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Mamik, une boite à savons éco-conçue en Loire-Atlantique

A Nantes, Marie Lassara a créé « Mamik », une boite à savon fabriquée à base de liège issu du Sud de la France et de plastique 100% recyclé, provenant de la filière de tri des bouteilles. Un objet qu’elle espère être un « levier » pour utiliser davantage les cosmétiques solides et le zéro déchet dans la salle de bains.

186 millions. C’est le nombre de flacons de gels douche vendus en France chaque année. En cumulant avec les shampooings et autres bains douche, ce sont 16 000 tonnes d’emballages qui sont ainsi produits tous les ans, selon des chiffres de l’Ademe.

Mais depuis quelques années, la cosmétique « zéro déchet » se développe, et le savon ou le shampooing solides font leur grand retour (ou leur apparition, c’est selon) dans les salles de bains. Reste une question logistique : comment fait-on pour conserver ses produits sur le bord de la baignoire ou du lavabo ? Et pour les emmener avec soi quand on part en vacances ? Ce sont ces constats qui ont mené Marie Lassara, après 17 ans à travailler pour un grand groupe français, à lancer son projet Mamik, il y a maintenant 18 mois : une boite à savon en plastique 100% recyclé, fabriquée en France. « Des personnes peuvent être déçues en passant au savon solide, car ce n’est pas toujours évident de le conserver dans de bonnes conditions », explique Marie. « Cela peut être un frein à la cosmétique zéro déchet, et une raison pour repasser au gel douche liquide ».

Avec sa boite à savon en forme de beurrier, qui peut aussi contenir du shampooing, du déodorant, du dentifrice, du démaquillant… Marie Lassara n’a « rien inventé » affirme-t-elle. « On a redessiné ce qu’avaient nos grands-mères dans leurs salles de bains ». La boite Mamik est fabriquée à partir de liège issu du Sud de France, et de plastique 100% recyclé. « Il est issu de bouteilles, qui viennent du circuit traditionnel de tri. Nous n’utilisons aucun plastique vierge », précise la jeune femme. Dessinées dans le Jura, les boites sont fabriquées entre Angers et Nantes, et imprimées, conditionnées et expédiées de Vertou, en Loire-Atlantique.

Hormis la vente aux particuliers, l’entreprise propose aussi ses boites, et plus largement des contenants durables, aux professionnels, notamment aux laboratoires et aux marques de cosmétiques, qui peuvent les personnaliser, et des coffrets « zéro déchets ».

 

Plus d’infos

https://mamik.fr

 

 




KuB’tivez-vous ! Sélection de mai

Dans le cadre de notre partenariat avec KuB, le web média breton de la culture, nous vous proposons une nouvelle sélection à découvrir gratuitement sur leur site internet. Au programme ce mois-ci : Zéro déchet et marées noires !

De l’autre côté – Épisode 2 : Refuser, par Les autruches utopistes (2020)

Le deuxième épisode de la série documentaire cette association de production de l’audiovisuel et du numérique a été mis en ligne ce mois-ci. Cette fois, les Autruches utopistes mettent en lumière nos concitoyens qui sont particulièrement engagés dans la Réduction, le deuxième des « 5R » du Zéro déchet. Celui qui « a presque plus de poids que les autres » selon Jessica, animatrice et coordinatrice à la Galerie du Zéro déchet à Nantes (44).

Pour la Nantaise, il faut « se poser des questions » et « expérimenter » pour se lancer dans le Zéro déchet car il serait impossible de réussir en le faisant simplement pour suivre la mouvement. Et expérimenter, Simon le fait très bien à Tournon-d’Agenais (47) dans le cadre du projet TERA (Tous Ensemble vers un Revenu d’Autonomie). Son domaine lot-et-garonnais est remarquable : un grand potager et une serre lui permettent de cultiver fruits et légumes de saison, alors que ses deux ruches lui offrent de copieuses récoltes sucrées. Pour tous ces acteurs, Réduire c’est aussi le plaisir de s’adonner à une vie de rencontres avec les producteurs notamment mais aussi avec ceux qui partagent ce mode de vie.

