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Festival des Solidarités : une quinzaine d’événements sur le pays de Morlaix du 16 novembre au 2 décembre

Du 16 novembre au 2 décembre, la sixième édition du Festival des Solidarités aura lieu sur le pays de Morlaix. Pour cela, une quinzaine d’animations seront proposées autour de cinq thématiques.

Chaque année en France, des milliers de personnes organisent des événements conviviaux et engagés dans le cadre du Festival des Solidarités. Sur le pays de Morlaix, c’est le collectif La Maison du Monde qui l’organise.

Ce collectif est animé par le RESAM. Cette année, La Maison du Monde a rassemblé le Point Information Jeunesse, la MJC de Morlaix, le centre social Carré d’As, Amnesty International, l’Association des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture, l’Association France Palestine Solidarité, la Ligue des droits de l’Homme, le Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement, la mission locale, l’Association Projets, échanges et développement, Morlaix Communauté, l’association Pays de Morlaix Solidarité Migrants, l’association Solidarité Pays de Pelcia, l’association Les utopistes en action, l’Auberge de Jeunesse de Morlaix, l’association Esperanto Solidareco, La Salamandre, l’ULAMIR-CPIE, l’association les Temps-bouille, l’association Les chiffonniers de la joie, l’association Le L.I.E.U, Le Télégramme.

« Penser global, agir local. »

Pendant deux semaines, de nombreuses animations seront organisées autour de cinq thématiques, que sont la paix et les droits de l’Homme, la solidarité et le développement durable, les migrations, la jeunesse et la solidarité, et la citoyenneté et l’engagement numérique. Après une soirée d’ouverture le 15 novembre à l’auberge de jeunesse, une projection de la web-série Sideways aura lieu le mardi 20 novembre, suivi d’une rencontre avec Hélène de Sideways et la webtélé de Plougasnou. Le jeudi 29 novembre, un quizz, un « apero-dinatoire recup festif » et un atelier DIY est organisé, en compagnie du Professeur Feuillage (journaliste et blogueur écolo)… Le programme complet du festival est à retrouver ICI.

Le but du Festival des Solidarités est de mettre en avant des projets de structures locales et d’ « inclure le public » autour d’une animation ou d’une réflexion. « L’objectif aussi, c’est de créer du lien entre plusieurs associations », lancent les organisateurs.

 

 




Pesticide, lobby et malbouffe au programme de la 8e édition de « Libre en littérature »

La fédération des café-librairies de Bretagne organise la 8ème édition de « Libre en littérature ». À Berrien, ce week-end, le café-librairie l’Autre Rive propose de réfléchir et de débattre sur l’état de notre planète.

Malbouffe, pesticides, lobby, écologie, le programme de « Manifeste pour la planète » s’annonce chargé. Dans le cadre de l’édition « Libre en littérature », deux temps forts auront lieu au sein des Monts d’Arrée.

Le samedi 10 novembre, à la salle Asphodèle de Berrien, venez à la rencontre d’Hervé Kempf, journaliste, auteur de nombreux essais et fondateur du web média Reporterre. Fabrice Nicolino sera également de la partie : récemment, ce journaliste et essayiste (auteur de Lettre à une petiote sur l’abominable histoire de la bouffe industrielle), a co-écrit le manifeste Nous voulons des coquelicots.

« Ecocide »

Le dimanche 11 novembre, le documentaire « Le Roundup face à ses juges », de Marie-Monique Robin, sera projeté au cinéma Arthus de Huelgoat. Ce documentaire a pour objectif d’entendre les témoignages des victimes et des experts, afin de prouver la dangerosité du roundup pour l’écosystème et pour notre santé. Ensuite, au café-librairie l’Autre Rive, une rencontre avec la réalisatrice est organisée.

Le programme de cette 8ème édition de « Libre en littérature » est à retrouver ICI.

Information & réservation :

L’Autre Rive, Restidiou vraz, 29690 Berrien
02 98 99 72 58
lautre-rive@hotmail.fr
http://autrerive.hautetfort.co




[Défi familles zéro déchet] Faire son déodorant maison avec des ingrédients naturels, efficaces et peu coûteux

Vendredi 2 novembre, les familles du défi zéro déchet ont bénéficié d’un atelier concernant la fabrication de son propre déodorant. Une bonne occasion d’éviter les marques vendues dans les grandes surfaces, souvent critiquées et jetables.

