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La transition écologique dans tous ses états sur Rennes Métropole avec « Bienvenue en transition »

Le projet « Bienvenue en transition », qui vise à mettre en lumière des initiatives citoyennes présentes sur Rennes Métropole et à donner envie aux citoyen .ne.s se passer à l’action, continue jusqu’à l’année prochaine. Alors que le prochain rendez-vous aura lieu en octobre et aura pour thème la protection de la nature, on peut écouter une série de podcasts compilant des témoignages d’habitants portant des projets, sur le site de la Maison de la Consommation et de l’Environnement (MCE) de Rennes.

Le projet « Bienvenue en transition » a été lancé en 2021, et se poursuit jusqu’en 2023. Développé par les associations de la Maison de la Consommation et de l’Environnement de Rennes et celle-ci, il a pour objectif « d’aller à la rencontre des initiatives citoyennes qui existent déjà autour de nous avec le souhait de favoriser la transmission des savoirs et savoir-faire entre habitants ! », peut-on lire sur le site internet dédié.

A cette fin, tous les deux à trois mois, un week-end de « portes ouvertes » est organisé dans les communes de Rennes Métropole, autour des thématiques suivantes : Habiter / Consommer autrement / Se nourrir / Protéger la nature / Se déplacer.

Après un premier week-end consacré aux initiatives pour « habiter autrement » en octobre 2021, un second pour « se déplacer autrement » en mai 2022, et un troisième pour « consommer autrement », on pourra découvrir du 5 au 12 octobre comment « protéger la nature » sur Rennes Métropole.

Les organisateurs appellent d’ores et déjà les habitants à faire connaître leurs initiatives, ou celles de leur connaissance, sur le sujet, via un formulaire disponible sur le site de la MCE.

En attendant, on peut découvrir le témoignages de certain.e.s habitant.e.s de Rennes Métropole qui ont porté des projets de transition écologique grâce à une série de podcast. On peut ainsi découvrir grâce à l’écoute le pédibus d’Acigné, les vacances à vélo avec Damien, une extension de maison en écoconstruction avec Didier, le repair Café de Cleunay…entre autre. Les podcasts sont disponibles sur les plateformes habituelles (spotify, apple…) et aussi sur le site de la MCE (on vous conseille de les écouter par ce biais, ce qui vous permettra de découvrir aussi de nombreuses autres informations!).

 

Plus d’infos :

https://www.mce-info.org

https://www.bienvenueentransition.org/temoignages/

 


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A Rennes, dans les quartiers sud, le « circuit court » de l’énergie citoyenne se déploie

Dans les quartiers Sud de Rennes, la coopérative citoyenne Ciren va installer une dizaine de centrales photovoltaïques. Et va proposer une offre d’auto-consommation collective pour les habitant.e.s. Explications.

La coopérative citoyenne Ciren est née en 2019, portée par l’association Energies du Pays de Rennes. Son objectif ? « acheter et faire installer des centrales de production d’électricité de source renouvelable et locale chaque fois que l’opportunité se présente », peut-on lire sur son site internet. C’est ainsi qu’elle a déjà mis en place et financé une première centrale photovoltaïque de 83 panneaux, sur la commune de Laillé. Elle lance maintenant, après trois années de préparation, une opération « d’auto-consommation collective », baptisée « Eclairs », pour « Energie Citoyenne Locale Autoconsommation Innovante Rennes Sud ». « Le but, c’est de proposer aux habitants des quartiers de Rennes Sud, mais aussi aux entreprises, à Bréquigny et Landrel, d’utiliser pour une partie de leur consommation une électricité produite localement par des centrales solaires financées par un collectif citoyen », explique Fréderic Dartois, chargé de mission pour le projet. Les premières centrales, installées cet été, seront déployées sur les toits du groupe scolaire Jacques Prévert et des immeubles du Landrel, grâce à des conventions passées avec la ville de Rennes et le bailleur social Neotoa. « Une petite dizaine de centrales vont être construites à terme », précise Fréderic. « Ce qui va représenter 1500 panneaux ». Le tout permettra de créer deux boucles d’autoconsommation collectives, d’un diamètre de 2 kilomètre chacune. « avec ce projet, l’électricité produite ne sera pas vendu à un opérateur sur le réseau public, elle sera vendue à un prix juste vers les voisins des sites de production. C’est le circuit-court de l’énergie », poursuit Frédéric.

