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Les Mains dans le Sable pour lutter contre les déchets sur les plages du Morbihan

Depuis 10 ans, l’association Les Mains dans le Sable organise des opérations de ramassage de déchets sur les plages du Morbihan, dans les secteurs de Lorient, Auray et Vannes. Au fil des années, elle a amplifié ses actions, et a lancé un nouveau projet il y a quelques mois, baptisé « 905 km sans déchets ». Objectif : proposer de nouvelles formes de sensibilisation et toucher un nouveau public, grâce à des ateliers, projections, conférences, interventions dans les écoles…Elle organise également son désormais traditionnel ramassage de déchets sur la Plage Sainte Barbe à Plouharnel, le dimanche 24 mars.

L’association Les Mains dans Le Sable est née il y a 10 ans dans le Morbihan. « Début 2014 plus précisément », rembobine Guillaume Durand, chargé de développement. « Cette année là, l’hiver avait été particulièrement agité. Il y avait une quantité impressionnante de déchets sur le littoral. A l’époque, nous étions trois, et nous voulions mobilier les citoyen.e.s pour mettre en place des actions de ramassage ». De fil en aiguille, l’association grandit, les opérations deviennent régulières. Au total, ce sont plus de 60 tonnes de déchets qui ont été récupérés depuis 2014, sur plus de 400 actions, par 24 000 participant.e.s !

Aujourd’hui, Les Mains dans le Sable est reconnue « d’intérêt général », agrée « protection de l’environnement » et « jeunesse et éducation populaire ». Elle est animée par un collectif d’une vingtaine de bénévoles. Le champ d’action s’est aussi quelque peu élargi. « Le nettoyage des plages nous a vite conduit à mener une réflexion plus large sur les habitudes de consommation », souligne Guillaume. « On se reconnaît dans les déchets qu’on trouve dans la nature ! ». Depuis plusieurs années, les opérations de ramassage, qui ont lieu une fois par mois dans le secteur d’Auray, celui de Lorient, et celui de Vannes, sont ainsi l’occasion de transmettre les bons gestes à appliquer au quotidien, pour avoir une consommation avec moins d’impact sur l’environnement et la production de déchets. Un stand permet de s’informer sur des solutions pratiques comme par exemple le recours au vrac ou encore aux cosmétiques solides.

Car ce qui est ramassé sur les plages du Morbihan, qui provient « au trois quart d’activités professionnelles », vient aussi du quotidien. « Les déchets viennent du continent », rappelle Guillaume, « Ils échouent sur les côtes, parce qu’ils s’envolent aussi dans les poubelles, les déchetteries ». Ce qui est « abandonné » sur le littoral reste finalement assez rare.

Depuis quelques mois, l’association a lancé un nouveau projet, baptisé « 905 km sans déchet ». 905, pour le nombre de kilomètres linéaires côtiers dans le Morbihan. « Le but, c’est de diversifier les animations tout le long du littoral, pour faire connaître les problématiques, et aller à la rencontre d’un nouveau public », développe le chargé de mission. Au programme : des ramassages, mais aussi des ateliers, des conférences, des projections de films, des animations dans les écoles…

Dans ce cadre, des ateliers « Deux tonnes » et « Fresque du Climat » auront lieu le samedi 16 mars à Séné. Et le 24 mars, place à la dixième édition de l’un des événements majeurs de l’association : le nettoyage de la plage Sainte-Barbe à Plouharnel. Les neuf éditions précédentes ont mobilisé plus de 1 500 participants et permis l’évacuation de 4 tonnes de déchets.

Pour celles et ceux qui souhaitent y participer, le rendez-vous est donné à 13h30 à l’entrée de la plage, pour une fin prévue à 16h30. La participation est gratuite. Ne pas oublier les gants !

 

Plus d’infos

Le site de l’association Les Mains Dans le Sable




Mamik, une boite à savons éco-conçue en Loire-Atlantique

A Nantes, Marie Lassara a créé « Mamik », une boite à savon fabriquée à base de liège issu du Sud de la France et de plastique 100% recyclé, provenant de la filière de tri des bouteilles. Un objet qu’elle espère être un « levier » pour utiliser davantage les cosmétiques solides et le zéro déchet dans la salle de bains.