Souvent décriés, les déodorants industriels sont soupçonnés d’être des perturbateurs endocriniens, d’être allergisants, et même cancérigènes. Bien que les marques essaient de supprimer les nombreux composants polémiques (comme les sels d’aluminiums et les parabens), rien de mieux que de faire son déodorant soi-même, avec peu d’ingrédients.

C’est ce que Muriel Charlier-Kerbiguet, phytothérapeute-aromathérapeute, a démontré vendredi 2 novembre, à la Biocoop de Saint-Martin-des-Champs. Les familles du défi zéro déchet ont pu constater qu’il était simple de faire son propre déodorant naturel, efficace et peu coûteux.

Recette du déodorant gel (pour 25 ml environ)

  • Bicarbonate de soude, pour son action antibactérienne
  • Gel d’Aloé Vera, pour son effet adoucissant
  • Huile essentielle de sauge sclarée (anti-transpirant) ou de palmarosa (antibactérien et anti-transpirant)
  • Huile végétale d’amande douce (facultatif)

Diluer 3 ml (soit une demi-cuillère à café) de bicarbonate de soude dans 20 ml (soit quatre cuillères à café) d’aloe vera. Ajouter 5 gouttes d’huile essentielle de sauge sclarée ou de palmarosa pour réguler la transpiration. Mélanger jusqu’à dissolution complète du bicarbonate. Cette dernière étape est très importante puisque la peau risque de s’irriter s’il reste des grains de bicarbonate.

On peut aussi ajouter 1,5 ml (soit un quart d’une cuillère à café) d’huile végétale d’amande douce si la peau est irritée, après un rasage ou une épilation, par exemple.

Ensuite, il suffit de mettre le mélange dans un ancien roll-on (ils se démontent entièrement), ou de le laisser dans un petit pot et de l’appliquer sous les aisselles à l’aide des doigts. Le mélange se conserve au frais environ un mois.

Recette du déodorant en spray (pour 100 ml environ)

Dans un flacon en verre ou en plastique de 100 ml à embout spray, verser successivement à l’aide d’un entonnoir :

  • 6 cuillères à soupe d’hydrolat d’hamamelis ou de sauge sclarée ou de géranium rosat… Ou tout simplement d’eau minérale
  • 2 cuillères à soupe de vodka
  • 1 cuillère à soupe de glycérine végétale
  • 15 gouttes d’HE de sauge sclarée ou de citron ou de géranium rosat (vous pouvez répartir les 15 gouttes entre plusieurs HE)

Refermer le flacon et bien agiter la préparation. Utiliser comme déodorant spray en secouant bien avant chaque vaporisation. Le mélange se conserve environ 1 mois.

Recette de la poudre parfumée déodorante (pour 50 g de poudre)

Dans un bol en céramique, en plastique ou en verre, mélanger avec une fourchette en plastique ou en bois :

  • 3 cuillères à soupe d’argile blanche ultraventilée (donc très fine)
  • 1 cuillère à café de bicarbonate de soude alimentaire
  • 10 gouttes d’HE de pamplemousse
  • 10 gouttes d’HE de lemongrass (citronnelles)

Mélanger jusqu’à dispersion totale des HE dans la poudre avec un petit fouet de cuisine. Une fois le mélange homogène et bien sec, sans grumeaux, on peut le verser dans une grande salière de table à l’aide d’un entonnoir.

À utiliser comme un talc, en appliquant du bout des doigts ou à la houppette, sur les aisselles propres et sèches. On peut aussi l’utiliser sur les pieds qui transpirent ou dans les chaussures. La poudre se conserve plusieurs mois à température ambiante et à l’abri de l’humidité.

Variante : on peut utiliser d’autres HE comme le lavandin super, le laurier noble, le géranium, la sauge sclarée, le citron, l’orange ou la mandarine.

