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Une rencontre autour des éco-lieux et des habitats partagés aux Déferlantes à Morlaix

Lenaïg Jezequel, libraire passionnée et engagée de la librairie Les Déferlantes à Morlaix, nous invite à participer le 28 septembre à 18h30 à une soirée rencontre autour des Eco lieux et habitats partagés. Nous pourrons échanger avec deux autrices invitées, Manon Conquer (« Itineraire d’une apprentie militante ») et Maeva  Zumbiehl (« Vivre en collectif » -Ulmer).

A l’heure ou la question du logement attise les crispations et pose de nombreuses questions écologiques, économiques et autres, il est peut-être temps d’envisager de nouvelles façons d’habiter…?

Rencontre et échanges d’idées autour des modes de logements dits « alternatifs » avec Manon Conquer et Maeva Zumbiehl, qui ont vécu plusieurs expériences d’habitats partagés dont elles parlent dans leurs livres respectifs: « itinéraire d’une apprentie militante » et « vivre en collectif »

Maeva Zumbiehl a fondé et vécu dans six collectifs différents, qui comptaient de trois à plusieurs dizaines de personnes. Autant dire qu’elle s’y connait un peu en outils de communication, prises de décisions, installation et qu’elle comprend les questions juridiques et les frais qu’engendre un collectif. Elle partage dans ce guide son expérience et donne de nombreux conseils pratiques pour appréhender au mieux le vivre-ensemble, et pourquoi pas se lancer dans la vie en collectif. Un guide pratique et un vrai retour d’expérience pour, comme le dit Maeva, « imaginer d’autres possibles » !

En 2019, Manon Conquer a 22 ans. Après des études d’urbanisme durable, elle crée avec une dizaine d’autres bénévoles le collectif Bascule Argoat, qui deviendra un lieu de vie pendant deux ans. 2 ans à rénover un ancien couvent pour en faire un laboratoire militant. 2 ans à accueillir, partager et faire vivre les questions d’écologie et de démocratie en Centre Bretagne. 2 ans à tenter de bâtir un modèle d’utopie concrète et à se questionner sur comment faire advenir une société soutenable à l’échelle d’un territoire. Aujourd’hui, c’est le carnet de bord de ces 2 ans d’engagement qui voit le jour sous forme de récit illustré, son témoignage sur l’émergence de lieux dits « alternatifs ».

Plus d’infos sur les deux autrices :

https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/itineraire-d-une-apprentie-militante-le-carnet-de-bord

https://www.editions-ulmer.fr/editions-ulmer/vivre-en-collectif-outils-retours-d-experience-871-cl.htm




Calculer son empreinte carbone pour agir en faveur du climat

La notion d’empreinte carbone est intéressante pour qui souhaite réduire concrètement son impact sur le climat.

Il s’agit de l’inventaire des gaz à effet de serre par grands secteurs (alimentation, transport, …), présenté sous une forme simple et accessible à toutes et tous. Souvent exprimée à l’échelle d’un pays, l’empreinte carbone peut aussi être estimée par individu, en divisant l’empreinte nationale par le nombre d’habitants, ou calculée de façon plus précise, grâce à des simulateurs en ligne.

Le calcul inclue les gaz émis à l’étranger si leur production est destinée à satisfaire la consommation du pays donné. Par exemple, les émissions liées à la fabrication d’un smartphone en Chine à destination du marché français seront incluses dans l’empreinte carbone de la France.

Par soucis de vulgarisation, les gaz responsables de l’effet de serre – vapeur d’eau, dioxyde de carbone, méthane, protoxyde d’azote, etc. – sont convertis en « équivalent carbone », c’est-à-dire en la quantité de CO₂ qui aurait le même impact climatique. En effet, les différents gaz ont tous un impact différent sur l’effet de serre, en termes de pouvoir de réchauffement et de durée de vie dans l’atmosphère.

Selon les sources et méthodologies utilisées, l’empreinte carbone annuelle d’un Français oscille entre 9 et 12 tonnes équivalent CO₂ (t éqC0₂) en moyenne. On retient souvent le chiffre de 10 tonnes, qui permet de donner un ordre de grandeur simple et parlant.

