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A Rennes, deux jours autour du « vivant non humain » qui peuple la ville

Vendredi 23 et samedi 24 février, l’hôtel Pasteur, à Rennes, sera placé sous le signe du vivant. En effet, les associations Faon/Zine (qui édite le fanzine Cui-Cui), Wild Bretagne et la Compagnie l’Effraie y proposent un « Hiver non humain ». Au programme : expos, projection, paysages sonores, jeux…autour de tous les êtres vivants qui cohabitent avec nous dans la ville.

Objectif de la manifestation : Etre « Un espace d’immersion et de réflexion pour apprendre à voir et connaître les autres êtres vivants qui cohabitent avec nous dans la ville et ses alentours, pour comprendre leurs singularités, leurs besoins et leurs fragilités », explique Timothée Cantard, écologue, à l’origine de l’association Faon/Zine et de Cui-Cui. Des artistes, des naturalistes, des plasticiens.ne.s seront ainsi présent.e.s durant deux jours, pour mettre à l’honneur le « vivant » qui est présent dans la ville, sous des formats très variés.

Au programme, un « cabinet de curiosité », comme le définit Timothée, et qui va se décliner sous la forme de projections, d’expositions, de paysage sonore, de jeux…

On retrouvera ainsi dès vendredi à 14h30, un atelier animé par Wild Bretagne, et baptisé « Atelier des Antémondes », durant lequel il s’agira d’imaginer collectivement « un futur enviable post pétrole et post-capitalisme », à partir de l’ouvrage « Bâtir aussi ». A 18h suivra une lecture/slam du numéro d’hiver de « Cui-Cui », le fanzine dédié au vivant, par ses contributeurs et contributrices.

Le samedi, des artistes et naturalistes animeront l’atelier « Rennes non humain », durant lequel on pourra créer des « portraits des vivants » de la ville de Rennes, en papier découpé.

Un plateau radio, « Radio court-circuit », sera aussi en place, animé par la Compagnie l’Effraie, et permettra de discuter autour des vivants non humains présents en ville.

A 17h15, la nouvelle « La vipère péliade n°42 » sera lue, suivie à 18h de la projection du court-métrage « Le chant du cachalot », par Adeline Faye, qui sera présente pour échanger avec le public.

A noter aussi, les expositions qui seront présentées sur les deux jours : « Envolée à la Courrouze » par Lucie Robin, mettant en scène les oiseaux inventoriés sur quatre milieux du quartier, « Les vivants du quartier » par Faon/Zine et Wild Bretagne, une évolution cartographique de la ville de Rennes et de la place accordée au vivant, « Resistance Sauvage » par Wild Bretagne (Alexandre Patureau), qui présente le témoignage et le point de vue d’animaux qui se rebellent contre la destruction de leur habitat, et enfin « Bialowezia, la dernière grande forêt sauvage d’Europe », par Wild Bretagne (Yann Moisan, Sane Pasquet, Alexandre Patureau), expo mêlant peinture, écriture et photo, sur la dernière grande forêt primaire d’Europe.

 


Pratique

« Un hiver non humain », les vendredi 23 et samedi 24 février, Hôtel Pasteur à Rennes

De 14h à 19h

Entrée à prix libre

Plus d’infos sur  https://fb.me/e/1Taw4ZoFl




Espero, un atelier rennais qui tisse des liens entre insertion, local et upcycling

A Rennes, dans le quartier de la Donelière, au sein du tiers-lieu d’artisanat «Comme un établi », les machines à coudre d’Espero se sont installées depuis octobre. Des salarié.e.s en insertion, exilé.e.s, fabriquent des vêtements et accessoires grâce à des tissus non utilisés. Des créatrices et créateurs locaux font aussi appel à leurs talents.

Espero est une « association à mission sociale et environnementale qui accompagne les personnes éloignées de l’emploi vers les métiers de la transition écologique ». Créée en 2016, elle a développé, d’abord en Ile-De-France, des activités d’apiculture urbaine, de maraîchage et de couture upcycling. C’est cette dernière mission qui a essaimé en Bretagne, à l’initiative de Marion Levesque, qui coordonne l’antenne régionale, après un passage par l’incubateur du Tag35.