Et encore plus simple, juste un ingrédient pour un effet déodorant :

L’argile blanche : appliquer un peu d’argile blanche avec la paume de la main, comme un talc, sur les aisselles propres et sèches.

La pierre d’alun naturelle : à utiliser sur les aisselles humides. Il faut bien s’assurer que c’est une pierre d’alun potassium (ou sulfate double d’aluminium et de potassium), c’est-à-dire un sel minéral naturel aux propriétés astringentes et anti-transpirantes. Mais c’est un remède très critiqué : ses détracteurs disent qu’il est potentiellement aussi dangereux que les déodorants à base de sels d’aluminium… D’autres disent qu’il est sans danger, car les molécules déposées à l’application manuelles sont trop grosses pour pouvoir réellement pénétrer la peau.

L’hydrolat d’hamamélis : elle est très astringente et resserre efficacement les pores de la peau. Elle peut faire office de déodorant pour les personnes qui transpirent peu.




Monnaie locale : le Buzuk fête ses deux ans et voit l’avenir en numérique !

Bon anniversaire le Buzuk ! Lancé en octobre 2016, la monnaie locale complémentaire citoyenne du Pays de Morlaix fête cette année ses deux ans. L’occasion de faire un point, et de parler des projets à venir, notamment du lancement de la monnaie numérique !

734 adhérents, 140 prestataires, 125 000 euros échangés…voilà quelques chiffres qui symbolisent la place qu’a su prendre le Buzuk, monnaie locale complémentaire et citoyenne, sur le territoire du Pays de Morlaix. En deux ans, le nombre de commerçants acceptant cette monnaie complémentaire à l’euro a été doublé. Le fruit d’un travail incessant de sensibilisation et de mobilisation, réalisé par la dizaine de bénévoles de l’association, appuyés de volontaires en service civique. Tous ont à cœur d’expliquer, notamment en étant présent sur le marché de Morlaix le samedi et lors de « café Buzuk » mensuels au Ty Coz, les objectifs et le fonctionnement de la monnaie : en adhérant, on devient utilisateur et on peut donc aller convertir des euros en Buzuks (1 euro = 1 buzuk) dans les différents comptoirs d’échanges disséminés sur le territoire. Buzuks en poche, on peut alors les dépenser chez les commerçants (les « prestataires ») qui acceptent les paiements en Buzuk. En adoptant cette monnaie locale complémentaire, on contribue ainsi à soutenir le commerce de proximité, la production locale, les circuits courts, on fait en sorte que l’argent reste dans l’économie locale et n’aille pas alimenter l’évasion fiscale ni la spéculation boursière.

Au bout de deux ans de fonctionnement, les projets fourmillent. L’un des grands défis pour l’association est le passage à la monnaie numérique, à l’horizon 2019-2020. « L’idée, avec le passage au numérique, est de faciliter la circulation du Buzuk, notamment chez les prestataires, qui pourront ainsi payer leurs fournisseurs en monnaie locale plus facilement », explique Chantal Jaouen-Quiviger, l’une des dix membres de la collégiale de l’association. Objectif également, favoriser l’utilisation du Buzuk chez les jeunes, plus enclins à utiliser cette solution. « Nous sommes actuellement en discussion concernant l’outil qui sera utilisé. Nous travaillons beaucoup avec le mouvement Sol, auquel appartient l’Eusko, la monnaie basque, ainsi qu’avec les autres monnaies locales bretonnes », poursuit Chantal. En effet, d’autres monnaies bretonnes, comme le Galais à Ploërmel, l’Héol à Brest, ou la Maillette à Dinan, travaillent également sur le sujet. Certaines ont déjà signé une charte commune, qui permettrait alors aux utilisateurs de chaque monnaie de pouvoir utiliser la monnaie locale des autres territoires. En étant utilisateur du Buzuk, on devrait alors pouvoir payer ses achats en Maillette si on se trouve sur le territoire de Dinan par exemple, le tout en numérique.