Or, il faudrait arriver à moins de 2 tonnes par an et par personne pour espérer contenir le réchauffement climatique à un niveau bien inférieur à 2°C, et de préférence à 1,5°C à l’horizon 2100 par rapport aux niveaux préindustriels, comme le prévoit l’accord de Paris, signé lors de la COP21.

Les 2 tonnes peuvent être vues comme un objectif qui permet d’établir une trajectoire d’action. Mais il ne s’agit que d’une moyenne, et, pour caricaturer, une personne végétarienne, se déplaçant principalement en vélo et ayant une consommation responsable aura un impact bien plus faible qu’une personne carnivore, se déplaçant fréquemment en voiture et en avion !

Il est donc nécessaire de commencer par évaluer sa propre empreinte carbone pour pouvoir agir. Pour cela, il existe plusieurs simulateurs, le plus connu étant « nos gestes climat » de l’Ademe (https://nosgestesclimat.fr/). Ce dernier classe les différentes émissions par catégories : alimentation, transport, logement, services publics et divers. Un test qui ne prend pas plus de 10 minutes et permet de mieux comprendre son impact personnel et ses pistes d’action pour le réduire.

L’agence locale de l’énergie et du climat HEOL œuvre pour la transition énergétique et climatique en Pays de Morlaix. Elle offre notamment des conseils neutres et gratuits sur la rénovation thermique et les économies d’énergie. Plus d’infos sur 02 98 15 18 08 et www.heol-energies.org .




A Mellionnec, questionner les imaginaires techniques autour des savoir-faire…

Au croisement des sciences humaines et sociales, de la philosophie politique, de la science-fiction, des arts, des techniques et du bricolage, l’association Prospect Station propose, du 18 au 20 août prochain, un festival annuel autour des utopies techniques comme moyen de décloisonner les imaginaires et de déborder les frontières du réel afin de répondre aux problématiques écologiques, sociales, politiques, techniques, fictionnelles de notre temps. Ce festival a pour ambition d’interroger notre rapport aux objets techniques (tracteurs, smartphones, tournevis, réseau électrique, centrales nucléaires…) au prisme des questions soulevées par l’écologie, le féminisme et les utopies artistiques, politiques et littéraires. Sont invités dans ce cadre des chercheurs et des chercheuses à venir partager leurs travaux. Il interroge dans une perspective critique et féministe d’écologie populaire les imaginaires techniques et ses pratiques associées.

Situé en centre-Bretagne, sur la commune de Mellionnec, le festival invite des chercheur·e·s, des artistes, des artisans, des technicien·ne·s et des militant·e·s à venir présenter leurs travaux et à partager leur savoir-faire dans le cadre d’ateliers, de débats, de conférences ou de séminaires.
L’objectif du festival est de croiser des pratiques techniques et connaissances plus théoriques, savoir et faire. Faire, c’est-à-dire retrouver la connaissance pratique de certains objets techniques, savoir être bricoleur·se·s et réparateur·ice·s pour sortir du cycle de l’obsolescence, faire l’expérience d’un quotidien réinventé par mille et une tactiques et ruses, du détournement d’objet, en passant par la réappropriation de savoir-faire et la réparation, ces contournements buissonniers de la raison technicienne (sans condamner tout le mouvement industriel et ses innovations). Savoir, c’est-à-dire mettre en perspective, questionner et débattre autour des interventions de chercheur·se·s, mais aussi d’auteur·e·s de science-fiction et de professionnel·le·s et technicien·ne·s de la maintenance sur le sens, l’éthique des objets techniques, leur construction, leur transformation et leur imaginaire.

Coordination scientifique : Association Prospect Station : Fanny Lopez (Ensa Paris-Malaquais, co-dir. LIAT), Alice Carabédian (philosophe), Robin Kerguillec et Élise Feltgen (libraires à Mellionnec). En partenariat avec la Librairie Le Temps qu’il fait de Mellionnec, en partenariat avec l’association TyFilms. Financé par le laboratoire LIAT de l’Ensa Paris Malaquais et le laboratoire OCS de l’Ensa Paris-Est et l’Université
Gustave Eiffel. Avec le soutien de la CCKB.