Concrètement, comment tout ça va fonctionner ? Il faut habiter dans le périmètre de l’une des deux boucles, être déjà abonné à un fournisseur d’électricité (n’importe lequel), et avoir dans son habitation un compteur communiquant. Ensuite, sur un principe similaire à celui d’une Amap, on va acheter une certaine quantité de kw/h suivant le contrat qu’on choisit. A chaque intervalle de 30 minutes, l’électricité produite sera alors répartie entre les consommateurs. La quantité qui va être affectée à chaque logement sera déduite du forfait initial, et ensuite « effacée » de la facture du fournisseur d’électricité qu’on reçoit toujours.

Les habitant.e.s intéressé.e.s peuvent s’informer auprès de la coopérative citoyenne Ciren, et la rencontrer tout l’été à la « Station Maif », basée dans la gare de Rennes, et qui met en valeur des initiatives innovantes et respectueuses de l’environnement. Des réunions vont aussi être organisées dans les quartiers. On peut également souscrire à la coopérative, à raison de 50 euros la part.

 

Plus d’infos

https://energiesdupaysderennes.fr/page-2/autoconsommation-collective-a-brequigny/

ou par email eclairs@ciren-sas.fr

 




Retour vers « Nos futurs, la parole à la relève »

Rencontre avec Pauline Lemonnier, élève en master de management des organisations et projets en 4ème année à Sciences-Po Rennes et co-organisatrice de l’événement « Nos futurs, la parole à la relève » qui s’est déroulé du 22 au 27 Mars 2022 à la médiathèque des Champs Libres*.

Durant la semaine du 22 au 27 Mars 2022, Pauline ainsi que 14 autres élèves de Sciences-Po ont participé à un festival axé sur les transitions. Ce festival est le fruit d’une collaboration entre trois entités : le Monde Campus, les Champs Libres et des étudiants de Sciences-po Rennes ainsi que plusieurs jeunes de Rennes 2 ou encore du Conseil Régional des Jeunes. Après trois séances de brainstorming sur la transition, plusieurs thématiques ont été sélectionnées (le climat, les médias, l’alimentation, le travail, la sexualité/genre et l’engagement) et pris la forme d’ateliers ou de conférences.

Pour Pauline, le principal but de ce festival était de montrer au public que la mise en place de ce genre d’événement ne doit pas obligatoirement se faire de façon verticale mais qu’elle peut aussi être co-construite dans la mesure où tout le monde est légitime à parler de l’avenir que nous partageons.

Le message principal de ce festival était de faire comprendre aux jeunes que rien n’est figé et que c’est à nous de construire notre futur de façon multilatérale afin que celui-ci soit le plus désirable possible.

Ce festival était aussi l’occasion de remédier à la problématique selon laquelle les jeunes n’ont pas accès à des plateformes légitimes et reconnues leur permettant d’exprimer leurs idées. La supervision de Sciences-Po et du Monde redonnait à cette parole une reconnaissance et une crédibilité dont elle ne bénéficie pas toujours.

Durant cette semaine, 50 propositions d’événements différentes ont eu lieu parmi lesquelles nous pouvions participer à des ateliers, des interviews, créer des DIY, assister à un défilé de mode upcyclé, écouter un plaidoyer… De fait, il y en avait pour tous les goûts, à la fois sur le fond avec les diversité des thèmes abordés et sur la forme.

