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L’idée sortie. Le « Marché Super » dimanche à Rennes

Dimanche, le Marché Super, organisé par AgroBio35, s’installe place Jean Normand dans le quartier du Blosne à Rennes. Le concept : on fait ses emplettes chez la vingtaine de producteurs et productrices bio présent.e.s qui proposeront des lots et des prix attractifs, et on paie le tout à la sortie, avec une brouette à la place d’un caddie !

 

« Organiser des des ventes éphémères de produits frais et locaux, en lots et à prix ronds, dans différents quartiers de Rennes Métropole, dans une ambiance festive », c’est l’objectif des Marchés Super, organisés mensuellement par Agrobio 35, réseau des agriculteur.rice.s bio d’Ille-Et-Vilaine, regroupant 500 adhérent.e.s. Le principe de ce marché d’un nouveau genre est simple : en vente par les producteur.rice.s ou en libre service, des fruits, légumes, de l’huile, du pain, du fromage, produits laitiers, conserves, tisanes…sont achetées par les clients, qui paient leurs achats en une seule fois à la sortie. Et des brouettes sont mises à disposition des caddies !

Dimanche 12 février, le Marché Super se tiendra dans le quartier du Blosne à Rennes, au pied de la station de métro du même nom, sur la place Jean Normand. On y trouvera, en plus de la vingtaine de producteurs et productrices présent.e.s, six associations et structures locales : Breizhicoop (supermarché coopératif), Au P’tit Blosneur (association du quartier qui met en lien les habitant.e.s), Les Cols Verts (Micro-ferme urbaine), l’Etabli Des Mots (librairie coopérative indépendante), Quartier des Ondes (radio des habitant.e.s du Blosne).

On pourra également manger des galettes préparées sur place, et écouter le concert bossa-nova du groupe « Les Collines de Medellin ».

 

Pratique :

Marché Super, de 10h à 14h, place Jean Normand, quartier du Blosne à Rennes (35)

Tous les deuxièmes dimanche du mois dans la métropole rennaise

Prochain rendez-vous : le dimanche 12 mars à Saint-Jacques-de-La-Lande

 

Plus d’infos :

agrobio-bretagne.org




Assainissement : changeons notre regard et reconsidérons nos déchets.

(Plume Citoyenne) Nous sommes élèves en Seconde Bac Pro Technicien Menuisier Agenceur au lycée Alphonse Pellé de Dol-de-Bretagne. Cette année, nous allons participer à un projet pédagogique mettant en lien plusieurs acteurs de notre territoire. En effet, nous allons réaliser des éléments de coffrage pour la mise en place de toilettes sèches à L’Ôôôberge, l’habitat participatif de notre commune. Au-delà de la fabrication de ces ouvrages, ce projet sera pour nous l’occasion de faire connaissance avec les différents acteurs et partenaires impliqués dans cette initiative. Nous documenterons ici nos avancées et nos rencontres via une série d’articles.

Premier article par Guillaume et Mathis, élèves de seconde Bac Pro Technicien Menuisier Agenceur au lycée Alphonse Pellé de Dol-de-Bretagne, accompagnés de Rachel Guitton, professeure documentaliste.

Vendredi 18 Novembre 2022, nous avons rencontré des habitants de l’Ôôôberge. Irène, Samuel et les deux François, qui nous ont accueilli dans l’espace commun. Cette rencontre fut l’occasion pour nous de découvrir le projet et l’histoire de cet habitat participatif et surtout d’en apprendre davantage sur l’assainissement et ses problématiques actuelles.

 

Les toilettes à eau, une révolution devenue un non-sens écologique

Les toilettes à eau que nous utilisons aujourd’hui ont été inventées au XIXe siècle et ont pour principe de fonctionnement, le tout-à-l’égout. A l’époque, puis tout au long du XXe siècle, ce système d’assainissement était considéré comme un véritable progrès ayant permis d’éradiquer des maladies et des épidémies comme celle du choléra. Or, nous découvrons aujourd’hui que ce système est un non-sens écologique notamment parce qu’il fonctionne avec de l’eau potable.