186 millions. C’est le nombre de flacons de gels douche vendus en France chaque année. En cumulant avec les shampooings et autres bains douche, ce sont 16 000 tonnes d’emballages qui sont ainsi produits tous les ans, selon des chiffres de l’Ademe.

Mais depuis quelques années, la cosmétique « zéro déchet » se développe, et le savon ou le shampooing solides font leur grand retour (ou leur apparition, c’est selon) dans les salles de bains. Reste une question logistique : comment fait-on pour conserver ses produits sur le bord de la baignoire ou du lavabo ? Et pour les emmener avec soi quand on part en vacances ? Ce sont ces constats qui ont mené Marie Lassara, après 17 ans à travailler pour un grand groupe français, à lancer son projet Mamik, il y a maintenant 18 mois : une boite à savon en plastique 100% recyclé, fabriquée en France. « Des personnes peuvent être déçues en passant au savon solide, car ce n’est pas toujours évident de le conserver dans de bonnes conditions », explique Marie. « Cela peut être un frein à la cosmétique zéro déchet, et une raison pour repasser au gel douche liquide ».

Avec sa boite à savon en forme de beurrier, qui peut aussi contenir du shampooing, du déodorant, du dentifrice, du démaquillant… Marie Lassara n’a « rien inventé » affirme-t-elle. « On a redessiné ce qu’avaient nos grands-mères dans leurs salles de bains ». La boite Mamik est fabriquée à partir de liège issu du Sud de France, et de plastique 100% recyclé. « Il est issu de bouteilles, qui viennent du circuit traditionnel de tri. Nous n’utilisons aucun plastique vierge », précise la jeune femme. Dessinées dans le Jura, les boites sont fabriquées entre Angers et Nantes, et imprimées, conditionnées et expédiées de Vertou, en Loire-Atlantique.

Hormis la vente aux particuliers, l’entreprise propose aussi ses boites, et plus largement des contenants durables, aux professionnels, notamment aux laboratoires et aux marques de cosmétiques, qui peuvent les personnaliser, et des coffrets « zéro déchets ».

 

Plus d’infos

https://mamik.fr

 

 




L’atelier Ernestine donne une seconde vie aux meubles

A Concarneau, l’Atelier Ernestine, fondé par Sarah Bergot et Morgane Braescu, sauve les meubles destinés à être jetés. Toutes deux les rénovent et leur offrent une nouvelle esthétique. En un peu plus d’un et demi d’existence, elles ont déjà permis la réhabilitation de deux tonnes de meubles !

Fondée par Sarah Bergot et Morgane Braescu, la structure est née à Concarneau, où elle se situe toujours. Elle se trouve désormais dans la pépinière d’entreprises de Concarneau Cornouailles Agglomération depuis un an, dans un espace de 80m2. « L’idée de l’atelier a germée en 2021-2022 », rembobine Sarah. « Nous voulions toutes les deux de revenir à du concret, avec un impact à la fois social, écologique, et créatif ».

Avec l’Atelier Ernestine, les deux finistériennes valorisent les meubles existant, « plus forcément adaptés à notre époque », souligne Morgane. Souvent en bois massif, il est ainsi facile de les restaurer. Tout en apportant une touche « fait main ». « On est dans de la rénovation esthétique. Refaire tout avec de nouvelles pièces de bois, ce n’est pas notre truc ! ». Les deux jeunes femmes proposent un ponçage complet, la pose d’un vitrificateur… « L’idée, c’est que tout ce qu’on fait soit durable ». Les meubles peuvent provenir d’apports volontaires, ou d’achats par l’atelier sur des plateformes internet. On peut aussi passer commande, pour du sur-mesure. « On a des pièces très sentimentales, très importantes pour les personnes, et qui sont très qualitatives », souligne Morgane. Les meubles rénovés sont proposés à l’atelier, mais aussi sur une boutique en ligne.