Pourquoi un festival sur la technique et qu’entend-on par « imaginaires techniques » ?

La technique est un ensemble complexe et divers : ce sont des outils, des objets, des systèmes productifs ou extractifs, des matériaux, des savoir-faire, des filières professionnelles, des usages, des gestes… Cette grande variété peut nous faire perdre de vue l’importance de la question technique en elle-même si nous ne faisons pas un effort pour mieux la comprendre et saisir les enjeux politiques et sociaux qu’elle soulève.

D’abord, toute technique est ambivalente, et n’est jamais seulement un moyen en vue d’une fin. Qu’il s’agisse d’une brosse à dent ou d’un tracteur, l’usage d’un objet technique façonne un certain rapport au monde : il nous permet (par exemple, de retourner de la terre), et nous contraint (à utiliser de l’essence ou à engager notre corps selon la machine ou l’outil choisi). Ainsi nous sommes transformé·es par les techniques que nous employons, de façon plus ou moins heureuse. Il faut ajouter qu’à l’heure des guerres et des catastrophes climatiques, force est de constater que nous ne maîtrisons pas entièrement les effets des techniques sur le monde que nous habitons.

Puisque les objets techniques transforment notre planète et nous transforment, ils sont aussi des objets culturels. Qu’il s’agisse de systèmes en réseau (routier, ferroviaire, électrique, télécom, numérique) ou d’objets d’apparence plus solitaire (centrale nucléaire, panneau solaire, éolienne, ampoule, marteau, tracteur…), les systèmes techniques sont inséparables des imaginaires qui les soutiennent (technophile, productiviste, sobre, décroissant, anti-tech, etc.).

Si certains persistent à décrire les systèmes techniques comme des instruments au service de la maîtrise de « l’Homme » sur son environnement c’est que cet imaginaire toxique domine encore largement aujourd’hui. Ses ravages (impérialistes, productivistes, extractivistes) le signalent trop bien. Fort heureusement, la technique n’est pas un ensemble d’outils neutres, réservoir de services « universels » pour des besoins « naturels ». Au contraire, à chaque fois qu’il y a un usage technique, il y a une spécificité éthique, sociale, politique et un imaginaire associé à celui-ci.

C’est pourquoi nous avons toutes et tous affaire avec la question technique et ses récits, et des problématiques urgentes requièrent notre attention :

Comment sortir la technique de sa seule relation à la prétendue histoire du progrès et de la quête d’une rentabilité productive sans tomber dans la technophobie ? Comment se réapproprier les cultures techniques et mettre en lumière les imaginaires plus heureux et émancipateurs qui, d’hier à aujourd’hui, dessinent des mondes différents ?

La Machine dans le jardin a l’ambition d’explorer ces questions :

Nous héritons et nous dépendons d’ensembles technologiques et infrastructurels que nous devons transformer car nous ne pouvons ni revenir en arrière, ni les ignorer. Nous pensons que la critique des conditions matérielles de notre environnement et de ses pollutions irréversibles nécessite de se rapprocher du « monstre moderne » pour se saisir de l’ampleur de la catastrophe. Et mieux la contrer.

Bifurquer, rediriger, réparer, fermer ou transformer, c’est revenir sur les choix technologiques, restituer les controverses et les luttes qui font partie de l’histoire des infrastructures, de leur développement, de leur fonctionnement, de leur entretien. C’est aussi éclairer la riche histoire des alternatives aux systèmes extractivistes et capitalistes. Certaines pratiques ne prétendent pas à des solutions universalisantes. Il devient nécessaire d’écouter les utopies sociales, les imaginaires techniques écologiques, anti-racistes, féministes et émancipateurs, des plus prosaïques aux plus science-fictionnels.

En examinant les machines qui cohabitent dans le jardin planétaire jusque dans ces confins intergalactiques, ce festival porte une double ambition : questionner les formes techniques monstrueuses du capitalisme, et surtout, éclairer ses plus heureuses alternatives pour de nouveaux lendemains techniciens.