Très pratiques, les toilettes à eau ont l’avantage d’être faciles à utiliser, il suffit de tirer la chasse d’eau pour faire disparaître nos excréments. C’est confortable, hygiénique et ça préserve l’intimité. Mais ce système demande une logistique complexe et une consommation énergétique importante. L’usage des toilettes à eau souille 150 litres d’eau potable par personne et par jour1. Et les installations pour dépolluer et épurer l’eau sont coûteuses en énergie car concrètement, il s’agit tout de même de dépolluer environ 13 millions de mètres cubes d’eaux usées par jour ! Cette action de dépollution est compliquée et il persiste malgré tout une pollution résiduelle qui est évacuée dans les océans, dans la mer et dans nos rivières. Et puis, évidemment, les toilettes à eau représentent un coût financier pour les usagers (prix de l’eau potable, abonnement au réseau, impôts…).

Cependant, les toilettes à eau et le tout-à-l’égout restent dans l’imaginaire collectif un progrès essentiel qui a apporté beaucoup de confort à toutes les classes sociales. Pour bon nombre de personnes, il est impossible d’envisager une autre solution d’assainissement, les toilettes sèches étant alors perçues comme un retour en arrière.

Les toilettes sèches, bien plus qu’un enjeu écologique

Aujourd’hui, il est grand temps de repenser le modèle de nos toilettes et de se pencher plus attentivement sur le concept des toilettes sèches. En effet, grâce aux échanges avec les résidents, nous avons découvert que les enjeux de l’utilisation des toilettes sèches sont multiples et touchent différents champs de notre société.

Grâce à Samuel, nous avons découvert qu’en utilisant le tout-à-l’égout comme assainissement principal, nous perdions des ressources tout en générant des déchets. En effet, nos excréments et notre urine contiennent des nutriments (azote, potassium, phosphate…) très utiles en agriculture comme engrais et fertilisant. Ils deviennent alors des ressources naturelles indispensables pour nos sols. Il y a donc derrière la généralisation de l’assainissement écologique un enjeu agricole : prendre soin de nos terres, nourrir nos sols de façon écologique plutôt que de le faire avec des engrais chimiques polluants.

Ces derniers temps, l’épidémie de Covid-19 et, sur notre territoire, les épidémies de gastro dans les parcs à huîtres nous ont montré que le traitement de l’eau via les stations d’épuration et de potabilisation n’est pas efficace et arrive à saturation. De plus, l’épisode de sécheresse de 2022, nous a fait prendre conscience que l’eau potable est une richesse à préserver et qu’il devient donc illogique de la souiller et de gaspiller en tirant la chasse d’eau de nos toilettes. Nous sommes donc face à un enjeu de citoyen et à un enjeu de santé publique.

Et puis bien sûr, derrière la question de l’assainissement se cachent aussi des enjeux économiques, politiques et sociaux (être accessible à tous, culturellement, socialement, techniquement et financièrement).

Après cette matinée passée aux côtés des habitants de L’Ôôôberge, nous nous sommes rendus compte que développer l’usage des toilettes sèches, c’est s’engager dans une démarche de prévention des sols et dans une démarche de réduction de nos pollutions domestiques. C’est aussi réduire les risques sanitaires et considérer nos excréments non plus comme des déchets qu’il faut s’empresser de faire disparaître mais plutôt comme des ressources naturelles. Il reste cependant des freins importants à lever pour la généralisation de cet assainissement, notamment celui du tabou autour de nos excréments et celui des préjugés autour des toilettes sèches (odeurs, manque d’hygiène, retour en arrière…).

Dans un prochain article, Lucas vous présentera le système retenu et développé par les habitants de L’Ôôôberge pour équiper cet habitat collectif en toilettes sèches.

 

 

Pour aller plus loin : L’Ôôôberge, habitant.e.s du monde et aussi d’ici, Habitat participatif à Dol-de-Bretagne : http://www.loooberge.org/?PagePrincipale

Source des images proposées : Illustrations tirées de l’exposition Terr’eau 2016, graphisme Julien Revenu, https://www.terreau.org/Exposition-Terr-Eau-2016.html

 

1 Fabien Ginisty, Chiottes sèches à tous les étages, L’âge de faire, n°138, février 2019




Une cagnotte pour une reprise associative de la micro-ferme urbaine rennaise Perma’G’Rennes

L’association « Les amie.s de Perma’G’Rennes » lance une collecte de dons afin de reprendre la micro-ferme urbaine maraîchère en permaculture, basée à la Prévalaye à Rennes (35). Objectif : 20 000 euros, pour dans un premier temps racheter le matériel de l’exploitation.

