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La recette. Velouté de potiron aux lentilles corail

Une recette parfaite pour démarrer ce deuxième confinement, et terminer chaudement le mois d’octobre.

Préparation

Éplucher et émincer l’oignon, le faire revenir dans une casserole avec un filet d’huile d’olive.

Éplucher le potiron et le couper en gros morceaux. Le déposer dans la casserole, faire revenir un instant.

Ces premières étapes sont optionnelles : vous pouvez aussi tout jeter directement dans la marmite.

Ajouter les lentilles et couvrir d’eau, sans saler. Cuire environ 20 min jusqu’à ce que le potiron soit fondant.

Mixer finement. Ajouter la crème et mélanger. Saler et poivrer au goût. Servir chaud.

Conseils

Peu énergétique le potiron est parfait en velouté.

Info santé

Les lentilles corail remplacent avantageusement la pomme de terre et c’est l’occasion de manger des légumineuses qu’on ne consomme pas assez. Cela en fait une soupe nourrissante et onctueuse. La consommer avec du pain en fait un plat complet : ajoutez donc des croûtons !

Pour varier

Vous pouvez remplacer les lentilles corail par des vertes. Ajoutez une carotte. Remplacez la crème par du lait de coco et parfumez de noix de muscade râpée, de cannelle ou coriandre en poudre. Celleux qui aiment ajouteront un peu de piment ou râperont du gingembre frais dans la soupe.

Vous pouvez réaliser cette soupe avec toutes les variétés de potiron, potimarron ou citrouille.

Préparation

Éplucher et émincer l’oignon, le faire revenir dans une casserole avec un filet d’huile d’olive.

Éplucher le potiron et le couper en gros morceaux. Le déposer dans la casserole, faire revenir un instant.

Ces premières étapes sont optionnelles : vous pouvez aussi tout jeter directement dans la marmite.

Ajouter les lentilles et couvrir d’eau, sans saler. Cuire environ 20 min jusqu’à ce que le potiron soit fondant.

Mixer finement. Ajouter la crème et mélanger. Saler et poivrer au goût. Servir chaud.

Conseils

Peu énergétique le potiron est parfait en velouté.

Info santé

Les lentilles corail remplacent avantageusement la pomme de terre et c’est l’occasion de manger des légumineuses qu’on ne consomme pas assez. Cela en fait une soupe nourrissante et onctueuse. La consommer avec du pain en fait un plat complet : ajoutez donc des croûtons !

Pour varier

Vous pouvez remplacer les lentilles corail par des vertes. Ajoutez une carotte. Remplacez la crème par du lait de coco et parfumez de noix de muscade râpée, de cannelle ou coriandre en poudre. Celleux qui aiment ajouteront un peu de piment ou râperont du gingembre frais dans la soupe.

Vous pouvez réaliser cette soupe avec toutes les variétés de potiron, potimarron ou citrouille.

Préparation

Éplucher et émincer l’oignon, le faire revenir dans une casserole avec un filet d’huile d’olive.

Éplucher le potiron et le couper en gros morceaux. Le déposer dans la casserole, faire revenir un instant.

Ces premières étapes sont optionnelles : vous pouvez aussi tout jeter directement dans la marmite.

Ajouter les lentilles et couvrir d’eau, sans saler. Cuire environ 20 min jusqu’à ce que le potiron soit fondant.

Mixer finement. Ajouter la crème et mélanger. Saler et poivrer au goût. Servir chaud.

Conseils

Peu énergétique le potiron est parfait en velouté.

Info santé

Les lentilles corail remplacent avantageusement la pomme de terre et c’est l’occasion de manger des légumineuses qu’on ne consomme pas assez. Cela en fait une soupe nourrissante et onctueuse. La consommer avec du pain en fait un plat complet : ajoutez donc des croûtons !

Pour varier

Vous pouvez remplacer les lentilles corail par des vertes. Ajoutez une carotte. Remplacez la crème par du lait de coco et parfumez de noix de muscade râpée, de cannelle ou coriandre en poudre. Celleux qui aiment ajouteront un peu de piment ou râperont du gingembre frais dans la soupe.

Vous pouvez réaliser cette soupe avec toutes les variétés de potiron, potimarron ou citrouille.

Recette partagée sous licence CC by-sa par Olympe de Courge en octobre 2020




Pour une année plus écologique avec l’ecoalmanach de Laetitia Crnkovic

La Trégoroise Laëtitia Crnkovic anime des ateliers, des conférences, des animations, des accompagnements… autour du zéro déchet, pour « prendre de soi et de notre Terre ». Elle est également auteure de livres. Après « Faites l’autopsie de votre poubelle », elle publie aux édition Ouest France un « Ecoalmanach ».