L’atelier d’Espero a désormais posé ses machines à coudre dans le « Pôle textile » de Comme un Etabli, rue Bahon-Rault, à Rennes, « tiers-lieu » de l’artisanat. « On a ouvert nos portes le 2 octobre », rappelle Maëlle Pisigo, responsable de l’atelier couture. Depuis quelques mois, les salarié.e..s, des personnes exilées qui viennent d’Ukraine, d’Afghanistan ou encore de Guinée, sont embauchées en CDD d’insertion. « Ils et elles avaient déjà une expérience dans la couture, dans leur pays d’origine », précise Maëlle. Le fait d’être en contrat d’insertion permet d’être un tremplin, pour le futur. « Une conseillère les aide à lever les différents freins, et les épaule dans leur démarches administratives, comme par exemple au niveau du logement ou du permis ». Et 3 heures de cours de français sont dispensés chaque semaine.

Sur les machines professionnelles, boutonnières, ou encore presse, les salarié.e.s d’Espero travaillent avec du tissu invendu et récupéré, pour fabriquer des vêtements et des accessoires (sacs bananes). Une marque « Espero » est en train d’être développée. « On fonctionne aussi en sous-traitance, on accompagne des créatrices locales et créateurs locaux, dans la conception et la découpe notamment». C’est le cas par exemple avec Purée !, marque rennaise, dont la veste upcyclée « Vague » est fabriquée par l’atelier d’insertion. Ou encore de TraajeT, marque de vêtements pour vélo, qui a confié la confection de son pantalon spécial « Velotaf » à l’équipe d’Espero. Une philosophie de « circuit court » qui s’applique aussi ici au secteur du textile !

 

Plus d’infos

https://www.esperofrance.org




« l’Ecole de l’Exploration » embarque à Saint-Malo pour se former aux enjeux du monde marin

Née en 2021 à Saint-Malo (35), l’Ecole de l’Exploration est une association loi 1901, dont l’objectif est « d’explorer le monde depuis la mer ». Une « communauté » ouverte à toutes et tous s’est ainsi constituée, faite de chercheurs et chercheuses, marins, artistes, explorateurs et exploratrices, entrepreneurs et entrepreneuses, citoyen.ne.s…avec en commun l’envie d’agir en collectif et de partager des connaissances, autour de l’océan.

L’Ecole de l’Exploration développe ses actions « selon trois axes », détaille Marie Dautzemberg, fondatrice de l’association : l’apprentissage « tout au long de la vie », la recherche, et la communication auprès du grand public. Tout ceci afin de trouver des réponses à de grands défis, comme par exemple « Avoir un océan en bonne santé ».

L’association organise ainsi des sessions pédagogiques interdisciplinaires, sur des enjeux liés à la mer et aux océans. « Dix rencontres de deux jours ont été déjà organisées », rappelle Marie. Les thèmes abordés sont variés : le futur des algues, l’avenir du transport maritime, les énergies de la mer, les pratiques de pêche… Lors de chaque sessions, « Des personnes-ressources viennent participer, des acteurs et actrices liées au monde de la mer ». Mais également des néophytes. Ce qui d’ailleurs fait « la richesse de l’Ecole de l’Exploration », selon Marie, qui entend bien, avec sa structure, faire connaître « la mer dans toutes ses dimensions, et pas seulement par le prisme des grands cétacés, ou de la pollution plastique, sujets qui sont souvent abordés dans la société . On veut aborder la mer sous son angle politique, scientifique, social également ».

La prochaine « sessions pluridisciplinaire » de l’Ecole de l’Exploration aura lieu les jeudi 15 et vendredi 16 février. Elle a été co-organisée avec Marine Pouchard, qui a créé Octopu’sh, projet qui vise à mettre en réseau des scientifiques, des artistes, des thérapeutes, des citoyen.e.s, qui prennent soin de « l’humain et de l’océan ».

