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A Moisdon-la-Rivière (44), la maison autonome donne des idées…

Ils ont choisi l’autonomie énergétique il y a 17 ans. Pour y parvenir, Brigitte et Patrick Baronnet ont installé 6 m2 de photopiles sur le toit de leur maison à Moisdon-la-Rivière (44). Et une éolienne de 4m60 de diamètre qui culmine à 18m de haut dans leur jardin. A cela s’ajoutent des récupérateurs d’eau de pluie, des ouvertures au sud, des isolants naturels, un banc thermique…Une bonne dose d’ingéniosité et une réelle prise en main de leur consommation. « Nous consommons environ 1,3 kw/h d’énergie par personne et par jour. Il faut prendre conscience de ce que signifie un watt et aller régulièrement voir le compteur avec ses enfants » explique Patrick Baronnet, fier d’avoir « coupé le cordon ombilical avec EDF ». Il en va de même pour l’eau qui sert uniquement à l’alimentation, la douche et au lavage des vêtements. « Les toilettes sèches, pour certains, c’est une corvée. Pour nous, c’est un plaisir parce que ça a du sens » affirme Patrick. Et pour l’alimentation, outre les légumes sortis tout droit de la terre du jardin enrichie au compost, les Baronnet s’approvisionnent chez les producteurs bio du coin. « Changer son alimentation, c’est le premier acte politique que l’on puisse faire » note Patrick.

3 E, 3 piliers

Ce couple, devenu célèbre pour son engagement environnemental, poursuit la visite de sa maison dite des « 3 E ». Qu’est ce que c’est ? « Écologique, économique, entr’aide. C’est une maison où l’on retrouve les trois piliers du développement durable, en somme. Paille, laine de mouton, terre crue, chanvre, énergie solaire…les ressources locales sont immenses. Le coût énergétique est faible si il y a une proximité : le projet est cohérent  lorsqu’on prend en compte les ressources qu’il y a autour. Il faut créer du sens, une harmonie, une localisation de l’économie et ainsi repenser l’aménagement du territoire » estime Patrick avant de lâcher : « Faire son jardin, sa maison, être autonome est un acte hautement politique. Plus on travaille, plus on consomme, et plus on a besoin d’argent. L’autonomie passe par le changement de soi ». Des mots qui raisonnent dans les esprits des 30 visiteurs. « C’est facile à dire ! » dénoncent certains, regards tantôt admiratifs, tantôt curieux, envers ce Patrick Baronnet pour qui tout semble si simple. Il rétorque :« l’autonomie, par définition n’existe pas. Elle n’est pas possible, c’est une question de degrés, de nuances. On est dépendant de l’air, de l’eau, de la lumière, de la nourriture. L’homme n’est pas libre, mais libérable. Lorsqu’on a compris cela, l’environnement fait intrinsèquement partie de nous mêmes. Reste à choisir ses dépendances ».

La créativité est liée au bonheur

Il sait parler Patrick. Et il en a vu de toutes les couleurs, sur les plateaux télé, quand une journaliste le prenait pour un marginal. « Les 14 et 15 juin 1997, nous avons organisé un éco-festival à la maison. C’était l’un des premiers en France. Nous prévoyions de recevoir qu’une centaine de personnes. Et finalement plus de 5 000 individus ont franchi le pas de notre jardin. Un marginal fédère-t-il autant de monde autour de lui ? Autre chose, 80% des ressources de notre planète sont consommées par 20% des êtres humains. Alors que 20% des hommes consomment 80% des ressources naturelles. J’ai fait le choix de consommer comme les 80% d’êtres humains. Aujourd’hui, je vous pose à nouveau la question : est-ce moi, le marginal ? »

Une aventure vers l’autonomie…

La visite se poursuit dans un zome, une construction qui porte le nom d’une forme géométrique composée de losanges. Chez les Baronnet, le zome est constitué de 12 côtés, entièrement construits à partir de matériaux naturels, et peut accueillir plusieurs dizaines de personnes. Et le débat reprend. Économie, éducation, créativité, politique…Cela pourrait durer des heures, tant chacun a des questions à poser. Mais il est déjà temps de s’en retourner. Alors, avant de partir, certains emportent un ou plusieurs livres ou DVD signés des Baronnet, histoire de faire partager cette belle aventure pour l’autonomie, avec ceux qui souhaitent se lancer. Et puis, comme Greg Bradel disait, « on est puissant si on en a la conviction ».

 

Quelques conseils de Patrick et Brigitte…

-Quel est le secret de l’éolien ? Il faut qu’elle se mette en route avec un vent faible. Lors de votre achat, demandez sa courbe de puissance en fonction du vent : l’éolienne doit être sensible à la moindre brise. Si elle commence à émettre de la puissance à partir de 6 km/h de vent, c’est bien !

