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Devenez enquêteur/enquêtrice et dénichez les « arbres remarquables » de Bretagne !

[Rediff] La biodiversité vous intéresse ? Les arbres sont pour vous comme des amis ? Vous avez envie de contribuer à leur préservation ? Alors pourquoi ne pas participer à l’inventaire régional des « arbres remarquables » de Bretagne, en devenant enquêteur ou enquêtrice bénévole sur le terrain, avec la Maison de la Consommation et de l’Environnement, basée à Rennes.

 

Le projet « Arbres remarquables » a été lancé en 2007. Cet inventaire participatif, piloté par la Maison de la Consommation et de l’Environnement (MCE) de Rennes et des partenaires dans les différents départements, a pour objectif de « préserver et valoriser le patrimoine des arbres remarquables sur le territoire breton par la réalisation d’un inventaire régional, informer et sensibiliser le public sur les enjeux liés à ce patrimoine : développer sa connaissance de l’arbre, de son rôle dans l’écosystème, des techniques de plantations, d’entretien, et proposer aux éducateurs un outil de découverte et de valorisation de l’arbre, adapté aux spécificités de la Bretagne », peut-on lire sur le site de l’opération.

Mais qu’est ce qu’un arbre remarquable ?

C’est un arbre qui est « remarquable » de par ses dimensions, sa morphologie, son âge, sa rareté, son emplacement, son histoire, sa situation géographique… « Il faut cependant distinguer un arbre « spécial » ou « intéressant » d’un arbre « remarquable » Le sentiment de « remarquabilité » qu’il éveille doit être perçu par tous », précise cependant la Mce sur son site.

Depuis le lancement de l’opération, près de 2000 arbres ont été signalés, et 1600 « contrôlés ». Des comités d’homologation constitués de passionnés et professionnels en ont retenus 400, qu’on peut retrouver sur une carte disponible ici : https://arbresremarquablesbretagne.gogocarto.fr/

Chacun.e est invité.e à participer à cette grande opération participative, en envoyant un formulaire d’ajout d’un arbre à la carte.

Pour celles et ceux qui veulent aller plus loin et s’investir davantage, il est possible de devenir « enquêteur » ou « enquêtrice ». Il s’agit de se déplacer pour voir l’arbre in situ, afin de valider ou non l’ajout de celui-ci à la base de donnée. Un comité d’experts se réunira ensuite pour évaluer les arbres ajoutés l’année passée et les catégoriser en « arbres remarquables » en respectant des critères de notation.

Pour participer en tant qu’enquêteur ou enquêtrice, il suffit de s’inscrire auprès de la MCE, par mail : arbres@mce-info.org / 02.99.30.35.50

Une formation sera ensuite organisée, avec un partenaire de la MCE spécialiste du sujet.

 

Plus d’infos

https://www.mce-info.org/




Les quatre saisons du vivant se découvrent dans Cui-Cui

Collaboratif, associatif et saisonnier, le fanzine rennais Cui-Cui fait la part belle au vivant. La faune, la flore, les paysages qui nous entourent sont mis à l’honneur dans ce support «pop », grâce à des nouvelles, contes, poésies, illustrations…Deux numéros sont d’ores et déjà disponibles.

Faire se croiser le vivant et la pop culture, tel est l’objectif du fanzine « Cui-Cui ». Un projet lancé par l’association Faon/Zine, coordonnée par Marine Litou et Timothée Cantard, et qui propose également des ateliers et animations pour sensibiliser à la protection du vivant. « En créant Cui-Cui, on avait envie de travailler sur un format qui combine à la fois l’art et le naturalisme, et d’embarquer le lecteur.rice dans un imaginaire », explique Timothée, qui est naturaliste. « Le fanzine est un support beaucoup lu, créé par des passionnés, ce qui nous correspondait bien ». Les formats proposés dans le fanzine sont variés : portrait, poésie, contes, nouvelles…La réalisation est aussi participative.

Le premier numéro de Cui-Cui, qui a pour particularité de paraître à chaque saison, est sorti en mai. Au programme de ce numéro de printemps, réalisé en collaboration avec l’association Printemps Bruyant : l’histoire de l’herbe d’or, plante des légendes d’Armorique, des portraits d’animaux et végétaux (huppe fasciée, Lychnis fleur de coucou…), des histoires d’interactions entre non-humains, une recette…32 pages qui marient textes et illustrations. « On monte une équipe, et on se répartit les sujets », précise Timothée. « Les artistes qui illustrent et ceux qui écrivent se rencontrent autour d’un sujet, pour un travail à quatre mains. Cela permet d’ouvrir les champs de l’imaginaire ».

