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[Défi familles zéro déchet] Un atelier pour devenir un pro du compost !

Ce samedi après-midi, rendez-vous chez Sylviane, à Ploujean, qui a ouvert les portes de son jardin à l’occasion d’un atelier « compost ». Pamela, animatrice nature au sein de l’association Bretagne Vivante, est présente pour échanger avec les participants autour des pratiques de compostage de chacun. Si la plupart des familles qui sont venues compostent déjà chez elles, les conseils d’une spécialiste n’en demeurent pas moins importants pour améliorer sa pratique.

« La première chose à faire », explique Pamela en guise de préambule, « c’est de savoir pourquoi est ce qu’on fait du compost chez soi ? ». Est ce que c’est pour diminuer le volume de déchets et par conséquent le poids de ses poubelles ? Amender son sol, enrichir son potager ? Produire de la terre pour des semis, si on veut mettre en route un jardin ? « En fonction des objectifs que l’on a, on va pouvoir faire différents types de compost, qui vont y répondre, y compris le lombricompost ».

Ainsi, si on a pour objectif de produire du terreau pour enrichir le jardin, on peut utiliser un composteur. Sinon, « on peut tout à fait déposer les déchets de cuisine directement sur le sol du jardin, par exemple autour des plantes ou des légumes, et on pourra rajouter un paillage par dessus », suggère Pamela.

Où mettre son composteur dans le jardin ?

Qu’il soit fabriqué avec des palettes, ou en bois avec un couvercle, voir en plastique, il faut choisir l’endroit de façon judicieuse. « L’idéal, c’est qu’il soit accessible facilement de la cuisine, visible de là et pas trop loin, sinon on aura tendance au fil du temps à s’en désintéresser », explique l’animatrice. Autre critère important : l’ombre. En effet, si il est au soleil, le compost aura tendance à dessécher. A privilégier aussi, un coin avec de la pelouse, afin de « permettre aux micro-organismes du sol d’être en contact direct ».

Que mettre dans son composteur ? En quelle quantité ?

Pas toujours facile de savoir quoi y mettre. Si les adeptes connaissent les grandes règles, il peut rester encore quelques subtilités. Par exemple les agrumes : oui, on peut en mettre. Tout comme les déchets de viande (en petite quantité). Plus le compost aura des apports diversifiés, plus il va être riche. Tout est en fait une question d’équilibre. « Les déchets de cuisine sont très humides, ils vont se décomposer rapidement. Il faut alors équilibrer avec des matières sèches riches en carbone (branches, feuilles mortes, paille, papier…). Je suggère de mettre pour une portion de matières humides, qui contient de l’azote, deux portions de matières sèches qui vont contenir de l’azote », conseille ainsi Pamela. Le secret ? Une bonne observation de ce qui se passe dans le composteur !

Le test de l’humidité

Un petit test pour savoir si le compostage se fait bien : le test de la poignée. Il s’agit de « prendre une poignée de compost et de la serrer : si ça coule, c’est qu’il est beaucoup trop humide, et donc il faut rajouter de la matière carbonée. Si rien ne sort, il est trop sec, et là il faut ré-équilibrer les proportions azote/carbone. La bonne humidité, c’est quand on sent l’humidité mais que ça ne coule pas », affirme Pamela.

L’oxygénation

A ne pas oublier, bien aérer son compost. Il faut qu’à toutes les étapes du compostage il y ait de l’oxygénation, afin de favoriser le développement de certaines bactéries. On peut utiliser pour cela une fourche, ou un « brass’compost », sorte de gros ressort en métal qu’on plonge dans le compost et qui permet de le remuer facilement. On évite ainsi l’asphyxie du compost, et sa putréfaction. « On réactive ainsi la vie du sol qu’on est en train de fabriquer ! », affirme Pamela, qui, quand à elle, retourne son compost chaque fois qu’elle y dépose quelque chose.

Combien de temps ça prend ?

La phase de maturation du compost dure entre six mois et un an. On obtient ainsi un terreau frais, dans lequel on ne retrouve pas d’éléments spécifiques (on n’y trouve pas les peaux de bananes qu’on y a jeté l’été dernier par exemple…)

Qu’est ce qu’on peut en faire, de ce compost ?