Par ailleurs, chaque jour se tenait une conférence sur les thématiques sélectionnées. Celles-ci accueillait une multitude d’intervenant parmi lesquelles nous pouvions notamment retrouver Jean Jouzel (climatologue), Didier Lestrade (co-fondateur de l’association Act Up-Paris) ou encore Lexie (militante du compte Instragram @agressively_trans).

Selon Pauline, le choix du thème des transitions était essentiel car il est à la fois politique sans être clivant et suffisamment vaste afin que tout le monde puisse trouver quelque chose à y dire. De plus, le thème des transitions est pour Pauline un sujet « qui ne parle pas à tout le monde mais qui doit parler à tout monde » car tout le monde est concerné que ce soit dans le domaine du travail, des parcours migratoires, de l’environnement, de la sexualité…

Il a semblé particulièrement important d’évoquer les transitions et de faire en sorte que ce soient des jeunes qui donnent leur point de vue dans la mesure où ceux-ci sont particulièrement touchés par ces dernières. Il s’agit en outre d’une réponse face à l’urgence climatique dont les jeunes prennent davantage conscience que les générations antérieures et se mobilisent d’autant plus pour lutter contre le réchauffement planétaire (ex : les manifestations pour le climat mobilisent majoritairement les jeunes, lors des dernières élections, les moins de 30 ans ont massivement voté pour des programmes en faveur de davantage de mesures environnementales…). De plus, le thème des transitions permet également à la jeunesse de s’exprimer sur des questions liées à la sexualité à l’ère de la génération Me-Too, et même du mouvement Sciences-porc en ce qui concerne les étudiants de Sciences-Po. Selon Pauline, « notre génération est celle qui libère la parole sur de nombreux sujets et notamment sur la sexualité et l’écologie ».

Le fil rouge de ce festival était de savoir quelle société durable et soucieuse du vivant nous pouvions construire ensemble. Pour Pauline, nous devons admettre le principe de sobriété de la société et bien comprendre que nous ne pouvons pas tout traiter. L’enjeu est alors de ne pas remettre à plus tard les problématiques qui nous semblent les plus centrales afin de prendre conscience des inégalités persistantes et de lutter contre l’invisibilisation des minorités pour faire front à la tyrannie de la majorité.

*https://www.leschampslibres.fr/evenements/nos-futurs/nos-futurs/

Photo : Rencontre avec Jean Jouzel, en dialogue avec les jeunes du territoire autour des questions climatiques et de l’engagement #nosfuturs. Crédit: Champs Libres.




Un financement participatif pour des livraisons de produits frais et locaux à domicile

L’entreprise 21km, qui collecte des produits locaux et en majorité bios chez des producteurs du Pays de Rennes et de la Côte d’Emeraude pour les livrer ensuite sur ce même secteur à domicile, lance une campagne de financement participatif, afin de développer ses tournées et mieux s’équiper.

21 km, c’est le nom d’un service de livraison de produits locaux, créé par Nicolas Fruh il y a maintenant deux ans, juste avant le premier confinement. La première tournée a d’ailleurs été réalisée lors de ce moment particulier. Le fonctionnement est simple : l’entreprise récupère directement des fruits, légumes, laitages, jus de fruits, galettes, viandes, plats cuisinés…chez les producteurs locaux, et les livre ensuite aux clients, sur une zone de 21 kilomètres autour de Rennes et sur la côte d’Emeraude. L’objectif : limiter les déplacements pour les consommateurs, les mutualiser pour faire baisser le bilan carbone, tout en apportant un service logistique aux producteurs. « Aujourd’hui, ils sont au nombre de 80 dans le réseau, ce qui nous permet de proposer une gamme de plus de 500 références », précise Nicolas. « Des produits locaux, pour la grande majorité bio : 90% des fruits et légumes et 100% du pain par exemple ». 110 foyers, une vingtaine d’entreprises, de restaurateurs et de crêches sont ainsi livrés chaque semaine, les mercredi et jeudi, par la structure, qui compte désormais six salarié.e.s

