1

Cinq soirées autour du film Food Coop dans le Kreiz Breizh

Le mois de l’Economie Sociale et Solidaire se déroule durant tout novembre. A cette occasion, le film « Food Coop », documentaire retraçant l’histoire et le fonctionnement de la Park Slope Food Coop, un supermarché coopératif qui a vu le jour en 1973 aux Etats-Unis, sera projeté dans cinq communes du Centre Ouest Bretagne, avec le Pôle ESS en préfiguration sur le territoire.

17000. C’est le nombre de membres de la Park Slope Food Coop, qui en sont aussi les propriétaires et les travailleurs. Fondée en 1973, le supermarché coopératif, qui se situe dans le quartier de Brooklyn à New-York, a le vent en poupe. Son modèle économique est simple, mais à contre-courant du modèle de la grande distribution actuel. Chaque membre de la coopérative travaille 2h45 par mois, et bénéficie en échange de produits alimentaires de bonne qualité (dont du bio), à des prix bas. Dans cette coopérative, pas de PDG, pas d’actionnaires, mais une myriade de bénévoles et 80 employés, pour un chiffre d’affaire de 51 861 762 dollars de chiffre d’affaires. Et une économie moyenne de 250 dollars par ménage en allant y faire ses courses, comparé aux supermarchés traditionnels.

Dans le film, on découvre ainsi durant une heure et demie les coulisses de la Park Slope Food Coop : comment travaillent les bénévoles, quelles tâches ils accomplissent, comment ils le vivent, pourquoi ils viennent y faire leurs courses…un modèle qui fait a fait désormais des petits en France, car il y a aujourd’hui des supermarchés coopératifs de ce type qui ont ouvert sur le territoire, comme par exemple Scopeli à Nantes depuis mars 2016, D’autres ouvriront prochainement comme La Louve à Paris (dont l’un des fondateurs est Tom Boothe, réalisateur de FoodCoop!), SuperCoop à Bordeaux, La Chouette Coop à Toulouse, SuperQuinquin à Lille…D’autres enfin sont encore au stade de projet, comme par exemple à Rennes avec l’association Breizhipotes.
Food Coop est ainsi présenté, à l’occasion du Mois de l’Economie Sociale et Solidaire, et dans le cadre de la préfiguration du pôle ESS du Pays Centre Ouest Bretagne, dans 5 communes de ce territoire: Carhaix, Guéméné, Gourin, Guiscriff et Rostrenen, lors de cinq soirées « ciné-débat-dégustation ». A Rostrenen, un échange aura lieu après le film avec l’épicerie coopérative (Scic) Folavoine, de Mellionnec.

Plus d’infos

https://www.ess-bretagne.org/




Un tour du Finistère « Zéro déchets »

D’Octobre à décembre, le Finistère Tour Zéro Déchets fait étape dans 10 communautés de communes finistériennes. Objectif : sensibiliser le grand public à la démarche zéro déchets. Un événement organisée par l’association Zéro Waste Cornouaille et le Symeed 29 (Syndicat Mixte d’Etude pour l’Elimination des Déchets dans le Finistère).