Autre perspective pour l’équipe des Buzukiens, outre l’embauche d’un salarié à temps partiel : tenter d’impliquer davantage les collectivités locales dans le projet. « On pourrait imaginer que certaines acceptent le Buzuk pour le paiement de la cantine, de la piscine, des bibliothèques, ou encore des transports » énumère Chantal. Là encore, un travail de sensibilisation est à mener auprès des élus. En attendant, on pourra retrouver le Buzuk durant tous le mois de l’ESS, sur Facebook : deux fois par semaine, des prestataires seront mis en lumière, suivant différentes thématiques : « passer un moment convivial en famille ou entre amis (bar, restaurants) », « découvrir l’artisanat local ou s’improviser bricoleur du dimanche », « se détendre et se faire bichonner (lecture, coiffure, massage…) », et « prendre soin de sa maison et de son jardin ». Un café Buzuk de clôture aura également le lieu le mercredi 28 novembre, dans un lieu qui reste à déterminer. Une occasion pour peut-être rejoindre l’équipe du Buzuk, qui recherche des bénévoles !

Pour plus d’infos

www.buzuk.bzh




L’idée sortie : visiter une exploitation biologique de safran à Pouldreuzic

Ce samedi 3 novembre, la ferme d’Esprit Safran et compagnie ouvre ses portes aux visiteurs pour présenter le métier de safranier biologique !

Depuis 2011, la ferme de Pouldreuzic, en Pays Bigouden, plante et produit du Safran, de l’Aloe Vera, de l’Aloe Arborescens ainsi que des plants de Curcuma. Les plants et les produits dérivés sont ensuite vendu directement à la ferme, sur les marchés ou via leur boutique en ligne.

Ce samedi 3 novembre, la ferme ouvre ses portes aux curieux pour présenter le métier de safranier bio. Les visiteurs pourront également assister à la cueillette de la fleur de crocus sativus, ainsi qu’à l’étape d’émondage (extraction du pistil) et, pourquoi pas, y participer.

Une dégustation de produits safranés est également prévue. Les visites sont gratuites et sans réservation, la seule condition est d’être présent dès le début de la visite commentée, c’est-à-dire 10 h.

Une tenue d’extérieur est à prévoir, et des bottes sont vivement recommandés en cas de temps humide !




[Défi familles zéro déchet] Un atelier pour faire soi-même sa tisane

Lundi 22 octobre, les familles du défi zéro déchet avaient rendez-vous à l’herboristerie rue du Mur, à Morlaix, pour apprendre à préparer une tisane digne de ce nom. Au programme : présentation des divers modes de préparation, démonstration et dégustation.

L’atelier tisane avait lieu à l’herboristerie au 47 rue du Mur, à Morlaix. Ouverte depuis début août, Valérie Gosselin propose, à Airmeth, des plantes médicinales et aromatiques en vrac. Quelques sachets et macérât hydrauliques sont également en vente. Mais Airmeth est aussi un bar à tisane, à thé, à café, et quelques animations sur le thème de la santé et de l’alimentation saine y sont dispensées. 

Tout est biologique et de qualité. « Je sais d’où viennent mes plantes », glisse Valérie Gosselin. « La plupart viennent du Finistère. Sinon, elles viennent toutes de France, sauf les épices ou certaines racines ». 

Les infusions, pour les feuilles et les fleurs tendres

Valérie commence tout naturellement son atelier en présentant les différentes façons de faire infuser ses plantes. Tout d’abord, la plus connue, mais la moins efficace : la boule à thé. Il est préférable d’utiliser une autre technique, car dans la boule à thé, les plantes sont serrées et les principes actifs ne vont pas réellement pouvoir se libérer. Attention à ne pas dépasser les 10 minutes d’infusion car pour certaines fleurs, comme la camomille romaine, l’amertume se fera plus sentir, et l’effet recherché ne sera pas au rendez-vous (énervement au lieu d’apaisement). 

La deuxième manière d’infuser est de mettre ses plantes dans une théière, une tasse à filtre ou un petit sachet de filtres (biologiques, et donc compostables). Cette technique est surtout très pratique pour les épices et les rooibos. Si on se sert d’une bouilloire pour faire chauffer son eau, il est préférable d’attendre 5 à 10 minutes avant de la verser sur les plantes, car la température de l’eau ne doit pas dépasser les 80°. 

