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Quimper, La mobilité douce et l’effet positif sur la ville ?

Le groupe local « Quimper » de l’association APPROCHE-Ecohabitat vous propose un café-débat,
coorganisé avec Kernavélo et le CAUE du Finistère.

Entrée gratuite, ouverte à tous.

Pendant près d’un siècle, nos villes, centres-bourgs et villages ont été retravaillés en profondeur afin de mieux y faire entrer l’automobile. Aujourd’hui, face à l’urgence climatique notamment, les solutions de mobilité sont appréhendées plus globalement dans une logique de chaîne et les modes de déplacement dits « doux » sont encouragés au bénéfice d’un cadre de vie apaisé et plus agréable. Le chemin est long cependant et les démarches complexes avant que nos lieux de vie ne soient complètement repensés au prisme du vélo ou du piéton.

Ce café-débat sera l’occasion de nous interroger sur les effets positifs de ce changement de paradigme. Que deviennent les espaces gagnés sur l’automobile ? Quels incidences sur la forme urbaine ? Comment organiser l’intensité des services et des activités sur des périmètres nécessairement plus courts ? Comment encourager la pratique du vélo et de la marche ? Y-a-t-il des leviers d’action ? D’une manière générale vit-on vraiment mieux dans une ville sans voiture ?
Rendez-vous le 5 février prochain à l’Effet Papillon à Quimper




Plougasnou, Ni déplorer ni subir l’effrondrement. Conférence, Floréal Roméro

Comment agir pour une écologie sociale par le communalisme ?

Floréal Romero cultive des avocats en Andalousie et travaille avec des Amaps en France. Chercheur et promoteur de l´écologie sociale il est l’auteur avec Vincent Gerber de : « Murray Bookchin : Pour une Ecologie Sociale et Radicale » aux éditions du Passager Clandestin, Collection : Précurseurs de la décroissance. Son prochain livre « Ni déplorer ni subir l’effondrement » sortira ce printemps.

Gratuit, ouvert à tous, sous la yourte de Trézenvy à Plougasnou.

« Murray Bookchin, décédé en 2006, est le fondateur de l’écologie sociale, il propose une nouvelle vision politique et philosophique du rapport entre l’être humain et son environnement, ainsi qu’une nouvelle organisation sociale par la mise en œuvre du municipalisme ou communalisme libertaire.
Après la présentation de ce qu’est l’écologie sociale , en faisant un parallèle avec le zapatisme au Mexique et le confédéralisme démocratique au Rojava (Kurdistan syrien), Floréal Romero présentera des alternatives à travers les mouvements sociaux et leurs luttes ainsi que des propositions politiques allant dans le sens de la pensée communaliste de Bookchin. »
Comment créer un mouvement communaliste en Europe? La question sera débattue lors des troisièmes rencontres Internationales de l´écologie sociale à Liège cet automne. Dans le cadre de cette démarche, les nombreuses rencontres proposées nourriront cette réflexion et peut être encourageront la création de groupes de réflexion ! « 




Plonéis (29), Vivre la nature à l’école

Stage « Vivre la nature à l’école »

Animé par Roland Gérard
(Co-fondateur du Réseau Ecole et Nature et du collectif français pour l’éducation à l’environnement vers un développement durable,
conférencier expert en transition écologique)

L’association Autour du Feu propose à tous les enseignants, éducateurs, animateurs… auprès d’enfants et adolescents,
un stage de deux jours, afin d’apprendre à intégrer la nature dans ses pratiques pédagogiques dans et hors l’école
et ainsi de répondre au constat de déficit de nature chez nos enfants.

Au programme :

Lundi 8 avril

Petit déjeuner
10h : Accueil : Brise glace, présentation du stage, visite commentée du site de la forest school
11h : Sortie contact nature et pique-nique
15h : Petits groupes pistes de recherche
Restitution des petits groupes
Point général sur la pédagogie de projet
15h45 Pause
16h15 : Atelier d’échanges
Land art
18h : Entretien avec un acteur de la transition écologique dans l’éducation (à confirmer)
19h 30 Dîner sur le feu de camp
21h-22h : Sortie nocturne/ poésie
Nuit sous tente

Mardi 9 avril

8h : Réveil du corps
Petit déjeuner
9h30 : Balade nature jeux sensoriels
Atelier d’échanges
12h : Déjeuner sur le feu de camp
14h : Coins nature (humus, faune du lac, ornitho, entomo… sortie naturaliste)
Présentation de la Pédagogie Par la nature et des forest schools (Julie Ricard)
16h : Pause
Discussion/débat freins et leviers de l’Education à l’environnement et au développement durable
Evaluation
17h : FIN

Ce stage se déroulera les 8 et 9 avril 2019 à :

Autour du Feu
Lieu-dit Lanhoulou
29710 Plonéis

HÉBERGEMENT ET REPAS :

– Amenez votre toile de tente ou votre hamac… ou campez sous les étoiles. A disposition, de l’eau potable, une douche-arrosoir, des toilettes sèches.
– Passer deux jours et une nuit dehors permet de développer sa connexion à la nature et fait partie intégrale de la formation. 🙂
– Il est possible d’arriver le dimanche soir pour s’installer et profiter du lieu (dîner participatif autour du feu)
– Les repas (bio et végétariens) du lundi soir et mardi midi seront cuisinés sur le feu de camp, de manière collective. Ils font eux-aussi partie intégrale du stage.
– Merci de prévoir votre pique-nique du lundi midi.