Le compost peut être utilisé en tant qu’engrais naturel, il améliore la structure du sol. On peut l’utiliser au potager, mais aussi pour les plantes d’intérieur, pour le rempotage, à rajouter avec la terre. On peut aussi l’utiliser pour semer une pelouse. A noter qu’avec le purin d’ortie, ou la consoude, l’effet est « boosté » ! De quoi avoir de supers légumes au potager !

 

 

L’association Bretagne Vivante-SEPNB

Bretagne Vivante-SEPNB a été crée en 1958. Elle agit sur toute la Bretagne historique afin de favoriser la protection de la nature, en menant par exemple des actions d’éducation à l’environnement, en gérant des espaces protégés, en réalisant des études et des expertises naturalistes. C’est une association phare en Bretagne dans le domaine environnemental, avec pas moins de 3600 adhérents, 300 bénévoles actifs, une cinquantaine de salariés, et 19 antennes locales.




Jouons solidaires avec Ti Jouets !

Ti Jouets est un dispositif de l’association Don Bosco, qui vise à donner une seconde vie aux jouets et jeux, collectés auprès de particuliers, d’entreprises, et d’association, via un tri et une remise en état par des travailleurs en chantier d’insertion. Une initiative brestoise qui mêle solidarité, économie, action sociale et environnementale.

Savez-vous que la moyenne d’utilisation d’un jouet s’élève à 8 mois ? C’est dire si le marché du jouet est colossal, et le volume de déchets engendrés assez gigantesque. Pourtant, le marché du jouets d’occasion n’est pas encore très développé. Mais ça pourrait bien changer en Bretagne avec Ti Jouets. A l’origine du projet, deux brestois, Marjorie et Martin. De par leurs expériences associatives aussi bien professionnelles que bénévoles, ils ont vite été sensibles à la montagne de jeux et jouets qui étaient déposés en déchetterie ou recyclerie. Tous deux réfléchissent alors un projet, « qui réunirait à la fois une activité économique liée à l’insertion, et un volet écologique lié à la valorisation de jeux et de jouets », explique Marjorie. Début 2017, ils entament l’écriture de celui-ci, et effectuent un Tour de France des structures de réemploi de jeux et de jouets portées par des structures d’insertion. En décembre 2017, ils se rapprochent alors de Don Bosco, une association bien connue dans le Finistère, qui œuvre dans les domaines de l’action sociale, de la protection de l’enfance, de l’insertion, de la formation et de la justice, dans le cadre d’une étude de faisabilité du projet avec le soutien du Fonds de Confiance de Bretagne Active. Et depuis septembre de cette année, Ti Jouets est devenu un dispositif de Don Bosco.

L’activité de Ti Jouets va « de la collecte à la vente ». Depuis septembre, des campagne de dons sont ainsi organisées, jusqu’à décembre. C’est ainsi le cas dans les magasins Nature et Découverte basés en Bretagne, où des bacs sont à disposition des clients qui veulent apporter les jeux et jouets. Des collectes vont être également organisées chez Arkea et ses filiales, vers les familles et les enfants de Enjeux d’Enfance, ainsi qu’au Centre Social de Landerneau. Une fois les jeux et jouets récupérés, ils seront triés et valorisés par des salariés en insertion, qui vont démarrer l’activité dès janvier 2019 dans un local dédié à la Roche-Maurice. « Nous accueillerons les publics les plus éloignés de l’emploi, en ciblant plus particulièrement les femmes, notamment les mères de familles », précise Marjorie. Les jouets seront ainsi triés, nettoyés en profondeur avec des produits écologiques, réassemblés et ensuite vendus à petits prix dans une boutique accessible à tous qui jouxtera l’atelier. Ce qui ne pourra pas être redistribué « partira en recyclerie, ou auprès de collectif d’artistes qui utilisent du plastique par exemple », détaille Marjorie. Qui précise également : « On est ici dans une démarche de recomposition, de revalorisation des jouets. On ne fait pas de réparation pour des questions de normes européennes à respecter. On pourra par exemple changer les habits d’une poupée, la recoiffer, la remettre en état mais pas lui recoller un bras ». Dans le futur, l’équipe de Ti Jouets envisage de s’attaquer à un nouveau défi : proposer de l’occasion dans le cadre des marchés publics pour l’achat de jeux et de jouets ! « Et pourquoi pas des jeux d’occasion en grande distribution également ? » espère Marjorie. L’avenir le dira…en attendant, une campagne de crowdfunding va être lancée mi-octobre sur la plateforme Kengo, afin de financer le matériel nécessaire au projet.