Mickaël Hardy est installé depuis juin 2016 sur le site de la Prévalaye, à Rennes. Il s’est lancé dans un projet encore peu courant sur le territoire breton : une micro-ferme intensive maraîchère en permaculture, en milieu urbain, sur des terres appartenant à la Ville de Rennes. C’est ainsi qu’il s’est installé sur un système très petit, d’un demi-hectare, avec l’objectif de produire autant qu’en agriculture bio sur une surface de un ou deux hectares. Le tout en utilisant les principes de la permaculture, et en utilisant le moins possible les énergies fossiles. Aujourd’hui, la micro-ferme urbaine s’étend sur 5000 m2, produit 150 variétés de fruits et légumes bios, et vend 80 paniers par semaine.

Mais la vie de Perma’G’Rennes n’est pas un long fleuve tranquille…la petite exploitation est menacée par le projet d’extensions du parc d’entrainement du Stade Rennais. Et Mickaël Hardy s’est fait agressé cet été par un voleur de légumes…Après six années seul sur la ferme, celui-ci souhaite passer le relais. Une association, « Les ami.e.s de Perma’G’Rennes », veut reprendre le flambeau. « Nous ne souhaitons pas voir tout cet investissement disparaître alors qu’il s’agit, pour nous, d’une vitrine de l’agriculture contemporaine et à venir, car ce type d’exploitation est plus consciencieux des enjeux humains et environnementaux. », expliquent les membres, dans un communiqué.

Ils ont lancé une opération de « dons d’intérêt général », permettant des déductions d’impôts à hauteur de 66%, avec pour objectif de récolter 20 000 euros. Une somme qui servira à racheter le matériel de la ferme, et à « faire vivre humainement l’association et écologiquement le lieu », peut-on lire sur la page HelloAsso, où la collecte a été mise en place.

L’équipe de bénévoles envisage à plus long terme de relancer des ateliers sur la ferme, et d’embaucher une maraichère professionnelle pour coordonner l’activité agricole, ainsi qu’un contrat d’insertion qui sera permanent de l’association.

La collecte prendra fin dans 54 jours. Pour rejoindre les 103 contributeur.trice.s qui ont déjà fait un don, rendez-vous sur https://www.helloasso.com/associations/les-amis-de-perma-g-rennes/collectes/participez-a-la-reprise-et-au-sauvetage-de-l-association-permag-rennes




A Rennes, Bibou incite à repenser la consommation de vêtements pour les jeunes enfants

Quand on sait qu’en Europe on jette à peu près 4 millions de tonnes de textiles par an, l’achat d’occasion peut se révéler une bonne pratique, à la fois pour la préservation de l’environnement mais aussi pour son porte-monnaie. Notamment lorsqu’on a jeunes enfants, période où les besoins sont nombreux. A Rennes, Martin Letellier, jeune papa, a créé Bibou, un concept qui permet de consommer autrement et d’échanger des vêtements pour les 0-3 ans.

C’est au deuxième étage de l’Hôtel Pasteur (voir encadré), au centre de Rennes, que Martin Letellier a installé ses portants à vêtements. Une phase de test qui va durer trois mois pour Bibou, le nom du concept de troc de vêtements d’enfants qu’il a créé. Un tournant dans la carrière et la vie de ce papa trentenaire de deux enfants de quatre ans et demi et seize mois. Ingénieur en informatique à l’informatique, il a un déclic en 2021, suite à la naissance de son fils. « J’ai lu le rapport du Giec, qui expliquait que dans 30 ans, les enfants nés en 2021 auront une vie très compliquée du fait des conséquences du réchauffement climatique », explique-t-il. « J’ai alors voulu mettre mes compétences au service d’un projet qui aurait un impact sociétal fort, et un impact environnemental moindre ». Martin quitte alors son travail en août 2021, et se lance dans la création de Bibou : un concept d’échange de vêtements pour enfants de 0 à 3 ans. « J’ai étudié toutes les solutions existantes pour s’équiper quand on est parents de jeunes enfants », précise Martin. « A chaque fois, il y avait différentes problématiques qui apparaissaient : la location d’habits a du mal a fonctionner, les différentes applis sur lesquelles on peut faire de l’achat ou de la revente sont chronophages et ont un impact environnemental non négligeable, et l’achat neuf reste cher, sans compter une forte empreinte carbone ». Son idée, avec Bibou : recréer de façon formelle les échanges qui peuvent se faire entre membres d’une même famille (frères, sœurs, cousin.e.s…) mais « dans un cercle beaucoup plus grand, au sein d’une ville, avec un tiers de confiance ».