AUTRES INFORMATIONS :

– Cette formation se déroule entièrement en extérieur, merci de prévoir l’équipement adéquat à la saison et la météo.
– C’est une formation destinée aux adultes, et afin qu’elle se déroule dans les conditions optimales pour chacun, nous n’acceptons pas les animaux sur le site de formation. Merci.

Les frais pédagogiques et d’hébergement sont de 150€ (acompte de 50€ à verser à l’inscription)

Vous trouverez tous les détails d’inscription au stage, via le formulaire :

https://framaforms.org/inscription-au-stage-vivre-la-nature-a-lecole-8-9-avril-2019-1548674267

N’hésitez pas à contacter Autour du Feu pour toute information : 07.82.01.10.70




Nantes (44), La cartographie de la Flore – outil au service des politiques publiques de biodiversité

Colloque international en hommage à Pierre Dupont organisé par Conservatoire botanique national de Brest et Bretagne Vivante – SEPNB.

Le Conservatoire botanique national de Brest, Bretagne Vivante – SEPNB et leurs partenaires organisent le colloque international « La cartographie de la flore, un outil au service des politiques publiques de la biodiversité. » en hommage au professeur Pierre Dupont.

Ce colloque souhaite mettre en avant les relations entre les travaux scientifiques actuels sur la biodiversité végétale, dont la cartographie floristique, et les politiques publiques de préservation de la nature.

En savoir + :
http://www.cbnbrest.fr/tous-les-evenements/81




Vannes (56), L’état de la biodiversité

Une conférence organisée par la Réserve Naturelle des Marais de Séné, Bretagne Vivante-SEPNB et la Faculté Sciences & Sciences de l’Ingénieur – Université Bretagne Sud, donnée par Jean-Patrick le Duc, Délégué aux relations internationales au Muséum National d’Histoire Naturelle, Paris (75).

La biodiversité est menacée à l’échelle planétaire mais aussi aux niveau européen et breton. Le rythme de disparition des espèces s’accélère du fait d’une espèce Homo sapiens.

Deux études viennent de monter qu’en France, en 30 ans, 75% des insectes ont disparu et en 15 ans les populations d’oiseaux ont diminué d’un tiers. Les causes sont parfaitement identifiées : disparition et banalisation des milieux naturels, surexploitation, pollutions, introduction d’espèces exotiques envahissantes auxquelles viennent s’ajouter maintenant les changements climatiques.

Certes des actions positives sont entreprises et certaines sont couronnées de succès. Mais, l’accélération de la destruction de la biodiversité est plus forte que celle des mesures de conservation. L’ignorance, l’inconscience, l’égoïsme, la soif de profits immédiats sans souci du futur freinent la mise en œuvre réelle des stratégies nationales et régionales.

Pourtant, le maintien et la restauration d’une faune et d’une flore et des systèmes naturels qu’ils forment sont un élément clé de la survie de l’espèce humaine, et des générations futures. Pour notre alimentation, notre santé, nos habitations, la qualité de l’eau et de l’air, la pollinisation, les activités artisanales, le tourisme, la limitation de dégâts aux personnes et aux biens dépendent avant tout d’une biodiversité en bon état.

Alors que fin 2019, la communauté internationale va se pencher sur l’état d’avancement des 20 objectifs pour la biodiversité en 2020 (« Les objectifs d’Aichi »), où en est-on ?

INFOS PRATIQUES
Entrée libre et gratuite
Sans réservation

CONTACT
Téléphone : 02.97.66.92.76
Email : reserve-naturelle@sene.bzh




Vannes, A quoi servent les expéditions naturalistes ?

Une conférence organisée par la Réserve Naturelle des Marais de Séné, Bretagne Vivante-SEPNB et la Faculté Sciences & Sciences de l’Ingénieur – Université Bretagne Sud, donnée par Christophe Thébaud, Professeur au Laboratoire Évolution & Diversité Biologique
Université Paul Sabatier, Toulouse (31)

Les expéditions naturalistes dans des contrées lointaines pour l’étude de la biodiversité sauvage ne datent pas d’hier. Après une longue période de disgrâce, elles déclenchent aujourd’hui un engouement médiatique et suscitent l’intérêt du public, notamment celles qui se déroulent dans les zones les plus riches et les plus menacées de la planète.

Nous tenterons de comprendre ensemble quels sont les enjeux et objectifs de ces expéditions, de mieux saisir les idées et valeurs qu’elles véhiculent, et de voir en quoi elles contribuent (ou pas) à une meilleure compréhension et à un plus grand respect du monde qui nous entoure.

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