Un deuxième numéro, consacré à l’automne, est paru en novembre. L’équipe des contributeurs.rices s’est étoffée, passant de 9 à 16 . On trouve dans ce second numéro l’histoire de la grue cendrée qui nous rend visite l’hiver, les aventures de truites de rivière, de citrons et de grands rhinolophes, un « pacte de cohabitation » avec le loup, et deux rubriques réalisées avec l’association La-Haut, qui a proposé un séjour « perché » dans les arbres pour des jeunes rennais. (expérience qui a donné naissance au documentaire « Les Barons Perchés », ndlr). « Nous avons écrits des textes avec eux en haut des arbres », souligne Timothée.

Pour chaque sortie de numéro, une soirée de lancement est organisée. « Le fanzine devient aussi un support d’animation. Cela permet également de faire se rencontrer divers publics, de décloisonner et de croiser les approches, en invitant d’autres associations par exemple ». Pour le numéro d’hiver, Wild et les Soulèvements de la Terre étaient conviées.

Indépendant et non subventionné, édité à 750 exemplaires, Cui-Cui, qu’on peut se procurer en pré-vente avant sa sortie, est disponible dans plusieurs librairies bretonnes, essentiellement sur le secteur de Rennes. Mais on peut le trouver également à Douarnenez ou à Port-Louis. Si d’autres librairies sont intéressées, elles peuvent contacter le fanzine. De même pour celles et ceux qui veulent contribuer au prochain numéro (qui sera celui de l’été 2024) !

 

Plus d’infos et pour commander Cui-Cui en ligne : https://faonzine.fr/




Dans le Kreiz Breizh, préserver la biodiversité, c’est pas sorcier !

Tous les 28 du mois, l’association Kreiz Breizh Transitions organise un atelier ou une conférence, ouverte à toutes et tous, avec pour but de se rencontrer et « apprendre à faire ensemble ». Le 28 novembre, le rendez-vous était donné à la Brasserie de Guerlédan, pour participer à une « fresque de la biodiversité ». Objectif de la soirée : prendre conscience des enjeux globaux et locaux lié à la biodiversité, et réfléchir à leur intégration dans l’action sur le territoire. Reportage.

Une quinzaine de personnes ont répondu à l’appel, et se sont réunies dans les locaux conviviaux de la Brasserie, créé il y a 3 ans, et qui fabrique sa bière à partir de produits bios et locaux au maximum. On retrouve notamment ici Emilie et Stéphane, qui ont créé l’écogite Le Bôlieu au Quillio, et qui sont venus en voisins, et Quentin Soissons, déjà rencontré lors du précédent reportage sur la Fresque du Climat. C’est lui qui animera d’ailleurs la Fresque de la Biodiversité, en format adapté, qui est proposée en première partie de soirée.

Après un premier exercice de présentation durant lequel chacun.e choisit un « animal ou une plante totem » et explique aux autres quelle est sa vision et son rapport à la biodiversité, le groupe de scinde en deux. Sur chacune des grandes tables est installée une grande feuille blanche. Quentin nous distribue à toutes et tous une carte. Le principe est à peu près le même que celui de la Fresque du Climat. Mais ici, il s’agit de reconstituer un écosystème et de découvrir quelles peuvent être les perturbations sur celui-ci. « Elle est moins linéaire que la Fresque du Climat », précise Quentin. Tour à tour, nous énonçons le contenu de nos cartes, et réfléchissons ensemble à l’ordre dans lequel nous allons les placer sur la table. Plusieurs écosystème sont ainsi à l’étude : la Camargue, la campagne française…

Après cette entrée en matière qui permet de mieux comprendre la notion d’un écosystème et ce qui peut l’impacter, on passe aux réflexions à partir de cinq lots de cartes. A cette étape, on prend conscience de ce qu’est la biodiversité, ce qu’elle apporte, et ce qui la menace et la détruit. On en ressort un peu comme après la Fresque du Climat, avec un sentiment de colère, et de tristesse face à la situation.