La transition écologique joyeuse et bienveillante, c’est ce que anime Laëtitia Crnkovic. Passer à l’action pas à pas et sans culpabiliser, c’est le message qu’elle veut transmettre à travers ses livres. C’est le cas pour celui consacré au zéro déchet que nous avons déjà évoqué ici, et c’est aussi le cas pour « l’écoalmanach », paru aux éditions Ouest France. Dans ce livre, Laëtitia nous embarque durant 365 jours dans une démarche de transition progressive et ludique. On découvre ainsi au fil des pages, chaque jour, un écogeste à mettre en pratique dans notre quotidien, ainsi que des recettes, des astuces, des « portraits inspirants »… En novembre, on apprend ainsi l à faire son fromage blanc maison le 1er, à fabriquer son « roll on coup de boost » à base d’huiles essentielles le 7, à transformer ses filets en éponges grattoirs le 15, ou comment remplacer facilement les œufs le 28. Des jeux sont également présents, pour le côté ludique : mots croisés, fléchés, sudoku…On apprend également au fil des pages (et au fil des saisons) à réduire son empreinte numérique, à découvrir les boissons végétales, récupérer et utiliser l’eau de pluie…Les possibilités sont grandes, dans des domaines aussi variés que la cuisine, la maison, le jardin, le bien-être…A noter également, la présence d’une planche illustrée à chaque début de mois, présentant les fruits et légumes du moment produits en France.

Agréable à lire, l’écoalmanach de Laetitia Crnkovic sera particulièrement utile pour celles et ceux qui souhaitent se faire du bien et faire du bien à la planète au quotidien, pas à pas. Un cadeau idéal à offrir ou à s’offrir afin de terminer de belle façon 2020, pour enchainer sur les bonnes résolutions de 2021.




Novembre, mois de l’installation en agriculture durable en Bretagne

Découvrir des agricultures respectueuses de l’homme et de l’environnement, c’est possible avec le Mois de l’Installation en Agriculture Durable ! Dès le mardi 3 novembre, et jusqu’au 28, partez à la découverte d’exploitation agricoles, échangez lors de café-installation ou visites de fermes, aux quatre coins de la Bretagne.

 Rencontrer des personnes qui vivent et s’épanouissent dans leur métier, découvrir l’agriculture durable dans toute sa diversité, et savoir comment en tant qu’élu.e ou habitant.e on peut s’impliquer pour la soutenir. Voilà les objectifs du Mois de l’Agriculture Durable, qui se tient durant tout Novembre, en Bretagne. Une initiative du collectif Installation Impact Bretagne, qui est composé de 8 associations : Accueil Paysan 35, Agriculture Paysanne 22, le Cedapa, le Civam 29, Civam Agriculture Durable 56, le Civam 35 Installation-Transmission, le FRCIVAM Bretagne, La Marmite, et Terre de Liens-Liamm An Douar, avec le soutien financier de la Région Bretagne et du Ministère de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt (MAAF) / DRAF Bretagne. Cette année, Civam Adage 35, la Confédération Paysanne et le Collectif Paysan 22 sont associés à l’événement. Toutes ces structures ont à cœur d’œuvrer pour une « agriculture citoyenne ». Elles sont parties du constat, de par leurs activités quotidiennes, que deux agriculteurs sur trois n’ont pas de repreneurs, et que l’image du métier se ternit. Pourtant, selon elles, « une autre agriculture est possible : citoyenne, durable et créatrice d’emplois ».

Au programme de ce mois dédié à « l’installation agricole durable » : des temps d’échange, des visites de ferme, des marchés de producteurs… Le mardi 3 novembre, on pourra ainsi participer à une soirée à Plérin (22), au bar Le Marmousse, autour du thème « S’installer en paysan.ne, pourquoi pas moi ? Des solutions concrètes pour réussir son projet en agriculture », avec des témoignages de jeunes installés. Le jeudi 19, direction Tréflez dans le Finistère pour découvrir un projet de reconversion en couple au maraichage et à la boulangerie paysanne. Le mardi 24, l’association La Marmite propose une soirée à la Ferme de Bobehec à La Vraie-Croix (56) avec des témoignages autour des concurrences et complémentarités sur un territoire. En Ille-Et-Vilaine, un atelier dédié à l’installation-transmission sera proposé le 29 novembre durant le Forum International Alimentation et Territoires qui sera animé à Rennes, et aura des événements décentralisés à Lorient, Saint-Brieuc et Brest.

Tout le programme détaillé est disponible sur le site http://moisdelinstallationdurable.fr

En raison des conditions sanitaires, il est nécessaire de s’inscrire pour participer aux différents événements.




Participez au financement du documentaire « Océans, la voix des invisibles 3 »

Afin de réaliser le documentaire « Océans, la voix des invisibles 3 », qui sortira début 2021, un financement participatif est lancé.