-Pour stocker l’énergie, les batteries sont essentielles. Pourquoi ne pas opter pour les batteries solaires ? Elles ont une espérance de vie de 35 à 40 ans.

-Adapter sa maison aux standards permet de réduire les coûts des matériaux…

-Faites capter la lumière du soleil par des briques de terre crue : elles diffusent la chaleur accumulée lorsque la température baisse.

-Pour purifier l’eau, n’hésitez pas à utiliser la pouzzolane, une pierre volcanique.

-Si vous désirez créer un banc thermique, incorporez des bouteilles de verre et une plaque de schiste noire pour attirer et conserver la chaleur.

 
Plus d’infos:

http://www.heol2.org/

http://www.nature-et-culture.org/




Un microcrédit pour lutter contre la précarité énergétique

Pouvez-vous nous présenter l’association Parcours Confiance ?

Didier Gillet: Parcours Confiance est une association nationale loi 1901, créée en 2007 par la Caisse d’Epargne. Chaque Caisse d’Epargne Régionale a créé son association Parcours Confiance. Si le concept reste le même dans toute la France, chaque association régionale a sa propre stratégie d’action.
Par exemple, notre Parcours Confiance Bretagne-Pays de la Loire est l’association qui a fait le plus évoluer le concept: nous avons développé le plus fort volume de micro-crédits parmi les associations régionales. Depuis 2007, nous en avons octroyé 3000.

Justement, qu’est-ce que le micro-crédit ?

C’est un crédit créé pour un public exclu du circuit traditonnel du crédit bancaire. Il est destiné aux particuliers, qui ont bien souvent besoin de financement dans le cadre de projets liés à la mobilité (dans 70% des cas), comme un achat de voiture ou des réparations. Toutes les familles qui viennent sont dans des situations délicates : endettement, fichage à la banque de France, précarité, minima sociaux…

Nous pouvons leur apporter un recours grâce au micro-crédit, qui va de 300 à 3000 euros, sur une durée de 36 mois maximum. Nous évitons aux clients de tomber dans le piège de l’endettement. C’est pour cela que nous étudions scrupuleusement chaque dossier, pour éviter de surcharger financièrement les ménages.
La Caisse d’Epargne est l’organisme prêteur, et Parcours Confiance sert d’intermédiaire entre elle et les demandeurs. Le taux d’intérêt est de 3%, et il n’y pas de frais de dossier ni d’assurance. Il est juste nécessaire d’adhérer à l’association pour une faible somme, qui varie selon le montant du microcrédit.
 

En quoi consiste le partenariat que vous avez mis en place récemment avec la Fondation Abbé Pierre ?

Nous nous sommes aperçus que le microcrédit tel qu’il est proposé est actuellement insuffisant pour mener à bien des travaux de rénovation énergétique, nécessaires pour lutter justement contre la précarité énergétique. L’Etat, par le biais de l’Anah (Agence Nationale de l’Habitat, ndlr), accorde des subventions pour ces rénovations. Le microcrédit habitat peut s’avérer utile pour financer la somme restante, puisque son plafond passe de 3000 à 10 000 euros, remboursables sur 72 mois.

La Fondation Abbé Pierre est un grand nom de la lutte contre le mal-logement en France. Dans le cadre de la convention, la Fondation apporte sa caution aux microcrédits habitats, délivrés pour l’amélioration des performances énergétiques du logement, et d’éradication de l’insalubrité.
Grâce à cette convention, le micro-crédit a pu faire un véritable bond en avant, en étant plafonné non plus à 10 000 mais à 20 000 euros, remboursables sur une durée de 120 mois. Quand on sait qu’un chantier de rénovation énergétique coûte en moyenne de 15 à 18 000 euros, et qu’un chantier de remise en état de maison insalubre coûte de 50 000 à 60 000 euros, le micro-crédit peut venir en complément des subventions de l’Anah.

 

 

Plus d’infos

parcoursconfiance.wordpress.com/

www.fondation-abbe-pierre.fr/

 

 




Un microcrédit pour lutter contre la précarité énergétique

Pouvez-vous nous présenter l’association Parcours Confiance ?

Didier Gillet: Parcours Confiance est une association nationale loi 1901, créée en 2007 par la Caisse d’Epargne. Chaque Caisse d’Epargne Régionale a créé son association Parcours Confiance. Si le concept reste le même dans toute la France, chaque association régionale a sa propre stratégie d’action.
Par exemple, notre Parcours Confiance Bretagne-Pays de la Loire est l’association qui a fait le plus évoluer le concept: nous avons développé le plus fort volume de micro-crédits parmi les associations régionales. Depuis 2007, nous en avons octroyé 3000.