Des projets à venir et des partenariats locaux

Les deux fondatrices proposent aussi des ateliers et stages de rénovation de meubles en bois. « Sarah partage ce qu’elle appris, avec l’utilisation de produits écoresponsables », précise Morgane. « On souhaite apprendre à des personnes de tous âges et tout niveau à valoriser ce qu’elles ont gardé et/ou récupéré ».

D’autres projets sont également dans les cartons : une mini-séries de produits éco-conçus avec des chutes de bois, avec le soutien de la Région Bretagne, ou encore la labellisation « Eco Impact » des meubles et du process, avec l’entreprise du même nom . Et des partenariats locaux sont d’ores et déjà mis en place, comme avec Rehab, qui fabrique des planches en plastique recyclé, qu’on peut retrouver sur certaines pièces de l’Atelier.

La petite entreprise s’inscrit ainsi dans « une véritable démarche d’économie circulaire », selon Morgane et Sarah. D’après l’Ademe, l’industrie de l’ameublement génère 1,3 millions de tonnes de déchets par an ! « La deuxième main, on a vu que ça avait bien pris dans le secteur du vêtement. On espère que ça va se déployer dans le secteur du meuble », ajoute Morgane. « L’économie circulaire, de manière générale, est aussi un des leviers pour répondre aux enjeux de réchauffement climatique. En plus d’être meilleur pour la planète, c’est bon aussi pour le porte-monnaie, et créateur d’emploi. Nous sommes fières de pouvoir participer à notre niveau à ce mouvement, dont c’est encore les débuts ! », conclut-elle.

 

 

Plus d’infos :

https://atelier-ernestine.fr

 




L’Eclaireuz montre la voie de la réduction des déchets aux entreprises et aux pros

[Rediff] L’Eclaireuz, c’est le nouveau projet de Claire Cariou, initiatrice de l’association Cote Waste, qui a aussi réalisé en 2021 un « Tro Breizh » à vélo du zéro déchet. Au sein de la Coopérative d’Activité et d’Emploi Chrysalide, elle propose désormais ses services auprès des entreprises et professionnel.le.s, en les formant pour diminuer leur volume de déchets. Elle recevra le « prix du public » lors de la remise des Trophées Bretons des Transitions 2023, qui seront décernés le 5 octobre à Quimper.

On connaissait Claire Cariou pour Côte Waste, association dédiée au zéro déchet dans le Finistère Sud, qu’elle a fondée. Mais aussi pour son « Tro Breizh » à vélo sur les cinq départements de la Bretagne historique, à la rencontre des acteurs et actrices du zéro déchet et des bonnes pratiques en la matière, menées de façon collective. Son périple a donné lieu à un documentaire, « Cheval de Fer », diffusé notamment sur Tébéo. Claire donne aussi des conférences sur le sujet, et est actuellement en train d’écrire un livre sur son aventure à bicyclette de 2021 (elle cherche d’ailleurs une maison d’édition!)

Elle a ajouté une nouvelle corde à son arc, avec « l’Eclaireuz », qu’elle a lancée en début d’année. Une activité de formation, d’accompagnement et de conseils aux entreprises et professionnel.le.s dans leur démarche de réduction des déchets. « L’objectif, c’est de les familiariser avec cette action de diminution de volume, et de les rendre autonome sur le sujet », explique Claire, qui précise s’adresser à tous types d’entreprises et tout type de secteur. « Il y a toujours un moyen de réduire, de supprimer, d’optimiser, pour avoir à la fin moins de poubelles ». D’autant plus que diminuer le volume de ses déchets est également synonyme d’économies, « ce qui n’est pas anodin », selon elle. Elle organise pour cela des sessions de formation sur un jour ou deux, et donne des outils « pour réaliser un plan d’action, et lever les obstacles sur le sujet ».

L’Eclaireuz, qui fait partie de la Coopérative d’Activités et d’Emploi (CAE) du Finistère Chrysalide, a aussi pour ambition la constitution d’un réseau de formatrices du zéro déchet. Claire travaille déjà en partenariat avec Aurélie Camerlynck, spécialiste des outils numériques et bureautiques, et Sabrina Toudic (à qui nous avons consacré un portrait ici, ndlr), qui propose des ateliers ludiques sur les enjeux environnementaux.