Cette session de février mettra à l’honneur « L’océan et la recherche médicale ». La « suite » d’une précédente session organisée en 2022, qui était consacré à la santé des océans et aux liens entre santé et océan. « Cette fois-ci, nous allons nous interroger sur les ressources qui sont disponibles dans l’océan pour se soigner, sur la création de réseaux de « santé bleue » à l’échelle du territoire, et sur la santé environnementale océanique », précise Marie. Des chercheurs, laboratoires, médecins, stations de recherche, biologistes moléculaires…mais également des artistes, des acteurs associatifs et publics vont embarquer pour ses deux jours. On retrouvera notamment Franck Zal, Président et Directeur Scientifique d’Hemarina, à Morlaix, Julia Morales, directrice de recherche CNRS à la Station Biologique de Roscoff, ou encore Pascale D’Erm, réalisatrice et autrice.

Les inscriptions pour les deux jours à Saint-Malo, ouvertes à toutes et tous, sont encore possibles jusqu’au mercredi 14 février, via la plateforme HelloAsso.

 

Plus d’infos :

Ecole de l’Exploration

 

 




A Rennes et alentours, on « bûche » pour un chauffage au bois plus responsable

Sensibiliser le public aux bonnes pratiques liées au chauffage au bois, et aux dangers de celui-ci sur la qualité de l’air et de la santé. Tel est l’objectif du « Bûche Tour », organisé par la Maison et la Consommation de Rennes, la Fibois, et AirBreizh. La deuxième étape de cette opération démarrera le 20 janvier, avec la mise en place de « village éphémère » dans des magasins spécialisés dans le chauffage au bois, permettant d’échanger et distiller astuces et conseils auprès des habitant.e de l’agglomération rennaise.

Quoi de mieux que de se chauffer gràce à sa cheminée ou son poêle, lorsque l’hiver est là ? D’après l’Observatoire Breton de l’Environnement, près d’1,5 millions de tonnes de bois sont consommées par an en Bretagne, pour les chaufferies collectives et le chauffage domestique. La moitié des maisons individuelles de la région se chauffent ainsi au bois, particulièrement dans les zones rurales. Les trois-quarts des utilisateurs utilisent des bûches, et le reste des granulés.

Mais le chauffage au bois a un impact non négligeable sur la qualité de l’air. Il est responsable de la majorité des émissions de particules en suspension en Europe. Ces particules fines ne sont pas anodines sur la santé des personnes : allergies, asthme, augmentation des risques cardiaques et pulmonaires…et particulièrement chez les personnes vulnérables, comme les bébés ou les personnes âgées. Ces derniers jours en Bretagne, du fait de l’épisode de froid, des alertes aux particules fines ont été émises, en Ile-Et-Vilaine, Côtes d’Armor, et dans l’Ouest du Morbihan.

Dans l’optique d’informer les habitant.e.s de l’impact de la combustion du bois sur l’environnement et la santé, et d’éduquer aux bonnes pratiques, La Maison de la Consommation et de l’Environnement de Rennes, AirBreizh, et la Fibois, ont lancé une campagne de sensibilisation, baptisée le « Bûche Tour », et soutenue par la Dreal et Rennes Métropole.

Un premier temps d’animation a déjà eu lieu cet automne, sur les marchés de Cesson-Sévigné, Pacé, Betton et Sainte-Thérèse à Rennes. Un stand permettait aux habitant.e.s de trouver des réponses à leurs questions, et un jeu pouvait leur faire gagner une année de bois de chauffage.

La seconde phase est déployée en ce mois de janvier.Cette fois, des « villages éphémères » seront déployés sur trois dates, dans trois magasins spécialisés de la région rennaise.

On pourra ainsi retrouver le « Bûche Tour » le samedi 20 janvier chez « Cheminée Imagine », Route du Meuble à la Mézière, le samedi 27 janvier chez Aasgard à Chantepie, et le samedi 3 février chez Poêle et Breizh à Goven. On pourra y retrouver la MCE, la Fibois, AirBreizh et des experts du bois-énergie, qui seront présents sur des stands. Ce sera l’occasion de rappeler également quelques bonnes pratiques de chauffage au bois, disponibles également en ligne sur le site de la MCE :

  • Utilisez du bois prêt à l’emploi (< 23% d’humidité).
  • Respectez les conditions de stockage et de séchage du bois.
  • Ne brûlez pas les étapes d’allumage.
  • Régulez l’arrivée d’air pour faire des flambées vives.
  • Nettoyez et faites entretenir régulièrement votre appareil de chauffage au bois.
  • Un poêle certifié et une installation adaptée vous feront faire des économies !