Tendre vers le « zéro déchets », voilà l’objectif du groupe local Zéro Waste Cornouaille. Une déclinaison sud finistérienne de l’association Zéro Waste France, qui, elle, a été créée il y a 20 ans et qui milite pour une réduction et une gestion plus durable des déchets. « Nous étions plusieurs à être intéressés pour entrer dans une démarche zéro déchets, et nous avons trouvé logique de former un groupe local. Nous avons monté l’association il y a un peu moins d’un an », explique Clément, l’un des membres de Zéro Waste Cornouaille. Un groupe qui a une jeune existence mais qui est très actif. En témoigne l’organisation du « Finistère Tour Zéro Déchets », qui se déroule sur tout le département jusqu’à début décembre. Un tour du Finistère qui consiste en une série de 10 conférences traitant de la démarche Zéro Déchets, organisées par Zéro Waste Cornouaille et le Symeed 29 (Syndicat Mixte d’Etude pour l’Elimination des Déchets dans le Finistère). « Dès le démarrage du groupe, nous avons été contacté par le Symeed 29, qui regroupe toutes les communautés de communes du Finistère, pour travailler autour du zéro déchets dans le département. Les chargés de missions déchets avaient fait remonter qu’il y avait un travail à mener autour de cette thématique », précise Clément. C’est ainsi que le Finistère Tour Zéro Déchets naît, accueilli par 10 communautés de communes finistériennes, et financé par le Symeed. « L’idée, avec ce cycle de conférences, qui sont gratuites et ouvertes à tous, c’est d’expliquer tout le cycle de vie du déchet, de sa création à sa destruction. On démarre par des aspects théoriques, et on termine par des cas concrets. On veut montrer qu’il faut y aller petit à petit, pas à pas, et que ce n’est pas si compliqué que ça », détaille Clément. Qui constate qu’il y a mouvement de fond qui monte autour du zéro déchets. « Des épiceries en vrac ouvrent, des défis « familles zéro déchets » sont lancés, comme par exemple du côté de Morlaix. Les communautés de communes commencent à comprendre que le recyclage ne fait pas tout ». L’association Zéro Waste Cornouaille sera ainsi en conférence demain soir mardi 31 octobre à Pont-Labbé, le mardi 14 novembre à Quimperlé, le 20 novembre à Concarneau, le 1er décembre à Plouvien, le 5 décembre à Brest et 13 décembre à Audierne. Le groupe mènera aussi différentes actions à l’occasion de la Semaine Européenne des Déchets (Seurd), qui se déroulera fin novembre. Zéro Waste Cornouaille recherche d’ailleurs de nouveaux adhérents et bénévoles désireux de s’investir dans la sensibilisation au zéro déchets. L’appel est lancé !

La page du groupe Facebook Zéro Waste Cornouaille

Le site du Symeed 29




Tri et recyclage des mégots de cigarettes : Plougonvelin se lance

Que faire de tous les mégots qui s’accumulent par terre ? Un vrai casse-tête…La société MéGO !, basée à Bourg-Blanc, est la première en France à trier, recycler et valoriser ces déchets. La commune de Plougonvelin, près de Brest, vient d’adhérer au programme. Le lancement officiel aura lieu le 2 novembre.

Cet été, nous vous avions parlé de MeGo, une société de Bourg-Blanc, dans le Finistère. Elle collecte et recycle des mégots de cigarettes. Nous vous avions expliqué le processus de valorisation : la récolte des mégots, l’acheminement jusqu’à Bourg-Blanc pour le triage, le broyage pour éliminer la cendre, le papier et le tabac, la séparation entre les déchets dangereux et la matière plastique. qui, elle, sert au final à la fabrication d’objets du quotidien : porte-crayons, porte-plats etc…

Un programme unique en France, et qui intéresse des entreprises et des TPE. Mais aussi des collectivités locales. Après la ville de Castres, dans le Tarn, c’est au tour de la commune de Plougonvelin, non loin de Brest, de se lancer dans la démarche. La commune a d’ores et déjà implantés ses premiers cendriers, fabriqués localement par l’entreprise Serrurerie Brestoise de Brest., dans plusieurs endroits stratégiques : plage du Trez Hir, Espace Culturel Keraudy, ou encore devant le cinéma. L’entreprise MéGO ! Assurera la collecte, leur dépollution en circuit fermé et leur transformation en matière. Ils seront ainsi recyclés pour devenir des pots à crayons ou encore des palettes de manutention. L’occasion pour la commune littorale de limiter la pollution engendré par la cigarette, car outre les méfaits pour la santé, il faut savoir qu’un mégot met 15 ans à se dégrader dans le nature, et qu’on ne connaît pas encore tous les effets engendrés par les 4000 composants contenus dans une cigarette, qui se libèrent généralement dans les réseaux d’assainissement, lorsqu’on jette son mégot par terre ! De quoi faire réfléchir les communes littorales bretonnes…




Eteignez vos lumières samedi 14 octobre, Le jour de la nuit propose de redécouvrir les étoiles

Il est encore temps de participer au Jour de la nuit qui se déroulera dans la nuit du samedi 14 octobre au dimanche 15. Le Jour de la Nuit est une opération de sensibilisation à la pollution lumineuse, à la protection de la biodiversité nocturne et du ciel étoilé. Deux manière de participer : rejoindre une des animations proposées sur le territoire, comme des balades nocturnes mêlant observation de la nature et explications scientifiques, ou s’inscrire à une extinction.