Sorti en 2016, le documentaire de Mathilde Jounot « Océans, la voix des invisibles » retraçait le parcours de la réalisatrice bretonne qui souhaitait mettre en avant dans son film la perte de la biodiversité des océans. Mais au fil de ses recherches, elle s’ apercevait que derrière les discours alarmistes de certaines ONG se cachaient des enjeux financiers bien plus importants, et qu’on assistait ainsi à une véritable « privatisation des océans ». Un film remarquable, qui propose un discours différent de celui qu’on entend habituellement, et laisse la parole aux pêcheurs artisanaux. Sélectionné dans 25 festivals en France et à l’international, récompensé du « prix du documentaire » au festival Regards sur le Cinéma du Monde, et primé par l’Académie de Marine, le film a aujourd’hui une suite, en cours de tournage.

Dans ce deuxième chapitre, baptisé « Océan 2 , la voix des invisibles », la parole est laissée cette fois aux citoyens du monde entier, qui « dans une démarche solidaire, réfléchissent et s’organisent ». Après l’alerte dans le premier film, place aux solutions dans le deuxième. Le documentaire nous amène ainsi dans l’Océan Indien, en Afrique, en Italie, au Canada, mais aussi sur les côtes bretonnes, à la rencontre des hommes et femmes qui ont mis en place des initiatives pour protéger les océans et les populations qui en dépendent.

Mais Mathilde Jounot ne s’arrête pas là, et décide de tourner un nouveau chapitre. Baptisé « Océans 3, la voix des invisibles », le documentaire s’intéressera à l’éolien offshore. De nombreux recours sont déposés par les citoyens, qui dénoncent les risques environnementaux, sociaux et économique. « Quelles peuvent bien être les raisons qui poussent à imposer des parcs industriels éoliens offshore pour lesquels on ne connait pas les impacts ? Est-ce bien pour assurer la transition énergétique ? Ou y t-il d’autres ambitions sur les océans? », s’interroge ainsi la réalisatrice, qui se demande également « N’est-ce pas là en définitive, une nouvelle forme de privatisation des océans qui se met en place? Et quelles sont les autres solutions sans impact pour l’environnement et les populations qui en dépendent? ». Le film se propose donc de mettre au coeur du débat le développement industriel sur les océans, en croisant les différents points de vue et savoirs. Le tournage doit reprendre actuellement, afin de démarrer en décembre les étapes de postproduction, en vue d’une sortie au premier trimestre 2021.

Un financement participatif a été mis en place, via la plateforme Proarti, afin de financer l’équipe, les frais de régie et les étapes de postproduction, avec pour objectif la somme de 12 098 euros. Il reste encore 39 jours pour y contribuer via ce lien.




Avec Le Festival Alimenterre, huit films à déguster autour de l’agriculture et de l’alimentation

Le festival Alimenterre revient pour une nouvelle édition, qui vient de débuter. Au programme, des ateliers, des marchés, des apéros…et aussi huit films en projections publiques, autour des thématiques de l’alimentation et de l’agriculture, et des liens qui les unissent.. Des événements sont organisés dans toute la Bretagne, jusqu’au 30 novembre.

Chaque année, le Festival Alimenterre revient en France et dans d’autres pays. Du 15 octobre au 30 novembre, la onzième édition, coordonnée par le CFSI (Comité Français pour la Solidarité Internationale, association reconnue d’utilité publique qui rassemble 23 organisations membres : associations syndicats, collectivités territoriales.) sensibilisera à la compréhension des enjeux agricoles et alimentaires. L’événement vise à faire prendre consciences aux citoyens des causes de la fin dans le monde, proposer des pistes d’actions concrètes pour soutenir un modèle agricole plus équitable, plus respectueux de l’environnement et des écosystèmes, et a pour volonté de provoquer des débats entre tous types d’acteurs sur les questions agricoles et alimentaires.

L’édition 2020 propose ainsi huit films autour de plusieurs thèmes : la place des femmes dans l’agriculture, le rôle des pêcheurs artisans dans la protection des océans, la mobilisation citoyenne et l’engagement des jeunes, la coopération internationale et les projets de développement agricole en Afrique de l’Ouest, les politiques agricoles et commerciales pour permettre aux agriculteurs de France et d’ailleurs de vivre dignement :