Plus d’infos

La page Facebook de Ti Jouets

 

 

Les prochaines collectes de Ti Jouets :

  • Du 17 septembre au 20 novembre dans les magasins Nature et Découvertes de Vannes, Quimper, Brest et Rennes
  • Les mercredis 17 et 31 octobre, 14 et 28 novembre, 12 décembre, dans la galerie Le Phare de l’Europe-Géant Casino à Brest
  • Du 6 au 20 novembre chez Credit Mutuel Arkea (Fortuneo, Suravenir, Financo)
  • Du 17 au 25 novembre au centre social de Landerneau
  • Du 26 novembre au 7 novembre dans les crèches et réseaux d’assistantes maternelles « Enjeux d’enfance »
  • Les 1er et 2 décembre sur l’événement « Déclic Climat » à Brest



L’idée sortie. « Les ateliers d’Ecommana » à Commana ce dimanche

Dimanche, l’association « Commana dit non à la centrale » et ses amis organisent le désormais traditionnel rassemblement Ecommana, à Commana. Mais cette année, changement de formule : place à une grande journée dédiée à l’échange de savoirs, avec au programme de nombreux ateliers.

« Partageons nos énergies ! », c’est le mot d’ordre de la journée « Les ateliers d’Ecommana » organisée ce dimanche sur la commune de Commana dans les Monts d’Arrée. Pour cette quatrième édition, les organisateurs, l’association « Commana dit non à la centrale » et ses partenaires, ont voulu faire évoluer la formule. Après trois années où l’accent était mis sur le rassemblement des initiatives locales en matière de transition énergétique, place cette année à l’échange de savoirs.

Au programme, de nombreux ateliers pour petits et grands, consacrés à différentes thématiques. On pourra ainsi découvrir la géobiologie, apprendre à fabriquer soi-même ses produits ménagers (lessive, dentifrice, poudre pour lave-vaisselle et nettoyant surface), concocter sa propre bière, participer à un atelier sur l’eau, fabriquer des meubles en palettes, réaliser un pastel sec, se familiariser avec les bases de la couture, et pour les initiés, apprendre à coudre des sacs, découvrir la peinture végétale, le land-art pour les plus jeunes, relooker des meubles, participer à un atelier contes avec le kamshibai (mini-théâtre utilisé au Japon), ou encore apprendre les gestes de premiers secours. On pourra également découvrir les lieux insolites autour de Commana lors d’une balade.

La participation aux ateliers est payante. Les bénéfices seront reversés à la lutte contre la centrale à gaz de Landivisiau. Il est nécessaire de s’inscrire pour chaque atelier. Pour télécharger la fiche d’inscription (qu’il faut ensuite renvoyer par mail), rendez-vous sur le site http://www.nonalacentrale-landivisiau.fr/les-ateliers-decommana-dimanche-30-septembre-2018/




[Défi familles zéro déchet] Atelier vaisselle chez Au Fil Du Queffleuth et de la Penzé

Nouvel atelier pour les familles du Défi ce mercredi après-midi, au sein des locaux de l’association Au Fil du Queffleuth et de la Penzé à Pleyber-Christ. Au programme : fabrication de tawashi et de « cake vaisselle » !

 

Hier après-midi, les familles avaient rendez-vous avec Emilie, animatrice au sein de l’association Au Fil du Queffleuth et de la Penzé. Objectif de cette session : fabriquer un tawashi grâce à du tissu de recup’, et concocter un « cake vaisselle », alternative économique et écologique au liquide vaisselle.