Ce deuxième épisode est intégré à la page dédiée à la série. Il est présenté sous la forme d’une vidéo principale de 17 minutes enrichie de deux articles sur le « travailler moins » et le Zéro déchet en Slovénie, d’une bande dessinée explicative du low tech, d’un podcast audio Passer à l’acte collectivement et d’une sélection des photos de ce premier épisode.

Nous avons hâte de découvrir les trois prochains épisodes !

Accéder à la page : https://www.kubweb.media/page/autruches-utopistes-transition-ecologique-bascule-solution/?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=NL-10-05-2021-ZD2-Reduire.

Marées noires, fin de l’histoire ? Par Serge Steyer (2020 – 21’)

En novembre, KuB publiait sur son site l’exposition BD & Histoire « Bleu Pétrole. Le scandale Amoco »dont nous vous avions fait la chronique dans la sélection mensuelle. Ce mois-ci, Serge Steyer, toujours en coédition avec les Archives départementales d’Ille-et-Vilaine, partage sur le web-média ce documentaire qu’il a réalisé.

En décembre 2020, l’éditorialiste et créateur de KuB s’est rendu dans le Nord-Ouest de la Bretagne, à Lannion (22), Portsall et Brest (29) à la rencontre de trois acteurs de la protection des littoraux. Sophie Bahé (directrice de Vigipol), Arnaud Guéna et Christophe Rousseau (ancien et actuel adjoints au directeur du Cedre) prennent la parole tour à tour.

Du « traumatisme pour les Bretons » de la marée noire de 1978 à la suite du naufrage du pétrolier libérien Amoco Cadiz sur les roches du Portsall le 16 mars à la réduction du « du nombre d’accidents de pétroliers de 90% », Serge Steyer dresse un état des lieux de la protection des littoraux à l’heure actuelle.

Ce qui en ressort est encourageant sur le plan de l’évolution de la réglementation de la navigation des pétroliers notamment. Mais celle des porte-conteneurs est problématique puisqu’ils ne cessent de grandir et de perdre des cargaisons en pleine mer… entre dix et vingt mille boîtes sont perdues chaque année ! Pire, les micro-déchets pullulent à un rythme affolant : dix millions de tonnes de plastique se retrouvent dans les océans tous les ans.

Ainsi, alors que le combat contre les marées noires progresse bien, un nouvel ennemi s’est manifesté et nous submerge… Plastiques, à quand la fin de l’histoire ?

Voir le documentaire : https://www.kubweb.media/page/mares-noires-amoco-solution-cedre-vigipol-archives-ile-et-vilaine/?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=NL-03-05-2021-Amoco

Nos 3 dernières sélections :

Avril : https://www.eco-bretons.info/kubtivez-vous-selection-davril/.

Mars : http://www.eco-bretons.info/kubtivez-vous-selection-de-mars-special-festival-pecheurs-du-monde/.

Février : http://www.eco-bretons.info/kubtivez-vous-selection-de-fevrier/.

Plus d’infos :




Une application pour aider les habitants de Nantes à mieux trier

Depuis 2015, l’association «Mieux trier à Nantes » a lancé une application mobile et un site internet répertoriant toutes les informations sur le tri à Nantes Métropole mais également les coordonnées des structures de réemploi. En développant son logiciel libre de droits, l’association ambitionne de le répliquer partout en France.


Ce déchet est-il
recyclable ? La déchetterie la plus proche de chez moi est-elle
ouverte ? Où se situent les conteneurs de verre à proximité ?
Quels sont les jours de collecte des déchets?

Le tri et les consignes de tri peuvent engendrer de nombreux questionnements pour les particuliers. En effet, même si la prévention sur le tri et les consignes de tri est importante à l’échelle nationale, les informations qui y sont données restent souvent bien trop générale et peu adapté aux consignes propres à chaque localité. Pour aider les habitants de Nantes Métropole à y voir plus clair, l’association « Mieux trier à Nantes » a lancé en 2015 une application Android et IPhone pour tablettes et téléphones ainsi qu’un site internet.