Comment fonctionne Bibou ? Il suffit de faire le tri chez soi, et de déposer à la boutique des vêtements dont on souhaite se séparer. Grâce à un système de « Bibs »,qu’on obtient lors du dépôt, on peut en acquérir d’autres habits. Martin veille à ce que « tout soit en bon état et propre ». Et peu importe qu’un body ou un manteau soit d’une marque, c’est l’usage qui ici est important.

Pour utiliser le service, il est nécessaire de souscrire un abonnement, avec plusieurs formules possibles, mensuelles ou annuelles. A noter que les livres, jouets et accessoires de petite puériculture sont également acceptés !

Jusqu’au 2 décembre, il est donc possible de découvrir le concept de Martin Letellier en se rendant à l’hôtel Pasteur. Par la suite, il ambitionne d’essaimer Bibou sur le territoire français. Dans un futur un peu plus proche, le trentenaire cherche un.e associé.e, pour porter le projet avec lui. L’appel est lancé !

 

Pour en savoir plus : https://bibou.me/

 

L’Hôtel Pasteur

L’Hôtel Pasteur est un bâtiment historique, situé dans le centre de Rennes, construit à partir de 1888. En 1897, il devient le siège de la Faculté des Sciences, jusqu’à son déménagement sur le campus de Beaulieu en 1967. De 1969 à 2018, c’est la faculté dentaire qui s’y installe.

En janvier 2013, une permanence architecturale s’installe dans les locaux, et de février à août ont lieu « Les rencontres de l’université foraine ».

En 2016, une association est constituée. Elle est liée par une convention à la Ville de Rennes, propriétaire du bâtiment, en 2019.

Le lieu abrite aujourd’hui une école maternelle, un « édulab » (tiers-lieu éducatif) et un « hôtel à projets », qui héberge temporairement, comme son nom l’indique, des projets, de 3 heures à trois mois, pour tester son activité.

En savoir plus sur ce projet participatif: https://www.rennes-business.com/fr/business-a-rennes/actualites/responsabilite-societale-entreprise/hotel-pasteur/




La « Caravane des transitions » poursuit et termine son périple près de la Roche Aux Fées (35)

Sur le territoire de Roche Aux Fées Communauté, la « caravane des transitions » s’apprête à terminer sa tournée des communes avec deux dernières haltes en ce mois de septembre. Un projet, à l’initiative du réseau associatif Ideal, et qui a pour objectif de sensibiliser les habitant.e.s à la transition écologique. Interview avec Marion Doré, coordinatrice du projet.

 

En quoi consiste le réseau Ideal et comment s’est-il constitué ?

Sur le territoire de Roche-Aux-Fées Communauté, il y a beaucoup d’associations tournées vers la transition écologique, la protection de l’environnement, la création de lien social, la culture…En 2018, une projection du film « Après demain » de Cyril Dion a eu lieu à Retiers. Plusieurs spectateurs ont alors émis l’idée de se réunir et de mettre en place des actions. Il y avait notamment l’idée d’organiser un événement festif itinérant, qui permettrait d’aborder les thèmes de l’écologie, de l’urgence climatique, du lien social. C’est ainsi que s’est constitué le réseau Ideal, qui signifie « Ici Demain Ensemble Agissons Localement », qui est devenu une association loi 1901 par la suite. La Communauté de Communes de la Roche-Aux-Fées est alors venue rencontrer les membres, dans l’optique de répondre ensemble à l’appel à projet « Mobiliser les breton.ne.s pour la transition » lancé par la Région et l’Ademe. Le projet de « caravane des transitions » itinérante a ainsi été imaginé, et retenu.

Concrètement, comment se déroule cette caravane ?

C’est un dispositif itinérant, qui se déploie sur une ou plusieurs communes, lors de chacune des six haltes prévues. Durant trois jours, les vendredis samedis et dimanches, nous nous installons dans un lieu stratégique, afin d’aller à la rencontre des habitants. L’idée est de rassembler un maximum de citoyens et citoyennes. Nous avons à disposition des livrets, des documents, des jeux, qui aident à la discussions et à réfléchir sur les transitions. Le chantier d’insertion « Lever de rideau » de Redon (35) nous a créé un dispositif modulable, avec beaucoup de rangements, et des panneaux en forme de caravane. On peut ainsi facilement collecter les besoins et envie des habitant.e.s, afin de les faire remonter à la Communauté de Communes par la suite. La Caravane a aussi comme objectif de mettre en valeur les initiatives existantes sur le territoire. Et à chaque fois, on co-construit le programme avec les associations locales.