 

1. La fabrication du tawashi

Cette éponge « zéro déchets » et « Do It Yourself » est originaire du Japon. Très simple à fabriquer, elle permet d’utiliser du tissu de récupération : des manches de pull, des vieilles chaussettes orphelines, ou encore des jambes de leggings. Les avantages de son utilisation sont donc nombreux : c’est plus économique, on réutilise ces vieux vêtements, on peut le faire soi-même, et on allège sa poubelle, car elle a en plus une durée de vie plus importante que les éponges du commerce !

 

Mode d’emploi de fabrication du tawashi, par Au Fil du Queffleuth et de la Penzé :

 

Il vous faut :

  • une planche de bois (au minimum de 15 x15 cm)
  • Vingt clous de 4-5 cm et un marteau
  • Du tissu (manches, chaussettes, jambes leggings…)
  • Une règle
  • Un crayon à papier
  • Une paire de ciseaux à tissu
  • On commence par tracer un carré de 14cm de côté

 

 

  • On marque ensuite des points à 3, 5, 7, 9 et 11 cm de chaque côté du carré.
  • On plante ensuite des clous sur tous les points marqués
  • On découpe ensuite dans le tissu qu’on a des bandes afin d’obtenir 10 bracelets bien élastique de tissu, de 3 cm environ de largeur
  • Ensuite, on enfile une rangée de 5 bracelets sur le métier à tisser
  • On tisse avec les 5 bracelets restants (dessous-dessus)

 

  • On rabat ensuite les mailles : il faut pour cela prendre la dernière maille d’un coin du carré, la passer dans la maille de gauche, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’une maille qui servira d’accroche.

 

Et voilà !

 

i on veut réaliser un tawashi plus grand, c’est possible. Mais attention, il faut du tissu de longueur adéquate !

 

 

2. La fabrication du cake vaisselle

Pour accompagner le tawashi, Emilie a également appris au groupe à réaliser facilement un « cake vaisselle », un produit vaisselle solide qui dure plus longtemps.

 

Les ingrédients :

  • 250g de SCS (Sodium Coco Sulfate)

    Ce tensioactif, dérivé chimique de l’huile de coco, a un pouvoir détergent (lavant et moussant). Attention, il est irritant. Il faut porter des gants, des lunettes, et un masque de protection lorsqu’on l’utilise pour une préparation. Si on est en intérieur, mieux vaut aérer la pièce.

  • 30g d’eau
  • 20g de cristaux de soude
  • 40 gouttes d’huile essentielle
  • Une balance de cuisine

 

Préparation

-Au bain-marie, faire fondre le SCS avec l’eau. Mélanger en écrasant avec un pilon ou une cuillère en bois.

 

  • Ajouter les cristaux de soude, et mélanger à nouveau
  • Ensuite, rajouter les huiles essentielles (40 gouttes). Ici, on en a utilisé deux : menthe et citron.

 

  • On retire du feu quand le mélange a bien pris, et on peut transvaser dans des petits pots en verre avant de laisser reposer et refroidir.

 

Variante de la recette :

Avec cette fois 11g de SCI (un autre tensioactif, dérivé là aussi de l’huile de coco, Le Sodim Cocoyl Isetionate), 20 ml de vinaigre blanc, 1 cuillère à soupe de cristaux de soude, et 20 gouttes d’huiles essentielles.

 

 

L’association Au Fil du Queffleuth et de La Penzé

L’association, basée à Pleyber-Christ, existe depuis 1992. Elle propose des animations tous publics à la découverte du patrimoine naturel et culturel du Pays de Morlaix (balades nature et patrimoine, chantiers de bénévoles, ateliers créatifs). Elle s’occupe également de travaux d’entretien et de gestion des sentiers de randonnées, de réhabilitation de zones humides. Elle travaille aussi sur la conception de supports de découverte du patrimoine : expositions, publications, inventaires…Et propose des animations et interventions sur des thèmes liés au développement durable (déchets, jardinage au naturel, énergies renouvelables…).

 

 




Avec l’association Eau et Rivières de Bretagne, faites de votre jardin un refuge amphibien !