Grâce à des données en open data, c’est-à-dire dont l’accès et l’usage sont laissés libres aux usagers, l’application ainsi que le site internet a pu grandement se développer jusqu’à répertorier des cartes interactives dont certaines dénombrant près de 1200 points de repère dans la Métropole de Nantes. Emplacements des déchetteries, horaires et jours de collecte, lieux de distribution des sacs bleus (une spécificité nantaise) et jaunes, coordonnées précises des lieux de dépôt et des structures de réemploi, toutes les informations sur le tri y sont présentes pour favoriser le recyclage et le réemploi. Un grand avantage pour les utilisateurs est que l’application n’a pas besoin d’Internet. De plus, l’application ne mesure que 7,5 Mo.

Créée par une équipe de bénévoles, « Mieux trier à Nantes » s’est développé après une participation au concours Open Data de la ville de Nantes « Rendez-moi la ville + facile » en 2012 où le projet avait été présenté. Après une première version bêta et plusieurs années de développement, l’association a récemment lancé une carte interactive qui recense les magasins de produits d’occasions tenus par les associations ou des friperies et les boîtes à dons et cherche des bénévoles pour les aider à les répertorier. Après une deuxième application spécifique aux consignes de tri de Montpellier, « Mieux trier à Nantes » souhaite que leur logiciel libre de droits se réplique partout ailleurs en France.

Liens utiles :

  • L’application Android – voir l’application sur Play Store
  • L’application Windows Phone – voir l’application sur Windows Store
  • Le site Internet qui donne les mêmes infos que les applications – voir le site



Photographiez le printemps avec les CPIE !

A défaut de pouvoir maintenir les activités habituellement
proposées (ateliers, jardinages, découverte des écosystèmes), le réseau national
des CPIE (Centres Permanents d’Initiatives pour l’Environnement) de France ont
décidé d’organiser un rallye photo pour célébrer le printemps.

Du 6 au 10 avril, mettez en avant vos talents de photographes en prenant part à ce rallye !

Comment participer
?

Suivez l’actualité du CPIE le plus proche de chez vous. Tous
les jours un thème différent sera donné et le ou la participant.e pourra
envoyer une photo correspondant au thème. Postez votre cliché avant 20h en
taguant le CPIE du Gard à l’@mnerene30
et en indiquant
les hashtag suivants : #fenetresurleprintemps #cpie #themedujour (ex : si le thème est “insecte volant” vous taguez #insectevolant).

Si vous
n’êtes pas sur les réseaux sociaux vous pouvez envoyer votre photo au CPIE le
plus proche de chez vous. Les enfants de moins de 13 ans sont invités à
participer par mail.

Un
gagnant par CPIE et par jour sera désigné. La photo sera partagée le lendemain à
12h. A la fin de la semaine, un jury composé des CPIE organisateurs désignera
le Podium national qui sera communiqué dans la semaine suivante.

Les photos
gagnantes seront valorisées par les CPIE organisateurs (site internet, page
Facebook, expositions, …).

Attention : en participant
à ce concours, vous reconnaissez avoir pris connaissance et accepté les
conditions d’organisation. Vous autorisez également les CPIE à utiliser vos
productions, votre nom sera apposé à l’image.

Les CPIE en Bretagne.

Finistère (29) :

Morbihan (56) :

Loire Atlantique (44) :

Ille et Vilaine (35) 

Plus d’informations ici.




Nantes (44) : La designeuse Lucile Viaud exposera du 7 au 28 février à la galerie Mira.

Samedi 14 et dimanche 15 décembre, se déroulait, rue Saint Louis, à l’Atelier Noir Noir https://ateliernoirnoir.com/, dans le centre de Rennes, une vente de Noël un peu particulière …

En effet, Lucile Viaud avec deux designer du Studio Poirier-Bailay https://www.poirierbailay.com/ y vendaient de 8h à 22h leurs créations.

Des décorations, des vases, des plats… si vous avez manqué cette vente, ne vous inquiéter pas,  vous pouvez encore commander en ligne http://atelierlucileviaud.com/ !

Diplômée de l’École Boulle, elle
est récompensée plusieurs fois notamment pour son projet de design halieutique
Ostraco.

