous qu’il est vraiment possible de concilier écologie et économie dans notre monde actuel? Des exemples?

Là encore, nous faisons un simple constat : l’éco-tourisme en Ecosse (justement) génère plus d’1 milliard d’€ par an… Aux USA, l’économie liée à la contemplation de la nature dépasse celle de la chasse et de la pêche réunies… Oui, il y a beaucoup, beaucoup de gens prêts à dépenser beaucoup d’argent pour observer la nature, vivre des expériences au plus près du monde sauvage et cet argent génère beaucoup d’emplois. La France est assise sur un trésor qu’elle s’entête à ignorer. Or nous avons le plus fort potentiel nature de toute l’Europe ! pourquoi être riche et bien portant quand on peut être pauvre et malade ? c’est la France…

Pensez-vous que l’éducation à l’environnement, telle qu’elle est actuellement dispensée permet à elle seule cette nouvelle alliance avec tous les êtres vivants que vous appelez de vos vœux~?

Franchement ? non. Notre lien au vivant, à tous les vivants, devrait être enseigné (concrètement, sur le terrain) dès le plus jeune âge, comme une langue étrangère. C’est plus qu’une métaphore : pour bien nous entendre avec nos voisins (humains d’autres pays mais là, en l’occurrence, nos voisins non-humains avec lesquels nous partageons le territoire et l’histoire, avec lesquels nous sommes embarqués dans la même galère, cette bonne vieille planète Terre), il faut connaître leur langue. Il faut apprendre à être à l’écoute de tous ces vivants, à les considérer comme des interlocuteurs, à les envisager comme des personnes, comme des gens à part entière. L’objectif n’est pas de parvenir à une parfaite harmonie tout à fait illusoire ; nous ne sommes pas dans le monde des bisounours. L’objectif est d’être armés, conceptuellement équipés afin de négocier une entente, une trêve, un armistice avec tous nos voisins. Car le voisinage a ses hauts et ses bas, ses avantages et ses inconvénients. Mais il nous faut faire avec et, au lieu d’être éternellement tous en guerre les uns contre les autres, une guerre épuisante, appauvrissante qui fait le malheur de tous, on peut négocier (mais cela demande des efforts de chaque instant) une nouvelle alliance permettant la paix tout en préservant l’irréductible altérité de tous.

En dernière partie du livre, vous proposez un «~Petit bréviaire à l’usage des décideurs~». Pourtant, la récente démission de Nicolas Hulot de son poste de ministre de la transition écologique a hélas montré les limites des décideurs politiques face aux lobbies économiques prédateurs de la biodiversité. Selon vous, comment mobiliser les citoyens, la société civile pour qu’ils changent enfin la donne~?

Je crois qu’il faut arrêter de penser les politiques comme des leaders d’opinion et d’action. Il faut réactiver, revivifier la démocratie. C’est d’ailleurs ce que démontre Valérie Chansigaud dans son livre : là où la démocratie progresse, les droits des vivants sauvages progressent en parallèle à ceux des humains. Les luttes sociales et environnementales sont inextricablement liées. Il faut œuvrer à faire converger les luttes. Les syndicats, par exemple, commencent tout juste, très timidement, à réaliser cela. Les politiques devraient rester à leur place, celle de techniciens, d’expert des méandres administratifs au service de la volonté commune. Les initiatives, les idées, les solutions existent et sont même très souvent testées et approuvées. Il faut les multiplier, trouver une caisse de résonnance, pour qu’elles passent de l’échelon local à l’échelon régional, national, continental… Il ne faut pas attendre d’idées nouvelles de la part des politiques ; ils ne peuvent tout au plus qu’être les caisses de résonnance de ces nouveautés. Il faut cesser de croire qu’à eux seuls, ils peuvent avoir plus d’idées et de meilleures idées qu’un peuple entier. C’est mathématique. Il ne faut donc rien attendre d’eux et tout faire pour promouvoir les idées/initiatives qui émergent constamment du terrain, du peuple.