Comme nous y invitait l’écrivaine de science-fiction Ursula K. Le Guin : « Je pense que des temps difficiles s’annoncent, où nous aurons besoin de la voix d’écrivains capables d’envisager des alternatives à notre mode de vie actuel, et de voir, à travers notre société effrayée et ses technologies obsessionnelles, d’autres façons d’être. Et même d’imaginer de véritables raisons d’espérer. Nous aurons besoin d’écrivains qui se souviennent de la liberté : des poètes, des visionnaires, des réalistes d’une réalité plus vaste. »

Programme, inscriptions et informations pratiques :

https://www.calameo.com/books/006173302aa572d36f3ab  ET  https://lamachinedanslejardin.eu/




Des vacances plus écologiques et moins énergivores

Secteur qui a le vent en poupe, le tourisme draine de plus en plus de monde année après année : environ deux milliards d’humains devraient profiter des joies du tourisme en 2030 ! Une tendance qui n’est pas sans conséquences sur l’environnement et le climat, puisque l’Ademe estime à environ 8 % la part des émissions de gaz à effet de serre liés à l’industrie du tourisme. Cela est surtout dû à l’essor des vols en avion, notamment via des compagnies low cost qui permettent des voyages plus fréquents, plus courts mais aussi plus lointains. A titre d’exemple, deux vols par an entre Paris et les Canaries puis entre Paris et Venise émettent plus d’une tonne de CO2 par personne, équivalent à un an de chauffage d’un petit logement.

Pour des vacances plus écologiques, il est conseillé de privilégier des destinations plus proches et des transports moins polluants, comme le train, le car, le vélo ou le covoiturage. Si la seule option est l’avion, il vaut mieux choisir des vols sans escale et de voyager avec le moins de bagages possibles. Il convient aussi de privilégier des hébergements « verts », labellisés ou non et d’éviter les activités trop polluantes et énergivores, en se concentrant par exemple sur le repos, la reconnexion à la nature et les activités non motorisées : promenade, sortie à vélo, randonnée en raquettes, kayak, planche à voile, snorkeling…. Bien sûr, il convient de ne pas abuser de la climatisation ou du chauffage, même si leur coût est inclus dans l’hébergement !

Il est aussi possible de limiter les consommations énergétiques dans un logement laissé vacant pendant la période de congés, par exemple en coupant le ballon d’eau chaude pour un séjour de plus de 4 jours ou en débranchant le réfrigérateur et le congélateur, qui au passage consommeront moins une fois dégivrés !

Les veilles des appareils, tels que la télévision, l’ordinateur, la box ou la console de jeux sont aussi à prendre en compte. Il suffit de les débrancher pour éviter des consommations inutiles. De plus, cela évitera les risques potentiels de surtension et de pannes liées aux orages par exemple.

En revanche, il ne faut pas débrancher la VMC ! Cette dernière est nécessaire à la bonne santé du logement, qu’il soit occupé ou non.

L’agence locale de l’énergie et du climat HEOL œuvre pour la transition énergétique et climatique en Pays de Morlaix. Elle offre notamment des conseils neutres et gratuits sur la rénovation thermique et les économies d’énergie. Plus d’infos sur 02 98 15 18 08 et www.heol-energies.org .




Des artisans bouchers à la découverte d’une ferme de Porcs sur Paille.

(Plume Citoyenne) Jean-François Viel est à la tête de la ferme du Ty Viel à Illifaut. Quand il reprend la ferme familiale en 2022, il souhaite travailler localement et faire des produits de qualité respectueux du bien-être animal et de l’environnement.
Située aux confins des Côtes d’Armor, du Morbihan et de l’Ille-et-Vilaine et sur le bassin versant de la Haute-Rance, la ferme du Ty Viel produit des vaches Angus, du jus de pomme bio, du miel, des moutons des landes de Bretagne et du porc sur paille !