Justement, qu’est-ce que le micro-crédit ?

C’est un crédit créé pour un public exclu du circuit traditonnel du crédit bancaire. Il est destiné aux particuliers, qui ont bien souvent besoin de financement dans le cadre de projets liés à la mobilité (dans 70% des cas), comme un achat de voiture ou des réparations. Toutes les familles qui viennent sont dans des situations délicates : endettement, fichage à la banque de France, précarité, minima sociaux…

Nous pouvons leur apporter un recours grâce au micro-crédit, qui va de 300 à 3000 euros, sur une durée de 36 mois maximum. Nous évitons aux clients de tomber dans le piège de l’endettement. C’est pour cela que nous étudions scrupuleusement chaque dossier, pour éviter de surcharger financièrement les ménages.
La Caisse d’Epargne est l’organisme prêteur, et Parcours Confiance sert d’intermédiaire entre elle et les demandeurs. Le taux d’intérêt est de 3%, et il n’y pas de frais de dossier ni d’assurance. Il est juste nécessaire d’adhérer à l’association pour une faible somme, qui varie selon le montant du microcrédit.
 

En quoi consiste le partenariat que vous avez mis en place récemment avec la Fondation Abbé Pierre ?

Nous nous sommes aperçus que le microcrédit tel qu’il est proposé est actuellement insuffisant pour mener à bien des travaux de rénovation énergétique, nécessaires pour lutter justement contre la précarité énergétique. L’Etat, par le biais de l’Anah (Agence Nationale de l’Habitat, ndlr), accorde des subventions pour ces rénovations. Le microcrédit habitat peut s’avérer utile pour financer la somme restante, puisque son plafond passe de 3000 à 10 000 euros, remboursables sur 72 mois.

La Fondation Abbé Pierre est un grand nom de la lutte contre le mal-logement en France. Dans le cadre de la convention, la Fondation apporte sa caution aux microcrédits habitats, délivrés pour l’amélioration des performances énergétiques du logement, et d’éradication de l’insalubrité.
Grâce à cette convention, le micro-crédit a pu faire un véritable bond en avant, en étant plafonné non plus à 10 000 mais à 20 000 euros, remboursables sur une durée de 120 mois. Quand on sait qu’un chantier de rénovation énergétique coûte en moyenne de 15 à 18 000 euros, et qu’un chantier de remise en état de maison insalubre coûte de 50 000 à 60 000 euros, le micro-crédit peut venir en complément des subventions de l’Anah.

 

 

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Un microcrédit pour lutter contre la précarité énergétique

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Didier Gillet: Parcours Confiance est une association nationale loi 1901, créée en 2007 par la Caisse d’Epargne. Chaque Caisse d’Epargne Régionale a créé son association Parcours Confiance. Si le concept reste le même dans toute la France, chaque association régionale a sa propre stratégie d’action.
Par exemple, notre Parcours Confiance Bretagne-Pays de la Loire est l’association qui a fait le plus évoluer le concept: nous avons développé le plus fort volume de micro-crédits parmi les associations régionales. Depuis 2007, nous en avons octroyé 3000.

Justement, qu’est-ce que le micro-crédit ?

C’est un crédit créé pour un public exclu du circuit traditonnel du crédit bancaire. Il est destiné aux particuliers, qui ont bien souvent besoin de financement dans le cadre de projets liés à la mobilité (dans 70% des cas), comme un achat de voiture ou des réparations. Toutes les familles qui viennent sont dans des situations délicates : endettement, fichage à la banque de France, précarité, minima sociaux…

Nous pouvons leur apporter un recours grâce au micro-crédit, qui va de 300 à 3000 euros, sur une durée de 36 mois maximum. Nous évitons aux clients de tomber dans le piège de l’endettement. C’est pour cela que nous étudions scrupuleusement chaque dossier, pour éviter de surcharger financièrement les ménages.
La Caisse d’Epargne est l’organisme prêteur, et Parcours Confiance sert d’intermédiaire entre elle et les demandeurs. Le taux d’intérêt est de 3%, et il n’y pas de frais de dossier ni d’assurance. Il est juste nécessaire d’adhérer à l’association pour une faible somme, qui varie selon le montant du microcrédit.
 

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La Fondation Abbé Pierre est un grand nom de la lutte contre le mal-logement en France. Dans le cadre de la convention, la Fondation apporte sa caution aux microcrédits habitats, délivrés pour l’amélioration des performances énergétiques du logement, et d’éradication de l’insalubrité.
Grâce à cette convention, le micro-crédit a pu faire un véritable bond en avant, en étant plafonné non plus à 10 000 mais à 20 000 euros, remboursables sur une durée de 120 mois. Quand on sait qu’un chantier de rénovation énergétique coûte en moyenne de 15 à 18 000 euros, et qu’un chantier de remise en état de maison insalubre coûte de 50 000 à 60 000 euros, le micro-crédit peut venir en complément des subventions de l’Anah.