Comment parler d’écologie aux enfants avec des livres qui ne parlent pas d’environnement

Dans le cadre de la 6ème édition du Salon du Livre jeunesse, organisée par la Baie des Livres, les 25 et 26 novembre prochains, au Pôle culturel du Roudour de Saint-Martin-des-Champs (29), Jennifer Dalrymple est invitée Jeudi 23 novembre à 20 h par l’association des élèves, apprentis et étudiants de BTS Gestion et Protection de la Nature du Lycée de Suscinio de Morlaix à faire une intervention sur un thème cher à cette auteur-illustratrice jeunesse dont l’oeuvre est depuis longtemps profondément empreinte d’écologie.

Mais laissons-la dire quelques mots à propos de son intervention :

« Qu’est-ce qui relie « Marlaguette », « La Princesse et les Insectes » et « Le dernier des géants » ? Ces trois livres ne parlent pas d’environnement et pourtant, après les avoir lus, les enfants (et adultes) seront un peu plus écologistes qu’avant. Je pourrais citer bien d’autres albums comme « Elmer » l’éléphant patchwork ou « C’est pas ma faute » de C.Voltz car ils sont nombreux les albums jeunesse qui portent des idées profondément écologistes.

Mais il est nécessaire, avant tout, de redéfinir ce qu’est exactement l’écologie : une autre vision, une autre relation au monde, aux autres, à la nature, à la société. Une notion beaucoup, beaucoup plus vaste et profonde que juste l’Environnement. Quels livres choisir pour parler d’écologie et comment en parler avec ces livres-là ? Ces histoires qui sont chacune semence d’un nouveau paradigme.

Dans cette présentation et après une brève introduction je définis précisément ce qu’est l’Ecologie. Après avoir montré la différence entre écologie et environnementalisme ou écologie véritable – profonde – et écologie de surface, je ferai le point sur ces notions importantes (écocentrisme, bio-diversité, interconnexions, égalitarisme biosphérique, valeur intrinsèque…) qui remettent en perspective notre vision du monde et définissent l’idéal dans lequel nous aimerions tous vivre. Ceci étant clarifié je montre quels livres ont un contenu écologiste (parfois inattendu), en en lisant quelques-uns. Je parle également des films, des contes et récits qui peuvent être vus et dits pour transmettre ces idées.
Enfin, comment parler de ces histoires avec les enfants – et se poser la question s’il est nécessaire d’en parler, si l’histoire ne se suffit pas à elle-même. »

Jennifer Dalrymple est l’un.e des 21 auteurs-illustrateurs invités au Salon du du Livre Jeunesse de Saint-Martin-des-Champs en Finistère. Elle fera également deux interventions dans des écoles du territoire près de Morlaix.

« Comment parler d’écologie aux enfants avec des livres qui ne parlent pas d’environnement », Jeudi 23 Novembre à 20h – amphithéâtre du Lycée de Suscinio, Ploujean/Morlaix. Entrée libre.

http://www.jenniferdalrymple.net/
https://www.facebook.com/LaBaieDesLivres/




« Devenons les acteurs de l’économie dont nous rêvons », les 7 et 8 novembre à Auray (56)

La première édition des Rencontres des Economies Positives aura lieu les 7 et 8 novembre à Auray. Organisées par l’Université Terre & Mer dans le cadre du mois de l’ESS, ces rencontres participatives inédites rassembleront la diversité des acteurs du territoire autour des nouvelles approches économiques à impacts positifs.

Ancrage local et approche globale pour co-construire les solutions de demain

A l’heure des transitions numériques, écologiques, citoyennes, la question de notre relation à l’économie au sens large apparait comme un levier de transformations profondes de nos organisations humaines. Partant du principe que l’économie est un écosystème au service des humains sur les territoires, les nouvelles approches économiques ouvrent le champ des possibles pour co-créer les solutions concrètes aux enjeux de la transition sociétale à impacts positifs.
« PARTAGER – INSPIRER –ENGAGER » la transition sociétale a impacts positifs

Les premières Rencontres des Economies Positives s’intègrent dans les dynamiques locales et nationales en faveur des économies à impacts positifs avec trois intentions fortes : découvrir et s’inspirer des approches pionnières de demain, saisir comment mettre en œuvre concrètement et localement des solutions pour le développement du bien-être dans les organisations et du bien-vivre sur les territoires, rassembler sur un format participatif conçu pour maximiser les interactions et la transversalité.
Des intervenants pionniers de haute qualité

Elles et ils sont spécialistes des nouveaux modèles économiques, de la conduite du changement dans les organisations, des processus collaboratifs, ou encore de l’économie locale et réelle. Ils partageront leurs expériences dans une logique d’essaimage.