  • « Semer, récolter, résister », de Marion Dualé et Ousmane Dary, qui emmène le spectateur au Sénégal, à la reconquête de l’autonomie alimentaire, grâce aux céréales et au pain local.
  • « Chemin de travers » de Sébastien Majonchi, sur des femmes et des hommes en recherche d’alternatives en milieu rural.
  • « Recettes pour un monde meilleur » de Benoît Bringer, autour des systèmes alimentaires plus respectueux de la personne et de la nature.
  • « Pauvre poulet, une géopolitique de l’oeuf » de Jens Niehuss et Simone Bogner, sur le fonctionnement du système alimentaire mondialisé et ses conséquences sur les pays du Sud et la santé de la planète.
  • « Océans 2, la voix des invisibles » de Mathilde Jounot, suite du premier volet, qui montre ici comment les professionnels de la mer s’organisent pour protéger les océans et les populations qui en dépendent. 
  • « Femmes de la terre » de Jean-Pierre Vedel, qui évoque la place des femmes dans le milieu agricole.
  • « Keka Wongan, notre cacao made in Ebolowa-Cameroun », une co-réalisation du Conseil Régional des Pays de la Loire et du Lycée de Nantes Terre Atlantique.retrace la coopération entre l’établissement public local d’enseignement et de formationprofessionnelle agricole « Nantes Terre Atlantique » et le Collège Régional d’Agriculture (CRA)d’Ebolowa au Cameroun.
  • « Le système alimentaire de Fès, Maroc » de Anna Faucher, Louison Lançon, Alice Deshons, sur le système alimentaire et les initiatives agro-écologiques de la région.

En Bretagne, des projections publiques et pour les scolaires sont programmées dans l’ensemble du département des Côtes-d’Armor, à l’initiative du Resia et du collectif Alimenterre22. Des projections sont également prévues dans le Morbihan et en Ille-Et-Vilaine, ainsi qu’en Loire-Atlantique, et plus tard dans le Finistère.

Toutes les dates et les lieux sont sur le site du festival Alimenterre.

La bande-annonce :




Des rencontres nourrissantes à la Foire d’automne de l’arboretum Les arbres du monde au Huelgoat

Par Olivier Danet

(Plume Citoyenne) Voisins de palier des Monts d’Arrée, Centre-bretons de naissance, de sang ou de cœur, besogneux de la terre et de la matière, artistes des plaisirs gustatifs et esthétiques… venez les rencontrer à la foire du 25 octobre à l’arboretum Les arbres du monde au Huelgoat*.

Parmi eux, Stéphanie Saliot, 47 ans, est installée à kervitod en Le Saint (56) depuis 2013. Après deux ans de rénovation de sa maison elle a officiellement créé la pépinière biologique « Des Fruits des Fleurs » en 2015. En 2018 son conjoint Alain la rejoint.

Après 12 ans de carrière, une reconversion professionnelle s’est imposée à cette formatrice en prépa kiné. Participer au système des concours déshumanisants voir dangereux pour la santé des élèves, subir un « management du résultat » qui bride l’autonomie du formateur, s’épuiser dans une course boulot TER dodo entre Rennes et son jardin de 2000m² jusqu’à en perdre tout lien avec la nature ne lui étaient plus supportable.

Aujourd’hui son travail de pépiniériste, artisane semencière, chercheuse en nouvelles utilisations de plantes la passionne. Stéphanie les transforme les multiplie les fait découvrir, par exemple sur le marché de Merville à Lorient, les foires aux plantes ou aux cuisiniers gastronomiques locaux et aux élèves de l’Université des Sciences et des Pratiques Gastronomiques de Quimper. Économiquement tout reste fragile, mais les projets sont plus que jamais liés au jardin : développer l’activité de production de semences en lien avec les réseaux locaux, peupler la pépinières d’objets, la coiffer d’une cabane dans les arbres, refuge et observatoire, transformer le verger en jardin-foret. Et aussi transmettre une expérience et des savoirs dans le cadre d’ateliers ou de formations pour que d’autres s’y collent à cette transformation de leur vie et de notre monde. Ainsi renouer avec la pédagogie qu’elle aimerait intégrer à son nouveau métier Et aussi, peut être, ne pas laisser aux mains des industriels délétères l’exclusivité de nos ressources, de notre alimentation, de notre cadre de vie et de notre santé ?

D’autres portraits d’exposant.e.s présent.e.s à la foire du 25 octobre sont à découvrir sur : https://www.facebook.com/cooperativearbresdumondeenarree

Pour découvrir les produits de la pépinière et avoir plus d’infos

Site internet : http://desfruitsdesfleurs.fr

Mail : contact@desfruitsdesfleurs.fr

TEL : 07 83 96 15 69

* Dédié à la biodiversité végétale avec ses 3 600 espèces des 4 continents répartis sur 20 hectares,

« Les Arbres du Monde au Huelgoat » est niché sur un point culminant des Monts d’Arrée. Ce site magnifique vous invite au voyage : de la flore chilienne à la vallée himalayenne, du bush australien à la bambouseraie, en passant par les collections d’eucalyptus, de magnolias, de rhododendrons, de conifères et d’érables…

Depuis le 1er octobre 2019, le parc est entretenu et animé par la coopérative « Arbres du Monde en Arrée ». Ouvert du 1er avril au 31 octobre (hors juillet et août) : les samedis et dimanches après-midi de 14h à 18h.