Mais on peut agir localement, chacun.e avec ses envies, moyens et compétences. Et quoi de mieux qu’un exemple concret pour nous remettre un peu de baume au cœur ? Hélène Moreau, de l’association Alimentation Bien Commun (ABC), nous présente le travail de la structure et la maquette qui a été réalisée. « ABC a été créé juste après la visite de la Bascule, qui s’était installée dans l’ancienne polyclinique de Pontivy », rembobine Hélène. « On a identifié alors que le local était un levier dont chacun pouvait se saisir pour agir ». Et notamment dans le domaine de l’alimentation, qui « est émetteur en gaz à effet de serre ». Alimentation Bien Commun propose ainsi des action de sensibilisation pour les adultes et les scolaires, autour de l’autonomie alimentaire et d’une alimentation saine et raisonnée. Un jardin pédagogique a été créé aussi par l’association sur la commune de Le Sourn.

Hélène nous détaille maintenant la maquette réalisée par l’association, et qui représente un jardin. « C’est un espace naturel, un écosystème, constitué de différents milieux, un véritable carrefour entre ceux-ci ». On peut y voir par exemple l’herbe, une mare, un potager….et les différents habitats : la mare et les salamandres, les hautes herbes pour les hérissons…Hélène évoque ainsi l’importance de laisser des espaces non tondus dans les jardins afin de laisser la biodiversité s’y installer. « Les déchets verts n’existent pas », affirme-t-elle. Tout peut être réutilisé : en paillage, en haie sèche, au compost, en vannerie…les possibilités sont multiples. La maquette permet à toutes et tous de comprendre comment on peut facilement faciliter l’installation du vivant dans son jardin, et ainsi contribuer à une meilleure préservation de la biodiversité au niveau local.

 

Plus d’infos

https://sites.google.com/view/kreizbreizhtransitions/accueil




Découvrir « Les bestioles du compost » grâce à une mallette pédagogique bretonne

L’association Les Compostioles, basée à Crozon, a pour but de développer des outils à la fois pédagogiques, esthétiques et ludiques, de sensibilisation au vivant, à l’écologie, et au compostage. Après avoir réalisé un court-métrage « Illustration Compostage » sélectionné dans plusieurs festival, elle se lance dans un nouveau projet : une mallette pédagogique consacrée aux « bestioles du compost », fabriquée en Bretagne.

Elise Aufray est fascinée par le compost. Il y a presque dix ans, prof à l’Ecole Supérieure d’Arts de Bretagne, elle se lance dans le projet de filmer ce lent et intriguant processus. Elle emprunte du matériel dans son école, et, installée à Crozon avec son compagnon, transforme un garage en studio photo. Durant trois mois, tous deux photographient le bac à compost, toutes les heures, la journée et nuit. Le résultat : un court-métrage, baptisé « Illustration Compost », formé de 2500 prises de vue mises à bout, avec montage et musique. « L’objectif, avec ce film, c’était de répondre à la question : qu’est ce qu’il se passe dans le compost et comment le montrer ? Comment créer un outil qui donne envie de pratiquer ? », explique Elise. « Illustration Compostage » va alors se retrouver en sélection aux festivals de Clermont-Ferrand, de Berlin, de Brest… « Au final, il a été diffusé un peu partout dans le monde ! », souligne la co-fondatrice des Compostioles, l’association créé pour l’occasion.

Celle-ci décide alors de se concentrer sur l’aspect pédagogique, et de créer des outils esthétiques et fun pour inciter à composter. Un premier prototype de « Flip Book » est créé. Puis, l’association travaille avec le Musée Bel, en Belgique, sur une série de films, « De la graine aux légumes ». Un autre outil est en train aussi de voir le jour : une mallette pédagogique consacrée aux « bestioles du compost ». Un projet sur lequel Elise et Les Compostioles travaillent depuis 6 ans. « On a réalisé des prototypes de bestioles en pâte à modeler, papier, carton, éponge… », développe la jeune femme. La bonne formule est maintenant trouvée : ce sera de la pâte à modeler durcissante, un matériau « léger, doux au toucher, et résistant au choc ». L’objectif de la mallette : « rencontrer en grand les petites bêtes qui font le compost, les montrer, mettre à disposition l’information de manière fraîche et élégante ». Elle sera orientée vers le jeune public, qui a « une capacité de fascination incroyable : on va pouvoir leur dire : regardez les cloportes, les collemboles, les vers, c’est génial ! ». L’outil est particulièrement attendu par les animateurs et animatrices spécialistes du compost, notamment à l’approche de l’application d’une directive européenne qui demande aux intercommunalités d’organiser le compostage chez tous les particuliers et professionnels à partir du 1er janvier 2024.