Déjà soutenu par trois clubs Cigales, 21km veut aussi impliquer les consommateurs dans son développement. Un financement participatif a été lancé, via la plateforme spécialisée Miimosa. Objectif : atteindre entre 8000 et 15000€ pour réaliser les investissements nécessaires au développement de la tournée, pour faciliter le travail de l’équipe sur le terrain et améliorer les outils logistiques et numériques pour continuer à étoffer le réseau des producteurs. « On aimerait proposer notamment des produis de la mer, et il nous faudrait pour cela de nouveaux outils », confie Nicolas. Avis aux personnes intéressées, il reste encore 24 jours pour apporter sa pierre à l’édifice !

 

Plus d’infos

https://21km.fr/

https://miimosa.com/fr/projects/21km-pour-une-alimentation-locale-et-humaine

 


Pssst…nous avons besoin de vous !

Nous sommes un webmédia associatif, basé à Morlaix qui met en avant les actrices et les acteurs des transitions écologiques nécessitant évidemment des transitions sociales, culturelles et solidaires dans nos territoires de Bretagne. Outre, notre site d’information, alimenté par notre journaliste-salariée et par des plumes citoyennes bénévoles, nous menons ponctuellement des actions de sensibilisation aux transitions et de formation aux médias citoyens avec des interventions auprès d’associations et d’établissements scolaires.
Pour tout cela, nous avons le soutien de collectivités territoriales et de l’Etat. Percevoir de l’argent public pour nos activités d’intérêt général fait sens pour nous.
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A Saint-Malo, des jeunes Européens débattent des enjeux maritimes

Du 13 au 17 avril, une centaine de jeunes Français et Européens se sont réunis à Saint-Malo pour la session annuelle française du Parlement Européen des Jeunes. Répartis en commissions, ils ont identifié différentes problématiques autour des enjeux maritimes. A l’issue de leurs travaux en groupe, ils ont élaboré des résolutions qui ont été mises en vote. Témoignages et explications avec Lise, Lira et Luc, trois jeunes engagés dans la démarche.

Lise Fortin et Lira Mikayelyan

 

 

C’est à Saint-Malo, cité maritime par excellence, que s’est déroulée la 49 ème session nationale du Parlement Européen Des Jeunes. Un événement qui est organisé chaque année par le Parlement Européen des Jeunes – France, une association loi 1901, non partisane et à but non lucratif, qui a pour but de promouvoir la citoyenneté active des jeunes. « Depuis sa création en 1994, l’association organise régulièrement des simulations de session parlementaire, basées sur le modèle du Parlement européen, afin de permettre aux jeunes de développer leur esprit critique et leur donner des clefs pour participer activement en tant que citoyens et citoyennes à la construction du monde responsable de demain. », explique Marion Goncalves, qui s’occupe de la communication de l’évènement de Saint-Malo. Celui-ci a réuni ainsi durant cinq jours une centaine de jeunes Français et Européens, agés de 16 à 25 ans, pour des débats autour des grands enjeux maritimes contemporains. A l’issue de ceux-ci, menés dans différentes commissions, des résolutions sont soumises au débat et au vote.


A écouter, l’interview de Lise Fortin, bénévole chargée des évènements nationaux au sein du PEJ France.

 


Trois questions à …. Lira Mikayelyan, Arménienne, présidente de la session de Saint-Malo (Interview réalisée initialement en anglais, ndlr)

Pouvez-vous présenter l’événement qui se déroule à Saint-Malo ?

Nous sommes là aujourd’hui pour la session nationale du Parlement Européen des Jeunes, organisée par l’association française, et qui va rassembler une centaine de jeunes. Le but de ce type de ce rassemblement est de promouvoir la citoyenneté active chez les jeunes, et de discuter de problématiques européennes importantes, entre jeunes, de comprendre quelles sont leurs idées et comment ils voudraient façonner le futur tous ensemble, tout en trouvant des solutions à leurs problèmes.