 

Plus d’infos : 

Le site de la Maison de la Consommation et de l’Environnement

 

 




Comme un établi, pour partager des outils, des machines et des compétences à Rennes

[Rediff] Au nord de Rennes, au 5 Rue Bahon-Rault, se situe un atelier pas tout à fait comme les autres. Bienvenue à « Comme un établi » ! Ici, c’est en quelque sorte un tiers-lieu dédié à l’artisanat, un espace collectif où l’on se partage les machines et l’outillage. Ouvert aux professionnels et aux particuliers, l’espace, qui est une Scic, veut diffuser aussi des valeurs de partage et de mise en commun. Des événements y sont régulièrement organisés.

 

Dans cet ancien garage Peugeot, sur 1200 m2, on trouve ainsi « 22 structures pour 25 artisan.e.s » explique Awen, assistante de gestion et de développement. Quatre pôles composent le lieu : bois, métal, textile et décoration. Parmi les résident.e.s, on compte un menuisier, un charpentier, des architectes, un luthier, ébéniste, une tapissière, une métallière, un fabricant de vélo-cargo…les compétences sont variées. Certain.e.s se partagent les établis, dans une grande salle centrale baptisée « La Volière ». D’autres peuvent investir des box d’une dizaine de mètre carrés si besoin. Des bureaux sont aussi disponibles à l’étage, pour permettre aux profesionnel.le.s d’effectuer leurs démarches administratives, répondre aux demande de devis etc…Les particuliers ont également la possibilité de venir réaliser leurs projets personnels, et d’utiliser les outils électro-portatifs à disposition, « le soir et le week-end surtout », précise Awen.

 

Cliquez sur les photos pour les agrandir : 

C’est en 2017 que démarre l’aventure de Comme Un Etabli, à l’initiative de Benjamin Danjoun et Edvin Bernardin, deux passionnés de bricolage et de travaux manuels. Après avoir faire partie de l’une des promotions de l’incubateur du Tag35, le projet, d’abord associatif, a évolué ensuite vers une Scic (Société Coopérative d’Intérêt Collectif), qui comprend aujourd’hui 98 sociétaires. Le collectif est d’ailleurs l’une des valeurs forte portée par la structure. « L’idée, c’est aussi que chacun participe à la vie de l’atelier. On est ici dans l’échange », souligne Awen. Des espaces en commun, tels qu’une salle de pause ou une salle de réunion, ont été ainsi mises en place. « Et le mercredi, c’est cantine collective ».Les travaux d’aménagement de l’atelier ont été réalisés par les artisan.e.s du collectif. Comme un Etabli travaille aussi avec d’autres structures locales, comme par exemple La Briquetterie Solidaire, pour l’isolation du lieu en terre et paille. Elle va héberger aussi prochainement l’association Espero, qui œuvre à l’insertion de personnes réfugiées grâce à la couture upcycling, dans son espace textile. Et travaille également avec ses voisins de Vert Le Jardin, qui promeut le jardinage et le compost partagés.

Des évènements sont également régulièrement organisés au sein de l’atelier partagé : journée portes-ouvertes, projection de documentaires, participation aux Journées Européennes des Métiers d’Arts…et un grand marché de Noël, avec plus de 50 exposants, tous créateurs/créatrices et/ou artisan.e.s, qui aura lieu cette année les 16 et 17 décembre ! Une belle occasion de découvrir Comme Un Etabli au gré de la déambulation entre les stands, mis en place autour des machines.

 

Plus d’infos

https://www.commeunetabli.fr




L’arbre à l’honneur durant une semaine à Rennes

La Semaine de l’Arbre revient pour une édition 2023, jusqu’au 26 novembre, à Rennes. Porté par la Maison de la Consommation et de l’Environnement (MCE) et de nombreuses associations, l’événement est riche d’animations. Au programme : des balades, projections, ateliers, séances de plantations collectives…Pour en savoir plus, interview de Cécile Dubois-Salles, chargée de communication à la MCE.