Pour la fabrication de la mallette pédagogique, l’association Les Compostioles travaille en collaboration avec des acteurs locaux, comme par exemple le FabLab « Silex et Compagnie » de la Maison des Minéraux de Crozon, Et pour la rendre plus accessible, elle cherche actuellement des fonds privés et publics, à hauteur de 40 000 euros. La mallette est déjà en prévente pour les collectivités locales. Certaines ont d’ores et déjà passé commande.

 

Plus d’infos : https://lescompostioles.com




L’arbre à l’honneur durant une semaine à Rennes

La Semaine de l’Arbre revient pour une édition 2023, jusqu’au 26 novembre, à Rennes. Porté par la Maison de la Consommation et de l’Environnement (MCE) et de nombreuses associations, l’événement est riche d’animations. Au programme : des balades, projections, ateliers, séances de plantations collectives…Pour en savoir plus, interview de Cécile Dubois-Salles, chargée de communication à la MCE.

 

Peux-tu nous rappeler ce qu’est la Maison de la Consommation et de l’Environnement de Rennes ?

La Mce est une « association d’associations », née en 1983 à Rennes. A l’époque, trois associations environnementales et six associations de consommateurs cherchaient un local. Sur suggestion de la ville, elles s’installent dans un espace commun. Aujourd’hui, la MCE regroupe 29 structures membres : des associations de consommateurs (CLCV, CGLC, Confédération Syndicale des Familles…), des associations naturalistes et de protection de l’environnement (Eau et Rivières de Bretagne, Bretagne Vivante, le Gretia, Société Mycologique de Rennes…), et d’autres sur des thèmes liés au cadre de vie (Rayon d’action sur le vélo, Empreinte sur l’éco-habitat, La Bonne Assiette sur l’Alimentation…). Une quinzaine de salarié.e.s travaillent à la MCE, aussi bien sur des missions d’animation que d’administration. C’est par ailleurs un lieu qui est unique en France, et qui fête ses 40 ans cette année !

 

Pourquoi avoir lancé une « semaine de l’arbre » ?

La première édition a eu lieu en 2021, avec le souhait de valoriser l’arbre en ville. On s’est rendu compte que beaucoup d’acteurs rennais organisaient des événements sur ce thème en automne, c’était donc la bonne occasion. A cette époque de l’année, on peut voir l’arbre dans sa structure entière, sans les feuilles, à nu. C’est idéal. L’idée, c’est aussi de se donner un temps pour faire attention à lui, mieux le comprendre.

 

 

Où vont se dérouler les animations, et quelles sont les associations partenaires de l’opération ?

Pour cette édition 2023, les communes concernées sont Rennes, mais aussi Chateaubourg, Bourgbarré et Pacé. Parmi les organisateurs de l’événement, on compte les associations La Nature en Ville, la Société Mycologique de Rennes, Vert le Jardin, les Jardinets de Saint-Cyr, la Société d’Horticulture 35, Mezen, le CPIE Forêt de Brocéliande, Agis Ta Terre, E-Graine Bretagne…L’Astrolabe, une librairie coopérative située dans le quartier de Maurepas à Rennes, est aussi mobilisée.

 

Quels sont tes « coups de cœur » dans la riche programmation qui est proposée?

Les plantations ! Le mercredi 22, il y aura une opération de plantation citoyenne d’un verger au Square des Hautes Ourmes à Rennes, avec le Collectif des Hautes-Ourmes et la Ville de Rennes. Samedi 25, il y aura également une plantation collective d’arbres fruitiers, sur des terrains municipaux, à Bourgbarré, avec l’association Les Planteurs du Boizh’ éloups.

Des projections du films sont aussi prévues, dont deux dans le cadre du Festival Alimenterre. Mercredi 22, nous accueillerons à la Mce le film « Barons perchés », une projection sur le séjour dans les arbres d’un groupe de jeunes durant trois jours en compagnie de l’association La Haut. A ne pas rater, le dimanche 26, la projection au cinéma l’Arvor du film d’animation familial « L’homme qui plantait des arbres », un moyen-métrage de 30 minutes très marquant, avec la voix de Philippe Noiret. C’est vraiment un bijou bouleversant !