Eteindre les lumières le temps d’une nuit pour prendre conscience de l’impact de la pollution lumineuse. Samedi soir ce sont 350 villes et villages, dont 17 bretonnes, qui vont intégralement ou partiellement couper leur éclairage publique. S’ajoute à cette initiative les extinctions individuelles, pour lesquelles chacun est libre de s’inscrire sur le site internet de l’opération. A ce jour 651 individuels sont inscrits, c’est peu, et même si ces actions restent des actions en premier lieu symboliques, il est important de les souligner en y prenant part.

Pour vous inscrire et manifester votre soutien à des actions contre la pollution lumineuse, voir la cartographie des actions ou vous renseigner sur cette manifestion qui existe depuis 2014, rendez vous sur le site du jour de la nuit.

Ou le facebook  

Qui ? Que ? Quand ? Quoi en Bretagne ?

(29)

Landivisiau > association Alnitak > observation des étoiles à l’oeil nu et avec instruments – 20h/23h. contact : 0666375566

Morlaix > ULAMIR CPIE > une balade à la recherche des animaux nocturnes -20h/23h > RDV sur le parking de l’espace aquatique de Plourin Les Morlaix. contact : 02 98 67 51 54

Saint Renan > PEGASE > observation astronomique et conférence-20h30/23h.Observatoire du College de Kerzouar. contact : 0298843636

Quimper > association d’astronomie de Cornouaille LOARGANN> observation des étoiles à l’oeil nu et avec instruments – 20h/23h30.

(56)

Saint Nolff > commune de Saint Nolff > observation astronomique – 20h30/23h30. contact : 0297454759

Lorient > observation, conférences, ateliers et autres > à la base au K3 toute la journée et la soirée.

Plouay > par la mairie > sortie nature, découverte des chauves souris -20h/22h.contact : 0297333151

Kernascléden > par le musée de la chauve souris >sortie nature avec un spécialiste et exposition – 20h30/23h. contact : 0967381859

(22)

Pleumeur Bodour > par le planétarium de Bretagne >Observation astronomique – 20h30/00h. Rdv devant l’entrée. contact : 0296158030

Paimpol > par l’abbaye de beauport > animations cinéma et autres – 17h/22h. contact : 0296551855

Le Méaugon > par astronomie en baie d’armor >observation astronomique de 21h/1h.contact : 0296944361

(35)

Bruz > par cassiopée astronomie Bruz Chavagne > obervation astronomique, débats et conférences – 20h30/23h30. contact : 0675195106

La Couyère > par la Société d’Astronomie de Rennes > observation astronomique et débat conférence – 20h30/1h. contact : sarinfo@astro-rennes.com

Concoret > par le CPIE Forêt de Brocéliande > sortie nature et observation astronomique 20h/23h30. contact : 0297227462

Le reste des actions est à découvrir sur la cartographie en ligne.




Participons à la vie de nos bibliothèques !

13% de la population française emprunte en bibliothèque, 13% seulement et 40% des non usagers sont d’anciens inscrits. « Pourtant les études nous révèlent de plus en plus de fréquentation » nuance Benoît Vallauri, responsable du Laboratoire régional d’innovation publique en Bretagne. Les bibliothèques ne sont plus seulement des « grandes librairies » mais s’associent aujourd’hui à des formes d’animations culturelles et de formation. Le chercheur, ancien bibliothécaire, était présent à l’occasion de la journée réservée aux bibliothèques de Bretagne le 5 octobre 2017, sur le thème de « Création, participation : vers des espaces de création et de participation en Bretagne »(1) qui tentait de creuser les moyens de reconquête du lieu par les publics.