C’est suite à la découverte du cuir de
poisson que lui vient l’idée d’utiliser les résidus de coproduits marins
(coquilles, arêtes, algues, carapaces) pour créer de nouveaux matériaux. Dans
le cadre de son projet d’études, elle expérimente les multiples possibilités
qu’offrent ces ressources marines. En découle deux découvertes : le plâtre
et le verre marin.

C’est ce dernier que Lucile Viaud continue de décliner au Laboratoire Verres et Céramiques de l’Institut des Sciences Chimiques de Rennes https://iscr.univ-rennes1.fr/. Parmi ses créations le verre marin glaz dont le nom désigne en vieux breton « glas » cette teinte entre le vert et le bleu que prend parfois la mer bretonne, couleur naturelle dont a hérité le verre de Lucile Viaud.

En 2018 avec l’éco-musée de Plouguerneau https://www.ecomusee-plouguerneau.fr/ et l’association Karreg hir elle participe à la 35ème fête du goémon. Du coupage au brûlage, le travail des goémoniers y est reconstitué et mis à l’honneur. Suite à cette cérémonie, Lucile Viaud récupère le pain de soude. Ce pain de soude sera ensuite réduit en poudre fine. Les micro algues remplacent la silice (matériau que l’on trouve habituellement dans les minéraux, comme le sable) qui permet la vitrification du verre, alternative à l’exploitation du sable dont on va bientôt manquer partout dans le monde.

Néanmoins, cette « récolte » doit
se faire dans le respect des éco systèmes marins ! Les laisses de mer,
c’est-à-dire les débris naturels marins laissés sur la plage, constituent
l’habitat et la nourriture de nombreuses espèces.

Rien ne se perd…

Si par malheur il vous arrivait de casser
une des créations de Lucile, ne le jetez surtout pas !  Vous pouvez la renvoyer à l’atelier où votre
objet sera refondu et réparé. Ce verre est donc recyclable à l’infini !

Autre fait notable, pas de perte dans la production du verre marin. Après le broyage des coquillages, arrêtes, algues et carapaces, on obtient deux poudres. Une composée de grains fins, c’est celle utilisée pour le verre de Lucile et une autre plus épaisse. Cette dernière, inutilisable dans la fabrication du verre n’est pas perdue : elle est utilisée pour faire des lunettes en coquillages par l’entreprise Friendly Frenchy https://www.friendlyfrenchy.fr/fr/ basée à Auray (56). Ainsi toute la ressource est utilisée.

Des recettes en fonction de chaque région.

Pour le chef cuisinier Hugo Roellinger,
Lucile Viaud conçoit un duo d’assiettes creuses et de fioles pour ses plats
végétariens, eux aussi, à bases d’algues.

En dehors de la Bretagne, Lucile Viaud a
également réalisé d’autres commandes, toujours aussi surprenantes et
innovantes, rappelant toujours l’histoire du lieu.

Par exemple, elle réalise les vitraux du musée Denys-Puech https://musee-denys-puech.rodezagglo.fr/, à Rodez dans l’Aveyron et ceux d’une petite chapelle située, à Montarnal, sur les rives du Lot (toujours dans l’Aveyron) ont été fabriqués à partir de coquilles d’escargots et de sable du Lot. Le sable du Lot était à une époque la seule marchandise produite par le petit village de Montarnal. Cette création a été baptisée « verre de Rouergue ». Décidément avec Viaud et Soulages, l’Aveyron est gâté en termes de vitraux !

Son prochain projet sera inspiré de la
Lorraine dont elle est originaire. Tout ce qu’on peut vous dévoiler c’est qu’il
fera écho à l’histoire industrielle de la région et à l’histoire personnelle de
Lucile… 

Chercheuse, designeuse et artiste.

Par son travail Lucile Viaud cherche à sensibiliser sur l’importance des ressources et du patrimoine naturel. Au-delà du design et de ses recherches, elle est aussi artiste. Du 7 au 28 février 2020 elle exposera ses sculptures de micro-algues à la galerie Mira http://www.miraecodesign.com/ à Nantes, spécialisée dans l’éco design !




L’idée sortie. Derniers jours pour découvrir la matériauthèque éphémère à Saint-Nicolas-de-Redon (44) !