On pourra retrouver Claire avec l’Eclaireuz lors du salon Breizh Transition qui se déroulera les 4 et 5 octobre à Quimper. Un événement au cours duquel elle recevra le « prix du public » des Trophées Bretons des Transitions 2023.

 

Plus d’infos

https://leclaireuz.com/




Le Défi Zéro Déchet repart pour une seconde édition autour de Lannion

La seconde édition du Défi Zéro Déchet, mis en place par Lannion Tregor Communauté et piloté par Laëtitia Crnkovic, se déroulera de janvier à juin 2024. Objectif : réduire son volume de déchets en famille, grâce à un coaching personnalisé, des conseils, des ateliers pédagogiques, visites, et échanges avec les autres participant.e.s. Inscriptions possibles jusqu’au 6 décembre.

58%. C’est le taux de réduction des déchets dans les familles ayant participé l’année dernière au premier Défi Zéro Déchet organisé par Lannion Trégor Communauté, dans le cadre de son Programme de Prévention des Déchets Ménagers (PLPDMA). « L’objectif était de 30% », rappelle Laëtitia Crnkovic, formatrice, autrice, conférencière, spécialiste de la réduction des déchets, qui avait piloté cette première édition, et qui rempile pour 2024. L’objectif est toujours, en six mois, d’ « ancrer les habitudes dans les foyers », avec l’accompagnement de spécialistes telles que Jennifer Pellan ou Sabrina Toudic (à qui nous avons consacré un portait ici). Les familles (au nombre de 40) bénéficieront ainsi d’un coaching personnalisé, et participeront à une dizaine d’ateliers dans l’année.

Concrètement, le défi, qui va démarrer en janvier et se terminer en juin, se déroulera selon plusieurs étapes. La première consiste en une observation des pratiques. « On va faire l’autopsie des poubelles », explique Laëtitia, « et voir quels peuvent les freins à une démarche de réduction des déchets, comme par exemple le mode de vie, le temps disponible, si on aime cuisiner ou pas… ».Les marges de progression vont ainsi pouvoir être identifiées, et des solutions sur-mesure vont être proposées. Vont suivre alors quinze jours de mise en place.

Puis, la seconde phase peut alors commencer. Durant quatre mois, « on va vraiment commencer à réduire les déchets, grâce aux conseils de la coach et aux ateliers », précise Laëtitia. Les familles engagées dans le défi pourront apprendre comment faire des courses zéro déchet, en utilisant le vrac, la consigne, la recharge….et ainsi passer un cap. « Montrer en direct avec l’exemple, cela permet de dédramatiser, et de s’apercevoir que les possibilités de courses zéro déchet sont multiples ». Au programme également, des ateliers par petits groupes, pour découvrir de façon pédagogiques des alternatives zéro déchet, des visites de sites emblématiques (plateforme de compostage, centre de tri…). Puis, mi-juin, le défi prend fin lors d’une grande fête, et un bilan quantitatif et qualitatif permet de mesurer les nouvelles pratiques des foyers. Ceux-ci doivent par ailleurs souscrire au départ à une charte, qui les engagera à participer aux deux séances de coaching, à quatre ateliers sur les neuf proposés, à deux visites sur trois, et à peser régulièrement les déchets à l’aide de l’outil fourni par Lannion Trégor Communauté.

Pour s’inscrire à « celle belle expérience, créatrice de liens, et qui fait du bien au commerce local » comme le définit Laëtitia, rendez-vous sur la page dédiée sur le site de Lannion Trégor Communauté.

 




Crème/lait de riz et d’avoine : végétal et zéro déchet !

Aujourd’hui, il existe de nombreuses alternatives végétales aux produits laitiers. Crèmes, laits, yaourts ou fromages peuvent se faire à base d’oléagineux, légumineuses (soja) et céréales. Ces végétaux étant souvent disponibles en vrac et, de nombreuses recettes existant, vous pouvez réalisez ces produits vous-même et de façon zéro déchet !

Voici deux recettes permettant de faire de la crème et du lait végétal : une au riz et l’autre à l’avoine.