Grainothèque, Murderparty, imprimantes 3D, espace de jeux vidéo & jeux de société, utilisation des bibliobox…. Les bibliothèques revêtent aujourd’hui de nouveaux usages. On ne vient plus uniquement pour se gargariser d’une lecture. L’arrivée du numérique a joué un rôle prépondérant dans le renouveau de ces espaces, ce qui a permis d’ouvrir les portes à de nouveaux publics. Les dispositifs participatifs ne sont pas en reste. Les bibliothèques continuent leur rôle de transmetteur de savoir ou de facilitateur vers la culture et l’information tout en diversifiant leurs outils.

Développer l’implication du public pour des lieux partagés

« La participation c’est accepter de déléguer son pouvoir » poursuit Benoît Vallauri. De nombreux dispositifs ont mis à l’épreuve l’implication des lecteurs dans la dynamique d’une bibliothèque. L’action Montez le son ! à la BM municipale de Lyon rassemble des passionnés de musique pendant 2h pour critiquer et faire évoluer les collections ; en laissant certaines étagères vides, des bibliothèques proposent aux lecteurs de faire leurs propres sélections et de les mettre en valeur ; la bibliothèque Louise Michel (2), exemple d’une bibliothèque participative, est extrêmement collaborative, ce qui transparait dans les rapports qu’il peut y avoir avec les gens, elle a notamment élaborée une « tutotek », les gens y réalisent leurs tutos dans un processus créatif et un processus de transmission…. Les propositions sont nombreuses.

Cependant certain(e)s bibliothécaires émettent des réserves . La première d’entre elle revient à discuter du cœur même du métier, « quel est il aujourd’hui ? », « Les bibliothécaires tendent ils à devenir des animateurs sociaux ? » « Comment répondre à la polyvalence demandée ? » Celle qui vient juste après est l’inquiétude « du tout bénévolat ». Tandis qu’on leur demande d’impliquer toujours plus le lecteur dans le fonctionnement de leur bibliothèque, les bibliothécaires voient les contrats qui ne se renouvellent pas, constatent l’apparition d’une machinisation et des budgets qui diminuent (3). Le participatif tend il à menacer des emplois ? Selon le chercheur, le participatif tend à donner un cadre moins pyramidal à l’accès au lieu et aux démarches mais ne menace en aucun cas les emploi.

Bibliothécaire, un métier en mutation OU la reconversion professionnelle dernier cri

Aujourd’hui il faut aussi apporter ses « softs skills » avec soi, les petits plus personnels qui deviennent des atouts professionnels. Infirmière, ancien militaire, menuisier, chercheur, informaticien sont des exemples d’anciens métiers de certains bibliothécaires breton.

Julien est un bibliothécaire d’une vingtaine d’année, c’est après un service civique, lors duquel il animait des temps de jeu en bibliothèque pour une association de jeux en bois, qu’il décida de se lancer vers le métier de bibliothécaire. « Ce n’est plus du tout le même métier qu’avant. On cherche à monter beaucoup de temps d’animations, on a une salle modulable à cet effet. Mes points forts ce sont mes connaissances des jeux de société (4) et la capacité de création avec un public enfant. Comment créer un jeu avec l’enfant en utilisant différents biais : les bouquins pop-up, raconter une histoire qui est diffusée par vidéo projecteur, créer des histoires et les faire vivre. Toute idée est bonne à prendre tant qu’elle permet à l’enfant d’accrocher ».

Passionné. Plein d’idées. Prêt à s’adapter. Pourrait être le profil type d’un bibliothécaire d’aujourd’hui.

Comment inscrire durablement la démarche participative ?