Jusqu’au 30
novembre, une matériauthèque éphémère ouvre ses portes à
Saint-Nicolas-de-Redon. Organisé par
les associations
Katalpulte et L’écrouvis,
cet événement a pour
objectif de promouvoir le réemploi de matériaux et
l’écoconstruction.
Une journée exceptionnelle et
festive aura lieu ce samedi 30 novembre.

En 2019, le secteur du BTP aura généré près de 22 millions de
tonnes de déchets… soit près de 5 fois plus que les ordures
ménagères. Ce secteur, en plus d’être de loin le plus gros
producteur de déchets en France est également le plus grand
consommateur de matières premières non renouvelables. A
Saint-Nicolas-de-Redon (44), l’association l’Ecrouvis et
Katapulte ont créé une matériauthèque éphémère dans le but de
promouvoir le réemploi de matériaux de construction et
l’écoconstruction. L’événement, qui avait débuté le 6
novembre, se clôturera par une journée festive le 30 novembre.

« Rien à jeter » voilà ce que proposent à tout un
chacun les associations l’Ecrouvis et Katapulte dans leur
matériauthèque éphémère située au 8 ter avenue Jean Burel à
Saint-Nicolas-de-Redon. Leur pari ? Récupérer des matériaux
de construction destinés à la benne à ordures pour ensuite les
proposer à prix libre au grand public. Ce n’est pas la première
matériauthèque sur le territoire. En effet, à Ploërmel la
recyclerie « Le comptoir des rues » avait développé dès
2017 la vente de matériaux de seconde main. En revanche, il ne
s’agissait pas d’un événement éphémère. Avant de développer
durablement leur projet, les deux associations organisatrices ont
opté pour une phase d’expérimentation dans le but de définir
leur modèle économique ainsi que les besoins de leurs clients.

Après trois semaines de diverses animations, de conférences et
de rencontres en lien avec l’autoconstruction et le réemploi de
matériaux, « Rien à jeter » se terminera ce samedi 30
novembre. Jusqu’à 22h, les visiteurs pourront découvrir
l’exposition Anatomie d’Architecture, le tour de France
des maisons écologiques
. Une exposition retraçant un périple
de 6000km à la découverte de maisons écologiques et remarquables.
Pour les enfants ou grands enfants, des manèges et jeux en récup’
seront au programme de 13h à 20h. Puis, une cartonnade- ou bataille
avec des armures faites en cartons aura lieu à 16h30. Pour les
amateurs de musiques, une performance sonore aura lieu à 18h suivi
d’un concert de musique irlandaise. Sur place, il y aura une
buvette et des pizzas faites à base de nourriture récupéré fera
le bonheur des plus gourmands.

Après ces joyeuses festivités, la matériauthèque rouvrira ses
portes le 1er février en proposant toujours plus de
matériaux de récup’ ainsi que des formations au bricolage et à
l’autoconstruction.

P.S : Là-bas, on prend la monnaie locale, le Galleco !

Source introduction :

https://www.environnement-magazine.fr/recyclage/article/2019/06/05/124698/btp-genere-227-millions-tonnes-dechets

Plus d’infos : https://www.facebook.com/lecrouvisredon/?__xts__[0]=68.ARCmcfugHiMmu47p23LFxE7XbhXjorpoDcqW13m9VMCjgZXWH-ydwFf9NMuRt80lLRIr4qJF_c4ERxhkayUd6A-pdjegG-D2VtYLN211zZXx_gtF5GbXVAFpv8XaUYwShu8gnO9SiCmOFJeLzHBGhSc2UukQVFxM-pkaYZe6ljgNfI6gutkUOmcOh1T_4j0lFqOb4hTiImF3D_yR3zhSjXFacfKrRu6YZc7sRsEbkgQodUC6_NdpD6IunS8v4l9iLl8hbnVKbUYDD23RD-FsW3OC1ddtF-8yTbF-Q_jkYEG91PULITYqGKlucbDAvTa6HAryL9eJqxUXYziK0tZCSpM&__tn__=k*F&tn-str=k*F

ou

http://ecrouvis.org/?fbclid=IwAR165JcXvTJOSw6WYQpA_4Ozkw37fHP8bPmzkjz1zhX1rZYiYp4tpWhQlw4