 

Peux-tu nous rappeler ce qu’est la Maison de la Consommation et de l’Environnement de Rennes ?

La Mce est une « association d’associations », née en 1983 à Rennes. A l’époque, trois associations environnementales et six associations de consommateurs cherchaient un local. Sur suggestion de la ville, elles s’installent dans un espace commun. Aujourd’hui, la MCE regroupe 29 structures membres : des associations de consommateurs (CLCV, CGLC, Confédération Syndicale des Familles…), des associations naturalistes et de protection de l’environnement (Eau et Rivières de Bretagne, Bretagne Vivante, le Gretia, Société Mycologique de Rennes…), et d’autres sur des thèmes liés au cadre de vie (Rayon d’action sur le vélo, Empreinte sur l’éco-habitat, La Bonne Assiette sur l’Alimentation…). Une quinzaine de salarié.e.s travaillent à la MCE, aussi bien sur des missions d’animation que d’administration. C’est par ailleurs un lieu qui est unique en France, et qui fête ses 40 ans cette année !

 

Pourquoi avoir lancé une « semaine de l’arbre » ?

La première édition a eu lieu en 2021, avec le souhait de valoriser l’arbre en ville. On s’est rendu compte que beaucoup d’acteurs rennais organisaient des événements sur ce thème en automne, c’était donc la bonne occasion. A cette époque de l’année, on peut voir l’arbre dans sa structure entière, sans les feuilles, à nu. C’est idéal. L’idée, c’est aussi de se donner un temps pour faire attention à lui, mieux le comprendre.

 

 

Où vont se dérouler les animations, et quelles sont les associations partenaires de l’opération ?

Pour cette édition 2023, les communes concernées sont Rennes, mais aussi Chateaubourg, Bourgbarré et Pacé. Parmi les organisateurs de l’événement, on compte les associations La Nature en Ville, la Société Mycologique de Rennes, Vert le Jardin, les Jardinets de Saint-Cyr, la Société d’Horticulture 35, Mezen, le CPIE Forêt de Brocéliande, Agis Ta Terre, E-Graine Bretagne…L’Astrolabe, une librairie coopérative située dans le quartier de Maurepas à Rennes, est aussi mobilisée.

 

Quels sont tes « coups de cœur » dans la riche programmation qui est proposée?

Les plantations ! Le mercredi 22, il y aura une opération de plantation citoyenne d’un verger au Square des Hautes Ourmes à Rennes, avec le Collectif des Hautes-Ourmes et la Ville de Rennes. Samedi 25, il y aura également une plantation collective d’arbres fruitiers, sur des terrains municipaux, à Bourgbarré, avec l’association Les Planteurs du Boizh’ éloups.

Des projections du films sont aussi prévues, dont deux dans le cadre du Festival Alimenterre. Mercredi 22, nous accueillerons à la Mce le film « Barons perchés », une projection sur le séjour dans les arbres d’un groupe de jeunes durant trois jours en compagnie de l’association La Haut. A ne pas rater, le dimanche 26, la projection au cinéma l’Arvor du film d’animation familial « L’homme qui plantait des arbres », un moyen-métrage de 30 minutes très marquant, avec la voix de Philippe Noiret. C’est vraiment un bijou bouleversant !

On peut citer aussi d’autres événements comme la venue de deux druides : Pascal Lamour, musicien et auteur qui viendra lundi 20 à la librairie l’Astrolabe à Maurepas pour une rencontre et dédicace. Et Bran Du, qui sera le 25 novembre à la Mce pour une causerie sur l’arbre dans la tradition celtique. Tous les deux sont des puits de science sur le pouvoir des plantes et des arbres, dans notre histoire et sur notre territoire. Ce sont de belles personnes à écouter !

 

Programme entier à télécharger sur https://www.mce-info.org/semaine-de-larbre-novembre-2023/

A lire aussi : http://www.eco-bretons.info/devenez-enqueteur-enquetrice-et-denichez-les-arbres-remarquables-de-bretagne/