Quel est l’accueil du public ?

Pour le moment, nous avons réalisé quatre haltes, ce qui représente 12 jours d’animations. Nous avons vus des personnes qui sont venus une première fois, qui ont découvert le projet, et qui sont revenues et devenues bénévoles ! Il y a d’autres qui ont calculé leur empreinte carbone pour la première fois, et qui se sont aperçus que celle-ci était élevée. Des familles se sont intéressées au thème de la mobilité douce et réfléchissent désormais à l’usage du vélo au quotidien pour remplacer la voiture…Il a des questionnements !

Il ne reste plus que deux étapes avant la fin de projet. Quel est le programme ?

Les 9, 10 et 11 septembre, nous seront à Amanlis. Le thème de cette halte sera la biodiversité. Le vendredi 9 septembre, le film « Des abeilles et des hommes » sera diffusé à 20h30 à la salle polyvalente, suivi d’un temps d’échange. Le samedi 10, des animations seront organisées toute la journée, notamment une sortie nature. On pourra participer également à des ateliers et à une conférence autour de la biodiversité et la pollution des océans, grâce à l’association « La fresque océane ».

La dernière halte aura lieu du 23 au 25 septembre, sur les communes du Theil De Bretagne, Arbriselle et Retiers, autour des thèmes de l’agriculture et de l’alimentation durable, un thème très important pour la transition écologique. On essaiera de trouver ensemble des solutions adaptées au territoire. Le dimanche 25 sera la journée de clôture de la caravane, l’occasion de passer une journée conviviale et festive pour conclure le projet.

 

 

Tout le programme détaillé est sur le site https://reseau-ideal.fr/

Un financement participatif est en cours, pour collecter des fonds pour la caravane : https://www.helloasso.com/associations/ideal-ici-demain-ensemble-agir-localement/collectes/caravane-des-transitions

 


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La transition écologique dans tous ses états sur Rennes Métropole avec « Bienvenue en transition »

Le projet « Bienvenue en transition », qui vise à mettre en lumière des initiatives citoyennes présentes sur Rennes Métropole et à donner envie aux citoyen .ne.s se passer à l’action, continue jusqu’à l’année prochaine. Alors que le prochain rendez-vous aura lieu en octobre et aura pour thème la protection de la nature, on peut écouter une série de podcasts compilant des témoignages d’habitants portant des projets, sur le site de la Maison de la Consommation et de l’Environnement (MCE) de Rennes.

Le projet « Bienvenue en transition » a été lancé en 2021, et se poursuit jusqu’en 2023. Développé par les associations de la Maison de la Consommation et de l’Environnement de Rennes et celle-ci, il a pour objectif « d’aller à la rencontre des initiatives citoyennes qui existent déjà autour de nous avec le souhait de favoriser la transmission des savoirs et savoir-faire entre habitants ! », peut-on lire sur le site internet dédié.

A cette fin, tous les deux à trois mois, un week-end de « portes ouvertes » est organisé dans les communes de Rennes Métropole, autour des thématiques suivantes : Habiter / Consommer autrement / Se nourrir / Protéger la nature / Se déplacer.

Après un premier week-end consacré aux initiatives pour « habiter autrement » en octobre 2021, un second pour « se déplacer autrement » en mai 2022, et un troisième pour « consommer autrement », on pourra découvrir du 5 au 12 octobre comment « protéger la nature » sur Rennes Métropole.

Les organisateurs appellent d’ores et déjà les habitants à faire connaître leurs initiatives, ou celles de leur connaissance, sur le sujet, via un formulaire disponible sur le site de la MCE.

En attendant, on peut découvrir le témoignages de certain.e.s habitant.e.s de Rennes Métropole qui ont porté des projets de transition écologique grâce à une série de podcast. On peut ainsi découvrir grâce à l’écoute le pédibus d’Acigné, les vacances à vélo avec Damien, une extension de maison en écoconstruction avec Didier, le repair Café de Cleunay…entre autre. Les podcasts sont disponibles sur les plateformes habituelles (spotify, apple…) et aussi sur le site de la MCE (on vous conseille de les écouter par ce biais, ce qui vous permettra de découvrir aussi de nombreuses autres informations!).

 

Plus d’infos :

https://www.mce-info.org

https://www.bienvenueentransition.org/temoignages/

 


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