On peut citer aussi d’autres événements comme la venue de deux druides : Pascal Lamour, musicien et auteur qui viendra lundi 20 à la librairie l’Astrolabe à Maurepas pour une rencontre et dédicace. Et Bran Du, qui sera le 25 novembre à la Mce pour une causerie sur l’arbre dans la tradition celtique. Tous les deux sont des puits de science sur le pouvoir des plantes et des arbres, dans notre histoire et sur notre territoire. Ce sont de belles personnes à écouter !

 

Programme entier à télécharger sur https://www.mce-info.org/semaine-de-larbre-novembre-2023/

A lire aussi : http://www.eco-bretons.info/devenez-enqueteur-enquetrice-et-denichez-les-arbres-remarquables-de-bretagne/




L’idée sortie. Découvrir chauve-souris et animaux de la nuit sur le territoire de Morlaix Communauté

Officiellement, la Nuit de la Chauve-Souris se déroule tous les ans le dernier week-end d’Août. Mais de nombreuses animations ont lieu tout l’été, pour découvrir ce petit mammifère étonnant et encore mal connu. C’est le cas par exemple sur le territoire de Morlaix, avec trois événements à venir. Le premier a lieu ce vendredi soir, avec Bretagne Vivante. Rendez-vous dans les jardins de la Manufacture dès 20h45 pour découvrir la faune nocturne, dont la chauve-souris.

Savez-vous qu’il existe près de 1400 espèces de chauve-souris à travers le monde ? Ce petit animal nocturne représente ainsi à lui seul 20% des mammifères de la planète ! En France métropolitaine, 36 espèces sont reconnues. Elles jouent un rôle écologique très important : ce sont de très grands insectivores, capables de consommer en une nuit près de la moitié de leurs poids ! Les chauves-souris sont aussi un excellent indicateur de la bonne santé d’un éco-système. En Bretagne, 22 espèces ont été recensées, parmi lesquelles le Grand Rhinolophe, le Grand Murin, le Murin de Daubenton, la sérotine commune, la pipistrelle commune, ou encore la noctule géante, plus grande espèce européenne, présente en Ille-et-Vilaine.

Les 26 et 27 août 2023 aura lieu la vingt-septième édition de la traditionnelle Nuit de la Chauve Souris. Mais c’est en fait durant tout l’été que des animations autour du petit mammifères ont lieu.

C’est le cas par exemple sur le territoire de Morlaix Communauté, qui organise trois événements, les 18, 29 et 31 août, dans le cadre du programme Trame Verte et Bleue.

 

Au menu :

  • Le vendredi 18 août : Avec Bretagne Vivante, rendez-vous dans les jardins de la Manufacture, de 20h 45 à 22h45, pour découvrir la faune nocturne de la Ville de Morlaix, du ver luisant aux chauve-souris.

Réservation : karine.viseur@bretagne-vivante.org • 06 07 22 91 77

 

  • Le mardi 29 août : Avec Au Fil Du Queffleuth et de la Penzé, rendez-vous à l’Abbaye du Relec, à Plounéour-Menez, de 19h30 à 22h. Présentation d’un diaporama dans l’abbaye avec des ateliers pour les enfants, suivi d’une balade autour de l’étang. Utilisation d’un détecteur à ultra-sons pour repérer les chauve-souris.

Réservation : afqp29@gmail.com • 02 98 78 45 69

 

  •  Jeudi 31 août : avec l’Ulamir-CPIE, rendez-vous dans la vallée de Trobodec, à Guimaëc, de 20h à 22h. Balade familiale et ludique avec animation pour découvrir les chauve-souris. Réservation : www.ulamir-cpie.bzh (rubrique agenda) • 02 98 67 51 54 • 06 15 06 82 08

 

 

 

Plus d’infos

https://morlaix-communaute.bzh/Amenager-durablement/Gemapi/Trame-verte-et-bleue-Animations-nature-biodiversite?fbclid=IwAR0GrCUFDPM25gDAfaijz1ipiioaWkCK82umO-84jFlEERfJKPpv_in6piI