Comment réagissez-vous face au bouleversement climatique ?

Je crois que c’est un sujet très important, avec tout ce qui est en train de se passer actuellement. Je pense que même si parfois les gens n’ont pas l’impression que c’est un sujet crucial, parce qu’ils ont déjà beaucoup d’autres soucis, à long terme c’est une source d’enjeux extrêmement importants. Le réchauffement climatique va impacter tous les domaines de la vie. Si on n’agit pas autant que possible, cela va impacter à la fois notre environnement, mais aussi notre économie et nos vies, et ce sera très sérieux.

Pensez-vous que les jeunes peuvent agir concrètement, et changer l’opinion publique ?

Oui bien sûr, je pense que l’une des raisons pour lesquelles nous organisons et participons à des initiatives à dimension européenne comme celle d’aujourd’hui, c’est de mieux comprendre les changements qui arrivent, via la lecture de documents par exemple pour préparer les travaux en commissions. Nous élaborons les problématiques, en débattons et proposons des solutions. Grâce à tout cela, nous pouvons avoir un impact. Je suis par ailleurs plutôt optimiste pour le futur quand je vois tous ces jeunes ici qui sont si enthousiastes et veulent agir.


Le témoignage de Luc, 17 ans, Malouin et « head manager » de la session

Lus est élève au Lycée Les Rimains, à Saint-Malo. Il a découvert le Parlement Européen des Jeunes « L’année dernière ». Une association qui lui a tout de suite plu, et dans laquelle il a eu envie de s’engager en participant à l’organisation de la session annuelle à Saint-Malo. Sensibilisé à la protection des ressources marines, il participe aussi au programme « éco-conseillers de l’océan », mis en place par Océanopolis et la région académique de Bretagne. Pour lui, c’est important d’arriver à « sensibiliser tout le monde », et particulièrement sa génération. « Les jeunes peuvent être force de proposition pour la protection des océans et de la planète ».

 

 

Plus d’infos

https://www.pejfrance.org/




L’idée sortie. Une « journée sur l’herbe » à la Prévalaye à Rennes ce dimanche

Ce dimanche, passez « Une journée sur l’herbe » à la Prevalaye à Rennes, à la découverte de la nature, du jardinage, des productions paysannes et de la biodiversité.

« Une journée sur l’herbe » revient pour une nouvelle édition à Rennes, à la Prevalaye. Organisée par l’Ecocentre de la Taupinais, la Ville de Rennes et ses partenaires, elle a pour objectif de faire découvrir à tous la nature, le jardinage et les productions paysannes, ainsi que le quartier de la Prevalaye.

Au programme : de nombreuses animations, en compagnie d’associations locales.

On pourra ainsi partir dès 9h30 en balade à la découverte des oiseaux de printemps avec la Ligue de Protection des Oiseaux, participer à un apéro bio à petits prix, en savoir plus sur l’art floral japonais de l’Ikebana, visiter la Basse-Cour et le Jardin des Mille Pas, ou encore assister à des démonstrations autour des baumes à de plantes…

Le jardinage fait également l’objet d’un riche programme d’animations, dès 10h du matin, avec de nombreux ateliers : greffe de fruitiers, troc de plantes et de graines, découvertes des abeilles, tressage, dessins dans la nature, jouer avec les fleurs communes…

Le patrimoine de la Prevalaye sera également mis à l’honneur, durant une balade de 2h animée par Destination Rennes.

A noter aussi, la présence d’un Repair Café, et d’un « Vélo Smoothie » : il faudra pédaler pour déguster ! Et un concert permettra de clôturer la journée en musique.

L’entrée est libre gratuite, une restauration et une buvette seront disponibles sur place.

Attention, le nombre de place est limité pour les balades et certains ateliers. Les inscriptions sont nécessaires au 02 23 62 29 51 ou ecocentre-taupinais@ville-rennes.fr

Le programme est disponible sur le lien https://fr.calameo.com/read/005416234fa8dfa8bf80b