Enfin, la dernière méthode, la plus puriste, demande certes un peu de temps, mais est la plus efficace. Il faut mettre les feuilles directement dans la casserole, dans de l’eau froide (pas directement sortie du robinet, de préférence, car elle est trop chlorée). Pour les personnes ayant du temps, attendre une demi-heure avant de mettre à chauffer, afin que les plantes se gorgent d’eau. Faire chauffer à feu très doux jusqu’à frémissement, éteindre le feu puis couvrir et laisser infuser 10 minutes. 

Les décoctions, pour les feuilles plus épaisses et les racines (olivier, bardane, gentiane, aunée…)

Le principe est quasiment le même que pour les décoctions. On met les feuilles épaisses et les racines dans une casserole d’eau froide. Pour les personnes ayant du temps, attendre une demi-heure avant de mettre à chauffer. 

Faire monter en température à feu doux jusqu’aux premiers petits bouillons. Maintenir environ 10 minutes. Éteindre, couvrir et laisser infuser 10 minutes. On va pouvoir ajouter au moment de l’infusion des plantes à combiner avec des plantes à décoction : par exemple, la pensée sauvage et la bardane pour les problèmes de peau, le thym et l’aunée pour des débuts de rhume… 

La macération à froid

Elle s’utilise pour les plantes dont on veut extraire certains principes actifs, comme les mucilages de la guimauve qui vont adoucir, apaiser et régénérer. Il suffit de placer les plantes dans de l’eau froide plusieurs heures, voir la nuit. Filtrer, puis boire. Ici, on ne fait pas chauffer, car on ferait précipiter les amidons. On peut éventuellement faire chauffer le gel filtré très peu de temps pour le côté chaud.

En ce qui concerne les quantités de plantes à infuser : si c’est à visée thérapeutique, une pincée de chaque plante pour des mélanges suffit ou une cuillère à café à une cuillère à soupe s’il est déjà fait, ou environ 30 grammes d’une plante ou d’un mélange pour un litre. Pour une tisane « plaisir », ce sera en fonction de vos goûts ! 

À la fin, les participants ont pu déguster la tisane préparée pour l’atelier, à base de mélisse et d’ortie, et sont même repartis avec un sachet de plantes et/ou de racines, gracieusement offert par Valérie Gosselin ! 

Plantes digestives

Ballonnements, gaz, éructations : angélique, badiane, fenouil, anis, aneth, laurier noble, gentiane (à consommer 30 minutes à une heure avant les repas pour cette dernière).
Spasmes, inflammations, douleurs : camomille romaine et matricaire, réglisse (déconseillée au hypertenseurs), mauve, guimauve.
Constipation : mauve, guimauve, psyllium, lin.
Diarrhées : guimauve, ronce, myrtille, rose, alchémille. 

Plantes stimulantes, anti-fatigue

Romarin, cynorrhodons, hibiscus, agrumes, mélisse

Plantes zen attitude (qui vont également faciliter la digestion)

Lavande, mélisse, tilleul, verveine, camomille romaine

Plantes favorisant le sommeil

Camomille romaine, mélisse, tilleul, coquelicot, lavande et aubépine.

Plantes renforçant le système immunitaire, début de rhume, état grippal et mal de gorge

Thym, origan, sarriette, sureau, sauge, aunée, ronce, bouillon blanc, eucalyptus, bourgeons de pin. 

Plantes detox 

Romarin, cassis, ortie, reine des prés (déconseillée aux personnes sensibles aux dérivés salicylés, comme l’aspirine, ou sous-anticoagulants), sureau, frêne.

Plantes anti-inflammatoires (migraines, ostéo-articulaire)

Reine des prés (déconseillée aux personnes sensibles aux dérivés salicylés, comme l’aspirine, ou sous-anticoagulants), cassis, menthe poivrée, camomille romaine.

Plantes au féminin 

Douleurs menstruelles : alchémille, achillée, sauge, camomille matricaire, calendula (ou souci).
Dysfonctionnement des règles : alchémille, achillée, sauge.
Troubles de la ménopause : sauge, mélisse, houblon, vigne rouge, achillée, alchémille.