L’association Eau et Rivières de Bretagne lance une opération visant à créer des refuges amphibiens un peu partout en Bretagne pour sauver les espèces menacées. 

D’après l’Union internationale pour la conservation de la nature, environ 41 % des espèces d’amphibiens sont menacées d’extinction dans le monde. Pour enrayer leur déclin, l’association Eau et Rivières de Bretagne lance une opération un peu spéciale : si vous avez une mare, un lavoir, une fontaine, une petite zone humide (même sans grenouilles), vous pouvez faire de votre jardin un refuge amphibien. 

Il suffit, pour être labellisé, d’adhérer à la charte ci-dessous : 

  1. Respecter la réglementation dans le domaine de l’eau et des zones humides : ne dévier aucun cours d’eau pour alimenter mon point d’eau et ne déplacer aucune espèce.
  2. Proscrire les pesticides.
  3. Ne pas introduire de plantes invasives.
  4. Permettre l’accessibilité aux animaux, au besoin en aménageant des accès.
  5. Aménager des berges en pentes douces (au minimum la moitié).
  6. Installer un tas de pierres ou de bois aux alentours du point d’eau.
  7. Ne pas introduire de poissons dans le bassin, ceci étant incompatible avec le développement des amphibiens.
  8. Respecter le calendrier fournir dans votre kit de bienvenue.
  9. Laisser plus de 50 % de la végétation aquatique chaque année.
  10. Laisser des végétaux quelques jours sur la berge après chaque opération d’entretien.

Pour vous aider dans la protection et l’observation des amphibiens, l’association fournit une plaque signalétique pour le refuge, un autocollant, un petit guide pour connaître les amphibiens, une fiche pour rapporter les espèces présentes et un calendrier d’entretien de la mare. Chaque trimestre, elle envoie également une fiche conseils, une fiche découverte des espèce et une fiche d’activité pour les enfants. 

Si vous souhaitez faire de votre jardin un refuge amphibien, rendez vous ICI. 




En finistère et Morbihan, participez à l’opération « Manger bio et local, c’est l’idéal ! 

Manger bio, c’est bien, mais c’est encore mieux si les produits proviennent de son territoire et n’ont pas à parcourir des centaines voire des milliers de kilomètre pour arriver dans l’assiette ! C’est là tout l’esprit de la campagne « Manger bio et local c’est l’idéal » qui se déroule du 22 au 30 septembre. Organisée par le Réseau FNAB (Fédération Nationale d’Agriculture Biologique), elle se décline cette année en Bretagne dans le Morbihan et dans le Finistère. Son objectif est de sensibiliser le public à la consommation de produits bio et locaux, par le biais d’événements organisés directement dans les fermes ou dans les lieux de ventes en circuits courts (magasins de producteurs…).

C’est ainsi que dans le Morbihan, 13 évènements sont organisés. On pourra donc découvrir un grand marché bio à Saint-Avé mardi 25, avec animation, musique, manège à pédale pour les enfants, producteurs.. ; rendre visite aux différents magasins de producteurs de la région (Ciboulette et Compagnie à Sulniac, le Local Bio à Séné, Court-Circuit à Sarzeau, ou encore Aux Champs à Elven). Samedi 29, un marché festif aura lieu à la ferme « Au jardin des possibles » à Remungol-Evelys. Ce même week-end aura lieu à Muzillac la traditionnelle Foire Bio, avec pour thème cette année le zéro déchets et le recyclage. A noter aussi toute la semaine, des animations à la Bioccop Callune de Pontivy.

Dans le Finistère, ce sont 14 évènements qui sont au programme. A noter une conférence-débat à Brest au restaurant bio Le Jardin Partagé, à 18h30, autour du thème « Glyphosate, pesticides, perturbateurs endocriniens : leurs dangers et comment les éviter », avec Jean-Marie Lefort, médecin urgentiste retraité du CHU de Brest. On pourra également participer à des dégustations sur les marchés bio de Brest, Quimper, ou encore Tregunc, et participer dimanche prochain à une opération « ferme ouverte » à Trefflez. Pour encore plus de dates et d’informations, direction le site www.agrobio-bretagne.org