Crème/lait de riz : 

Base de départ :

  • 200 g de riz
  • 750 ml d’eau
  • quelques gouttes d’huile végétale de votre choix
  1. A l’aide d’un mixeur, broyez les grains de riz pour obtenir une poudre fine. La poudre peut être conservée si vous en avez trop.
  2. Versez la poudre de riz dans une casserole, versez-y l’eau avec l’huile et faites chauffer à feu moyen pendant 15 min en remuant régulièrement. 
  3. Pendant ce temps, le riz va épaissir et lorsque le mélange devient consistant (n’est plus liquide), vous pouvez couper le feu. Le résultat correspond à la base qui servira à la crème ou au lait de riz. Si vous n’utilisez pas tout, la base peut être conservée en bocal au congélateur ou au frigo (quelques jours dans ce cas). 

Crème/lait de riz :

  • 250 g de base ci-dessus
  • de l’eau : 75 ml pour la crème et 750 ml pour le lait
  • options : vous pouvez ajouter sel, ail, épices, herbes, jus de citron, sucre, cacao, fruits, vanille, etc.  la crème et le lait peuvent en effet servir tels quels ou comme base pour sauces, appareils à tartes et gâteaux, salés ou sucrés, boissons fruitées ou chocolatées !

Mettez la base dans un mixeur avec l’eau et mixez jusqu’à avoir une crème/lait homogène. Si la texture vous plaît alors c’est terminé ! Sinon, rajoutez de l’eau pour avoir la bonne texture et dosez vos options en conséquence (peut manquer de sel si on rajoute de l’eau par exemple).

Crème/lait d’avoine :

Ces recettes permettent d’utiliser toute la céréale même l’okara.

Lait

  • 70 g flocons d’avoine
  • 1 L d’eau

Il est très facile d’obtenir du lait à partir d’avoine : un peu de flocons d’avoine dans un bol avec de l’eau et vous avez votre p’tit dej lait + céréales en remuant un peu. Bon c’est quand même meilleur en ajoutant quelques trucs comme des fruits secs, noix ou autres céréales et graines. Aussi, pour faire le lait, il suffit de :

  1. Mixer des flocons d’avoine avec l’eau.
  2. Filtrer le tout grâce à une passoire très fine, une étamine ou un tissu afin de retirer les résidus d’avoine dits “okara”. Le lait peut être conservé quelques jours au frigo. 

Vous pouvez boire le lait tel quel ou bien le parfumer avec un peu de sucre, vanille, fruits pressés/mixés ou cacao pour lui donner différentes saveurs, ou encore l’utiliser comme ingrédient pour faire des sauces, gâteaux et autres préparations. 

Crème :

  • l’okara obtenu en faisant le lait
  • 400 ml d’eau
  • 1 c-à-s de fécule de pomme de terre (si vous avez pas vous pouvez remplacer par des patates écrasées)
  • options (comme avec la crème de riz : personnalisez en fonction de ce que vous voulez en faire)
  1. Versez l’eau et l’okara dans une casserole à l’aide d’une cuiller en bois. Faire cuire 20 à 30 min à feu moyen en mélangeant de temps en temps. 
  2. Ajouter la fécule de pomme de terre en fin de cuisson, puis fouettez le mélange et laisser bouillir quelques minutes.
  3. Mixer ensuite le tout de façon à avoir une crème homogène, vous pouvez ajouter vos options à cette étape. Pour régler la texture, mettre plus ou moins d’eau ou plus ou moins de fécule.

Recette Bonus !

Vous n’êtes pas obligé de faire du lait pour réaliser la crème d’avoine et pouvez la réaliser directement :

  1. mixez d’abord les flocons d’avoine seuls 
  2. Faites bouillir 160 à 320 g d’eau (selon la texture désirée), couper le feu aux premiers bouillons
  3. Ajoutez dans l’eau les flocons mixés, 3-4 cuillers d’huile (olive, colza, etc.) une pincée de sel et de sucre. 
  4. Bien mélanger (avec fouet si possible) puis laissez reposer plusieurs heures pour que la crème épaississe.

Voilà, si ces recettes vous ont plu vous pouvez les retrouver ci-dessous, leurs auteures faisant d’autres recettes qui pourraient vous plaire.