Seront notamment présents : Anne PATAULT (Région Bretagne), Bertrand MONFORT (Inspire Institut), Philippe DERUDDER, (Association Internationale pour le Soutien aux Économies Sociétales), Michel RENAULT (Université Rennes 1, ONG Pékéa), Jean-Philippe MAGNEN (accompagnateur du changement, ancien élu Région Pays de la Loire), Marie MOTAIS (Tamalpa), Isabelle DELANNOY (Do Green), Franck DELALANDE (Talents Tube), Aurélien SUSNJARA (Fondation Ellen Mc Arthur), Bernard MENGUY (architecte éco-construction), Julie SCHWAGER (DREAL)…
Des formats participatifs conviviaux pour questionner la transmission du savoir

Des temps d’expérimentation, de réflexion collective, et des ateliers seront proposés aux participants. Aujourd’hui, nous le savons, nous n’apprenons pas en restant confortablement assis en écoutant des experts. Nous avons besoin de nous rencontrer, de nous parler, de tester, d’imaginer et de faire ensemble. C’est ainsi que nous faisons grandir notre propre expertise individuelle et collective.

Des temps atypiques rythmeront ainsi les deux journées. Une soirée conviviale ponctuera la première journée avec une projection débat autour du film « Enfin des bonnes nouvelles » (réalisé par Vincent Glenn).
Université citoyenne Terre & Mer : qui sommes nous?

L’Université « citoyenne » Terre & Mer est un espace de transmission innovant ancré en Pays d’Auray en Bretagne sud (association Loi 1901 crée en 2014). Elle accompagne les individus et les organisations dans leurs dynamiques visant à s’engager dans la transition sociétale à impacts positifs.

Elle propose à la diversité des publics de son réseau (entreprises, collectivités, associations) de se former aux outils, méthodes, postures et processus innovants répondant aux enjeux de transformations et d’accompagnement au sein des organisations : « Coopérer et co-construire par l’intelligence collective », « Détecter et développer les potentiels individuels », « Co-construire les territoires de Demain », « Valoriser la dimension culturelle comme moteur de transformation ».

Lieu : Cinéma Ti Hanok d’Auray (Zone d’activité Porte Océane) –
Publics : entreprises, réseaux professionnels, élus, salariés des secteurs privé et public, associations locales, porteurs de projets, citoyens, étudiants, chercheurs…
Format : 2 journées et une soirée conviviale, entrées payantes, 200 personnes attendues.

Programme complet : http://terre-et-mer.eu/rencontres_programme/




Breizhicoop, projet de création d’un supermarché coopératif et participatif à Rennes

Breizhicoop c’est le projet de création d’un supermarché coopératif et participatif à Rennes. Cette initiative est portée par l’association Breizh’i Potes, qui organise régulièrement des réunions publiques, ouvertes à tous, pour faire découvrir son projet.

Tu es intéressé(e) ❓
Et tu veux en savoir plus, participer à l’aventure ou simplement échanger.
Viens nous rencontrer à l’une de nos réunions publiques ❗
Tu pourras découvrir le projet et l’association, poser tes questions et si tu le souhaites adhérer au projet (la cotisation annuelle est de 10€ minimum).

Pour cette réunion publique, c’est La Cordée espace de coworking situé à Rennes qui nous accueille.
Le nombre de places étant limité à 30 personnes, merci de bien vouloir t’inscrire pour assister à la réunion :
https://www.inscription-facile.com/form/W6MAFJ5pBRCa26U9bkDm

Réunion publique : Mercredi 22 novembre à 19:30
La Cordée (Rennes)
1 Carrefour Jouaust, 35000 Rennes