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L’atelier d’insertion « Roul’Age », un second souffle pour les hommes et les objets

C’est à Brest en 1994 que l’atelier d’insertion « Roul’age » voit le jour. Il remet sur pied les personnes en difficultés et participe efficacement à la lutte contre l’obsolescence programmée.

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Conseillère en insertion pour l’association de l’« Office des Retraités de Brest », Marie-Hélène JACOLOT accompagne les personnes allocataires de minima sociaux dans une démarche de resocialisation. Accueillis sous prescription des travailleurs sociaux, les participants sont ici pour résoudre des problèmes liés au logement, à la santé, à la mobilité ou au retour à l’emploi.
L’échange et le partage sont les bases de la reconstruction, l’atelier leur apporte l’assiduité, les règles, le cadre, l’écoute, les rires ou la satisfaction du travail bien fait. En contrepartie, leurs compétences professionnelles, souvent enfouies après une longue période d’inactivité sont alors remobilisées.

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Lave-linge, micro-ondes, ordinateurs, fauteuils roulants électriques, grille-pain, ce sont les objets du quotidien que l’on retrouve encore trop souvent dans nos déchetteries et qui pourtant ne demandent qu’a être réparés.

C’est ce que s’efforce de faire cet atelier d’insertion financé par le Conseil Départemental, il est composé d’une douzaine de participants et de 25 bénévoles encadrants.
Le hangar de 200m2 est alimenté en appareils électroménagers, vélos, meubles et matériel paramédical grâce aux dons des maisons de retraites, des hôpitaux, des associations ou des particuliers. Le matériel est ensuite réparé dans l’atelier de 150m2 par les participants avec l’aide d’un bénévole encadrant si nécessaire.
Il est ensuite vendu uniquement aux personnes allocataires de minima sociaux, afin qu’ils puissent équiper leur logement décemment.
En ce qui concerne le matériel paramédical, il est envoyé dans les pays en voie de développement par le biais d’associations humanitaires comme « Appel Detresse » ou l’« ASTH » (Association au Service des Transports pour personnes Handicapées au Maroc).

Et comme chez Roul’age on ne fait pas les choses à moitié, on entretient et répare également le matériel des associations partenaires comme le Secours catholique, le Secours populaire ou bien encore La caisse à clous.

Un lieu atypique ou les mots humanité et solidarité prennent tout leur sens.




DIY : Fabriquer un pnouf !

Amis bricoleurs, retroussez vos manches et fabriquez votre pouf en pneu pour frimer lors de vos soirées barbecue !

 

Matériel :

  • 1 pneu usé (à récupérer chez votre garagiste)
  • 25 mètres de corde de diamètre 3-4mm (idéalement de la drisse de voile)
  • 0,5 L de peinture multi-support (privilégier les peintures certifiées eco-label !)
  • 1 carton d’une dimension supérieure au diamètre de votre pneu
  • 1 perçeuse
  • 1 foret de diamètre 3mm
  • 1 foret de diamètre 8mm
  • 2 rondelles de diamètre intérieur égal au diamètre de votre corde

 

Durée :

  • Peinture : 1h de pose + 2h de séchage partiel + 6h de séchage complet
  • Perçage : 20mn
  • Tissage : 2H30

Préparation :

  • Nettoyez votre pneu à l’eau savonneuse pour que la peinture adhère au caoutchouc.
  • Peignez un flanc puis attendre un séchage partiel de 2 heures avant de retourner le pneu pour peindre le reste.
  • Respectez le temps de séchage complet avant de continuer.
    Il est possible que la peinture n’adhère pas convenablement sur le caoutchouc, dans ce cas appliquez une seconde couche.

 

  • Prenez votre carton et tracez un cercle au diamètre moyen du pneu.
  • A l’aide d’un rapporteur, tracez un trait tous les 12 degrés puis les reporter sur l’extérieur de votre gabarit.

 

  • Fixez votre gabarit sur le pneu à l’aide de scotch puis pré-perçez la première rangée de trous à l’aide de votre perçeuse et du foret de 3mm.
  • Perçez ensuite en quinconce la seconde rangée à un diamètre légèrement inférieur que celui de la première rangée.
  • Repassez maintenant sur chaque trou avec le foret de 8mm pour faciliter le passage du fil lors du tissage.

