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L’Union Régionale des SCOP de l’ouest


FER : J-F Oulhen, URSCOP Ouest par BD_info

Rediffusion estivale, l’entretien a été réalisé en octobre 2013 pendant le Forum de l’Économie Responsable, F.E.R.

Suite de nos vidéos consacrées aux SCOP, nous avons rencontré Jean-François Oulhen qui est le délégué régional du Finistère de l’Union Régionale des SCOP (URSCOP). Il présente les enjeux et les réussites de ce type d’organisation, ainsi que le plan de développement élaboré par l’URSCOP qui détermine les objectifs à suivre pour le futur. C’est aussi l’occasion de revenir sur l’évolution, la diversité et les limites de ces sociétés en Bretagne. 

Plus d’info

http://www.les-scop-ouest.coop/sites/fr/unions-regionales/les-scop-ouest/




Partenaires mondiaux pour le Boudu !

Les artistes présents à la 15ième édition du Festival du Bout du Monde viennent de loin, de très loin pour certains :  Nigeria, Danemark, Québec, Liban, l’Île de la Réunion, Jamaïque pour ne citer qu’eux. Pour faire venir autant de nationalités sur une seule édition, le festival mise sur de nombreux partenariats à travers le monde. Mais au-delà de la musique, le « Boudu », membre du Collectif des festivals engagés pour le développement durable et solidaire de Bretagne, travaille en collaboration avec une trentaine d’autres festivals bretons afin de mutualiser les compétences et le matériel. Marie Clavier, responsable auprès du festival, nous explique la démarche et l’importance de ces partenariats. 

Plus d’info

http://www.festivalduboutdumonde.com/partenaires

http://www.lecollectifdesfestivals.org/collectif/

 




Un alternatiba à Rennes en 2015

 

 

 

 

 

Plus d’info

Appel de Christiane Hessel : http://blogs.mediapart.fr/blog/alternatiba/280913/lappel-de-mme-hessel

Site Alternatiba à Rennes : http://alternatiba.eu/rennes/




La mobilisation des intermittents aux Vieilles Charrues 2014

« Reconnus pour avoir une qualité d’accueil, technique et humain grâce à des personnes professionnelles »

Sur les Vieilles Charrues, 300 intermittents sont directement employés par l’association et 200 autres le sont par les prestataires travaillant sur le festival. « Nous sommes connus et reconnus pour avoir une qualité d’accueil, technique et humain grâce à des personnes professionnelles qui travaillent avec nous depuis des années », insiste Jérôme Tréhorel, directeur général du festival.

Aux Vieilles Charrues, les organisateurs, qui soutiennent les revendications des intermittents, leur ont donné la parole. Le festival leur offre une caisse de résonance pour exprimer leur mécontentement. Ainsi, les spectateurs ont pu voir des spots et croiser les intermittents portant le tee-shirt noir floqué d’une croix blanche, symbole du non-agrément à l’accord, pour interpeller le grand public.

Au-delà de cela, « nous voulions recentrer le débat qui était systématiquement porté sur la peur de l’annulation et des mouvements de grèves, on se trompe de sujet », explique Jérôme Tréhorel. « On a fait un communiqué de presse dans lequel on s’est positionné clairement, et nous avons donné une tribune aux collectifs pour expliquer pourquoi cet accord est mauvais. » finit-il.

Le régime intermittent, c’est quoi ?

Créé en 1936, le régime intermittent permettait de répondre aux particularités des nouveaux métiers du cinéma. En effet, dans un contexte de plein emploi, le régime général n’était pas adapté. Depuis 1969, le régime intermittent regroupe les métiers du cinéma, de la musique, de l’audiovisuel et du spectacle vivant. Il permet de protéger les plus précaires en prenant en compte de leurs spécificités : temps de travail discontinu, multiples employeurs et taux de salaires variables. Une organisation discontinue du travail qui est au cœur de ces métiers, sans cela, il n’y a pas de spectacles!

Aujourd’hui, une personne peut prétendre au régime intermittent qui ouvre aux droits d’indemnisation de 243 jours, si elle répond aux critères suivants 

  • il faut avoir attesté de 507 heures de travail en 319 jours (soit 10 mois et demi) pour les artistes (Annexe 10 de l’Assurance chômage)
  • il faut avoir attesté de 507 heures de travail en 304 jours (soit 10 mois) pour les ouvriers et techniciens (Annexe 8 de l’Assurance chômage)

« 507 heures, mais ça correspond à 3 mois de travail ! »

« Il faut travailler au moins 507 heures sur 10 ou 10,5 mois, les gens font le calcul et ils se disent : 507 heures, ça correspond à 3 mois de travail, » commente Max, technicien sur la scène Grall.

« Mais il faut regarder le fait qu’en semaine, il y a moins de spectacles, et en hiver, il y a beaucoup moins de travail ». À cela s’ajoute la pression de trouver suffisamment de contrats d’une année sur l’autre pour totaliser le temps de travail nécessaire, « nous sommes obligés d’avoir de multiples compétences si l’on veut atteindre les 507 heures » ajoute-t-il. De plus, le temps de travail effectif est loin d’être celui déclaré. « Sur les 10 heures que l’on peut faire, le temps d’organisation n’est pas déclaré. Ainsi, les temps de préparation du matériel et de son rangement peuvent amener à travailler jusqu’à 30 heures mais seules 10 seront comptées. ».

« L’accord a été fait sans les principaux représentants des intermittents et nous nous révoltons contre ça. »

Les intermittents ne sont pas contre une réforme du régime mais l’accord du 22 mars puis du 15 juin, exclut toutes les propositions faites par le comité de suivi, composé de professionnels et de parlementaires. Ce dernier avait été créé à la suite des mouvements de 2003. « On demande à participer à la réflexion », nous explique Lionel, représentant de la coordination nationale des intermittents et précaires, « cet accord, nous ne pouvons même pas l’appeler un accord, nous n’avons pas été écouté. » insiste-t-il.

Enfin, « la réforme de l’assurance-chômage, ne touche pas que les intermittents, elle a un impact pour tout le monde : les CDD, les intérimaires… Nous nous battons pour tous les précaires », conclu-t-il. 

 

Plus d’info

http://www.cip-idf.org

http://www.art29.net




Des donneurs d’éco-orgasmes aux Vieilles Charrues!

« Donneur d’éco-orgasme », le message peint sur le dos de Pierre, bénévole, donne le ton ! D’ailleurs ça marche, un jeune homme un peu éméché vient vers nous pour en savoir plus. C’est alors l’occasion pour Pierre de lui soumettre le guide des « 7 commandements ». Sous son air un brin provocateur, c’est l’occasion de sensibiliser sur les substances cancérigènes et allergènes, qui entourent la sexualité et plus largement la séduction. 

 

 

 
Plus d’info

http://www.generationscobayes.org/les-7-commandements-de-l-éco-orgasme




Les Vieilles Charrues n’oublient pas les otages

Pour écouter l’interview, cliquez sur le carré rouge avec la flèche blanche, situé en haut , à côté du titre de l’article !

 

Plus d’info

-du-monde.com/base/-Actualites-sur-les-otages-au-.html

http://www.vieillescharrues.asso.fr/2014/

 

A retrouver aussi jusque lundi, nos autre articles consacrés au festival, avec notamment une interview de Jérôme Tréhorel, directeur du festival, et Quentin Sibéril, chargé de mission développement durable.