Pour l’élevage de porcs sur paille, Jean-François s’est tout de suite rapproché de Cohérence et de Terres de Sources, qui travaillent à la mise en place de filière locale avec des pratiques qui respectent la qualité de l’eau. La filière de porc sur paille Terres de Sources fournit notamment les cantines de la région rennaise. L’approvisionnement en direct des artisans bouchers-charcutiers permet de diversifier les circuits de distribution, très complémentaires avec la restauration collective.
La « ferme ouverte » organisée début juillet a permis aux artisans bouchers-charcutiers de découvrir les pratiques agroécologiques de la ferme : une production sur paille, plus d’espace pour les porcs, une recherche d’autonomie, une limitation de l’azote produit et de l’utilisation de produits phytosanitaires, une alimentation sans OGM, sans antibiotique et certifiée Bleu-Blanc-Coeur. Ces pratiques sont certifiées par le Cahier des charges Porcs Durables et le label Terres de Sources. Les bouchers déjà partenaires ont également pu témoigner en direct de la qualité de la viande de la ferme. Une viande persillée, goutteuse et juteuse qui ne réduit pas à la cuisson, très appréciée de leur clientèle




Discuter, inspirer, et fêter l’autogestion

La 7ème édition de la fête de l’autogestion va se dérouler le samedi 1er juillet à Quimperlé (29) et aura pour thème « l’emprise du capitalisme dans les médias ». Organisé par la CNT 29 (Confédération Nationale du Travail) en collaboration avec l’association inclusive et solidaire, Ty Pouce, la journée permettra à toustes de réfléchir ensemble aux diverses dominations existantes
dans la presse et plus largement dans la société.

C’est sur les bords de l’Ellé, au café et ferme urbaine de Ty Pouce, lieu bienveillant d’expérimentations en tout genre, que nous rencontrons des membres du STAF 29, comité sud- finistérien de la CNT. Issu du syndicalisme révolutionnaire, le syndicat interprofessionnel revendique l’autogestion comme moyen d’abolir le capitalisme par l’établissement d’une autonomie de pensée, de production et d’organisation non hiérarchisée. Il est présent dans les luttes sociales de défense des salarié.es, dans la défense des personnes immigrées, dans les luttes anti-patriarcales ou encore aux côtés d’associations de luttes écologistes et organise également des moments festifs pour faire connaître et populariser l’autogestion : « La fête de l’autogestion est l’occasion de réunir les organisations et les individus soucieux de lutter contre le système d’oppression et de domination ».


Cette année, la CNT 29 a retenu le thème des médias et le programme sera riche d’échanges. De la musique et du théâtre se succéderont autour de deux temps forts : Un débat avec Nils Solari d’ACRIMED (Action Critique Media), association d’intérêt général pour un observatoire des médias, qui viendra exposer l’organisation des médias en France, leurs financements et la place des tutelles publiques comme privées. Il esquissera également des idées de modèles pour préserver l’indépendance de la presse, du pouvoir économique et politique. Une table- ronde réunissant des acteurs participants à des médias indépendants sera également organisée ( citons les médias CQFD mensuel critique et d’expérimentations sociales, les Mutins de Pangée coopérative audiovisuelle…). Nul doute que les échanges permettront de mieux connaître, voir de découvrir de nouveaux médias…


Tout au long de la journée, un village associatif sera présent réunissant éditeurs, associations, groupes politiques ( L’Atelier Paysan, LDH Quimperlé, L’Artère, Babellium…) et permettra de nourrir encore un peu plus la réflexion tout comme Ty Pouce qui nourrira également les corps, en proposant buvette et restauration sur place.
Dans la continuité de la fête de l’autogestion, une soirée de soutien aux luttes écologistes est organisée à partir de 20h par les associations et organisations Ty Pouce, PARESSE, l’Union Syndicale Solidaires, Ozactes et la CNT avec des concerts à prix libre.

 

 

 

 

En pratique:
* Fête de l’autogestion de 12h à 20h entrée à prix libre
plus d’infos sur https://www.cnt-f.org/staf/
* Soirée de soutien aux luttes écologistes 20h concerts à prix libre à Ty Pouce, 4 ruelle des gorrêts QUIMPERLE (29)

Buvette et restauration sur place