 

 

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Installation sanitaire. La pluie bretonne se récupère !

Le point de vente JK loisirs et bien être, situé dans la zone artisanale du Launay de Saint-Martin-des-Champs, a été complètement conçu dans une démarche de développement durable. Ouvert depuis juin 2009, l’établissement dispose d’une pompe à chaleur pour son chauffage, d’une charpente en ossature bois… Et même de sanitaires qui fonctionnent avec l’eau de pluie! Une cuve en béton de 3 400 litres est installée sous la pelouse. L’investissement s’élève, tout compris, a un peu plus de 6 000 euros. Deux ans après, Eric Jézéquel, gérant du point de vente semble satisfait. « Si c’était à refaire, ce serait sans hésiter ! »

 

 
 
 
 
 
Plus d’infos

Le magasin JK loisirs et bien être vous invite à découvrir son installation pendant toute la semaine du développement durable. Programme complet des animations en Pays de Morlaix sur le www.agglo.morlaix.fr

 

 

                                 




A Fribourg, l’éco-quartier donne des idées aux bretons

 

L’éco-quartier Vauban a été lancé en 1993, par la ville de Fribourg. Il se situe à moins de 3 kilomètres du centre-ville, sur l’emplacement d’une ancienne caserne française, d’où son nom . Il est desservi par une ligne de tram, et les voitures y sont minoritaires. De larges pistes cyclables y sont également aménagées, ce qui fait que le vélo est un moyen de locomotion particulièrement utilisé.
Des lieux de partage et de rassemblement y sont également présents, tout comme de nombreuses aires de jeux pour enfants, des laveries collectives sont mises à la disposition des riverains, le tout dans un environnement très végétalisé.
Les habitations sont bien souvent équipées de panneaux solaires, et suivent les règles de construction écologiques. « Cet éco-quartier va loin dans le processus puisqu’en plus de l’impact environnemental, il prend en compte un tas de facteurs au niveau social » estime Estelle Houbron, du réseau Bruded, chargée de mission pour le Finistère et le Morbihan.

L’habitat collectif n’est pas -encore- entré dans les moeurs

Selon elle, en France, on ne va pas si loin dans la démarche. Alors que dans le quartier Vauban, à Fribourg en Allemagne, on met à la disposition des riverains, une chambre d’amis ou un studio, en France, cette forme d’habitat groupé peine à entrer dans le mœurs. « Cela ne plaît pas, on a peur des détérioration de l’espace commun, on ne prend pas le temps d’élaborer un planning…ce n’est pas encore dans les mentalités, mais cela peut évoluer avec les nouvelles générations », explique Estelle Houbron. Les communes du réseau Bruded optent de plus en plus souvent pour une taille de terrain réduite, même sur des petites communes. « Par exemple, à Botmeur, dans les Monts d’Arrée, qui comptait 224 habitants en 2010, la commune a pour projet de créer un bourg avec des espaces communs, pas forcément séparés des espaces publics, où les recoins, les venelles, offrent des espaces confinés » souligne Estelle Houbron. Autre exemple : la ville de Saint-Nolff, dans le Morbihan. Les venelles courbées et les maisons non alignées sont visuellement plus agréables et offrent des espaces d’intimité dans l’espace public.

Le schéma classique en perdition?

Pour Estelle Houbron, si les initiatives d’éco-quartier vont plus ou moins loin selon les communes du réseau Bruded , l’envie de sortir du lotissement groupé est ferme. « Sur les 25 communes membres de Bruded dans le Finistère, 16 ont des projets de lotissements avec des terrains plus petits, et réfléchissent sur des déplacements doux et des maisons éco-conçues ». Autre chose. A Möellan-sur-Mer par exemple, la commune projette de densifier le bourg tout en proposant des espaces piétons et des espaces verts.

Des initiatives bretonnes réjouissantes

Même si le quartier Vauban de Fribourg est un exemple pour l’élaboration des éco-quartiers, le contexte urbain, économique et social dans lequel il s’est développé reste différent des structures bretonnes. Fribourg est une agglomération, on se rend à Vauban en tramway… En Bretagne, seules les villes comme Rennes ou Quimper ont la densité de logement suffisante pour rendre de tels investissements rentables. Ceci étant, il y a des idées à retenir de Vauban, et nous avons toutes les raisons de se réjouir des initiatives bretonnes pour élaborer des zones d’habitations passives et vertes.

 

 

Plus d’infos:

http://www.bruded.org