 

  • Assurez le maintien de la corde à l’aide d’une rondelle nouée à l’extrémité.

 

 

 

 

 

  • A l’aide d’un tournevis, passez  la corde successivement dans chaque trou de la première rangée.

 

 

  • Après avoir terminé le premier passage, réalisez la même opération dans l’autre sens afin que le tissage soit de 90°.

 

 

Votre pnouf est terminé !
Pour une hauteur d’assise plus confortable superposez deux pneus.




24/09 Dineault (29) : Élevage, culture et harmonie.




Les cosmétiques bio : l’essentiel pour ma peau !

Un marché en pleine croissance

Bien plus qu’un effet de mode, la consommation responsable est aujourd’hui une vraie question de société. En effet, les Français sont nombreux à avoir remis en cause leurs habitudes au profit d’une consommation plus éthique et naturelle. Le secteur des cosmétiques bio s’inscrit dans cette logique puisqu’il fait l’objet d’une croissance de 25% par an depuis 2005.

Aujourd’hui les cosmétiques bio ne sont plus réservés uniquement aux magasins spécialisés. Ils envahissent progressivement les rayons de la grande distribution et prennent une place de plus en plus importante aux côtés des cosmétiques traditionnels. Le choix est donc vaste pour le consommateur !

Qu’est-ce qu’un cosmétique bio ?

Contrairement aux cosmétiques conventionnels, les cosmétiques bio contiennent des ingrédients naturels, issus en particulier de l’agriculture biologique (au moins 5% du produit fini pour le label Ecocert par exemple). Ils sont certifiés par un organisme certificateur au regard d’un cahier des charges draconien. Quant aux cosmétiques naturels, ils sont formulés notamment à partir d’ingrédients issus de la nature mais rien ne prouve que les composants proviennent de sols dépourvus d’OGM ou de pesticides. En effet, il n’existe pas de certification sur le sujet et donc aucun minimum à respecter pour les marques distribuant ces produits dits naturels. C’est pourquoi cosmétique naturelle ne veut pas dire cosmétique bio !

3 bonnes raisons de préférer les cosmétiques bio :

1. Ils sont moins nocifs pour la peau 

Contrairement aux cosmétiques conventionnels qui contiennent des excipients tels que du silicone, des composants synthétiques ou d’origine animale, les cosmétiques bio ont une formulation beaucoup plus respectueuse pour la peau : huiles végétales (amande, avocat…), eaux florales…

2. Ils sont plus respectueux de l’environnement 

Les cosmétiques bio adoptent une démarche plus sincère vis-à-vis de la planète. Ils font notamment appel à des ingrédients issus de l’agriculture biologique garantis sans OGM ni pesticides. Dans cette même logique, les emballages de ces produits sont majoritairement recyclables voire parfois biodégradables.

3. Ils font l’objet de certifications

Pour être certifié, un cosmétique bio doit répondre à un cahier des charges précis. C’est un gage de sécurité pour le consommateur puisqu’il garantit, par exemple, la teneur en ingrédients issus de l’agriculture biologique contenus dans le produit. Des labels sûrs comme Ecocert, Cosmebio… peuvent vous guider et vous conforter lors de l’achat d’un cosmétique bio.

Les cosmétiques Body Nature : un concentré d’écologie, de technicité et de plaisir des sens !

Pionnier dans la conception, fabrication et distribution de produits sains et sécurisants pour l’Homme et l’environnement depuis 1972, le laboratoire Body Nature propose une gamme de cosmétiques écologiques pour les petits et les grands. En menant une démarche de Rechercher & Développement dynamique, le laboratoire Body Nature s’est doté d’une réelle expertise en matière de cosmétique écologique : formulations sûres et innovantes, produits adaptés à tous les types de peau… Aujourd’hui, plus d’une centaine de références sont disponibles et pour la plupart certifiées Ecocert. Qu’il s’agisse de produits d’hygiène, de soins d’hydratation pour le corps, de maquillage ou des gammes spécialement conçues pour les hommes ou pour les bébés : chacun y trouvera son bonheur tout en respectant sa peau et la nature !

Plus d’infos : www.bodynature.fr