« La démarche participative c’est bien mais encore faut-il réussir à la faire prendre et à la faire durer » réagit une bibliothécaire aux propositions du chercheur, ce à quoi il répond « il faut que le public s’en empare ». Effectivement, si des propositions participatives trouvent écho,  certaines d’entre elles ne sont pas transposables à toutes les bibliothèques. Les bibliothèque urbaines ont par exemple davantage de difficulté à dynamiser leurs grainothèques, certaines ont même abandonné l’idée. « Il n’y a pas de recettes miracles, je vous donne juste des clés » rassure Benoit Vallauri. Il semble que le public ait tout autant à apporter aux espaces de connaissance et de transmission que sont les bibliothèques.  Il en est même l’impulseur. Le Responsable des Publics Bibliothèque de Rennes Métropole – Champs Libres, Eric Pichard, présent pour l’occasion, mentionnait notamment la création de séance d’aides au devoir sur demande de jeunes adolescentes. Un exemple plutôt « classique » mais qui révèle la disposition des bibliothèques à s’adapter aux besoins de leurs utilisateurs.

Vous avez un projet qui vous taraude, qui apporterait à d’autres, n’hésitez pas à en parler à votre bibliothèque pour le transformer en projet commun et durable !

1.L’espace du Roudour, à Saint-Martin-des-Champs, accueillait jeudi 5 octobre dernier la journée « Innovation, création & participation des bibliothèques de Bretagne ». Cette journée faisait suite à une journée similaire qui avait eu lieue en 2015 à Rennes.

2. Tutoteke de la médiathèque Louise Michel, XXème arrondissement

3.Inquiétudes http://www.enssib.fr/bibliotheque-numerique/documents/50768-la-profession-de-bibliothecaire-est-elle-menacee-de-disparaitre.pdf

 4. le retour des jeux de société : http://grand-angle.lefigaro.fr/reportage-bars-jeux-de-societe




Une semaine pour découvrir « Brest en Communs »

Tous les deux ans, Brest se met à l’heure des Communs ! Du 13 au 21 octobre se déroule l’édition 2017 de « Brest en Communs ». L’occasion pour les citoyens de découvrir de nombreuses initiatives portées collectivement par des habitants et associations brestoises. Au programme : ateliers, conférence, projections…

29 initiatives dans divers lieux brestois, du 13 au 21 octobre. C’est le programme de « Brest en Communs », un festival coordonné par le service Internet et Expression Multimédia de la ville de Brest, qui a lieu tous les deux ans, et qui met en avant toutes les initiatives en cours sur le territoire brestois. On entend par « communs » des « ressources gérées collectivement par une communauté qui établit des règles et une gouvernance dans le but de les préserver et de les pérenniser ». Parmi les différents « communs », on peut citer les Amaps, les jardins partagés, les logiciels libres, les grainothèques, les boîtes à dons, des outils internet comme Wikipedia ou Open Street Map…Le festival brestois a pour objectif de « montrer la richesse des initiatives portées par les brestoises et brestois autour des communs, à populariser cette notion et à nourrir ensemble la réflexion qui l’entoure », selon la Ville de Brest, qui propose la manifestation.

Au programme donc, des ateliers, des conférences, des projections, des temps d’échange….Ainsi, des rencontres, avec l’association Vivre la Rue, seront organisées durant toute la tenue de l’événement dans la Rue de Saint-Malo, dont le patrimoine citoyen est considéré comme un « commun ». Les 13, 18, 19 et 20 octobre, des ateliers « vélo participatif » seront organisés avec l’association Brest à Pieds ou à Vélo (Bapav). Une « Balade à Recouvrance » à la découverte des communs est programmée le samedi 14 octobre, de même qu’une autre promenade avec les Incroyables Comestibles. Philippe Desbrosses, agriculteur, scientifique et écrivain français, l’un des pionniers de l’agriculture bio en Europe, viendra donner une conférence sur les semences et la biodiversité aux Capucins le lundi 16 octobre. Le samedi 21 octobre aura lieu une journée d’échanges organisée par la Ville de Brest, afin « d’approfondir la question des communs mais aussi et surtout à rassembler les acteurs(trices) des communs brestois et à engager une réflexion autour du thème « De Brest en communs vers un mouvement des communs sur Brest ? ». Sans oublier les ciné-discuts, projection de documentaire, Install Party, ateliers pour découvrir le code, et bien d’autres rendez-vous encore !

Tout le programme est disponible sur http://wiki.a-brest.net/index.php/Brest_en_communs_2017