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Appel citoyen pour un pacte d’avenir écologique et solidaire




Appel citoyen pour un pacte d’avenir écologique et solidaire




Appel citoyen pour un pacte d’avenir écologique et solidaire




« Produire du porc demain en Bretagne…. »

Beaucoup d’inquiétudes pour l’avenir : la production porcine est accusée d’avoir pollué les eaux et il s’ensuit des coûts supplémentaires pour gérer les déjections animales – le lisier de porcs – et lutter contre la pollution des eaux. Il y a des aménagements à faire pour le respect du bien être animal. Il faut supporter un coût de l’aliment qui a grimpé avec la flambée des céréales. La concurrence internationale tire les prix de vente vers le bas. La Bretagne est dépendante des importations de soja pour nourrir son bétail. Le coût de la main d’oeuvre serait trop élevé par rapport à l’Allemagne….

Dans ce contexte, comment un éleveur de porc peut –il sereinement envisager son avenir ? Nous avons la conviction que la prospérité économique des éleveurs ne se construira pas sur des productions de masse à faible valeur ajoutée, lesquelles seront de plus en plus soumises à la concurrence. Il vaut mieux faire de choix de répondre à la demande locale, bretonne et française : celle des consommateurs qui plébisciteront de plus en plus les produits de proximité, bons pour leur santé, et des modes de production respectueux des animaux et des ressources naturelles.

Il est primordial que les éleveurs de porcs qui s’engagent sur de bonnes pratiques, avec souvent des tailles d’élevage plus modestes, tirent un revenu décent de leur métier. C’est ainsi que pourront se développer de nouveaux modes de production pour demain, bons pour la santé, bons pour l’environnement et bons pour l’économie locale.


Une conférence-discussion sur le thème "Produire du porc demain en Bretagne" aura lieu demain mardi 10 décembre à 20h à Lannilis (29), salle Lapoutroie, animée par Jean-Claude Pierre, porte-parole du réseau Cohérence.

 

 




« Produire du porc demain en Bretagne…. »

Beaucoup d’inquiétudes pour l’avenir : la production porcine est accusée d’avoir pollué les eaux et il s’ensuit des coûts supplémentaires pour gérer les déjections animales – le lisier de porcs – et lutter contre la pollution des eaux. Il y a des aménagements à faire pour le respect du bien être animal. Il faut supporter un coût de l’aliment qui a grimpé avec la flambée des céréales. La concurrence internationale tire les prix de vente vers le bas. La Bretagne est dépendante des importations de soja pour nourrir son bétail. Le coût de la main d’oeuvre serait trop élevé par rapport à l’Allemagne….

Dans ce contexte, comment un éleveur de porc peut –il sereinement envisager son avenir ? Nous avons la conviction que la prospérité économique des éleveurs ne se construira pas sur des productions de masse à faible valeur ajoutée, lesquelles seront de plus en plus soumises à la concurrence. Il vaut mieux faire de choix de répondre à la demande locale, bretonne et française : celle des consommateurs qui plébisciteront de plus en plus les produits de proximité, bons pour leur santé, et des modes de production respectueux des animaux et des ressources naturelles.

Il est primordial que les éleveurs de porcs qui s’engagent sur de bonnes pratiques, avec souvent des tailles d’élevage plus modestes, tirent un revenu décent de leur métier. C’est ainsi que pourront se développer de nouveaux modes de production pour demain, bons pour la santé, bons pour l’environnement et bons pour l’économie locale.


Une conférence-discussion sur le thème "Produire du porc demain en Bretagne" aura lieu demain mardi 10 décembre à 20h à Lannilis (29), salle Lapoutroie, animée par Jean-Claude Pierre, porte-parole du réseau Cohérence.

 

 




« Produire du porc demain en Bretagne…. »

Beaucoup d’inquiétudes pour l’avenir : la production porcine est accusée d’avoir pollué les eaux et il s’ensuit des coûts supplémentaires pour gérer les déjections animales – le lisier de porcs – et lutter contre la pollution des eaux. Il y a des aménagements à faire pour le respect du bien être animal. Il faut supporter un coût de l’aliment qui a grimpé avec la flambée des céréales. La concurrence internationale tire les prix de vente vers le bas. La Bretagne est dépendante des importations de soja pour nourrir son bétail. Le coût de la main d’oeuvre serait trop élevé par rapport à l’Allemagne….

Dans ce contexte, comment un éleveur de porc peut –il sereinement envisager son avenir ? Nous avons la conviction que la prospérité économique des éleveurs ne se construira pas sur des productions de masse à faible valeur ajoutée, lesquelles seront de plus en plus soumises à la concurrence. Il vaut mieux faire de choix de répondre à la demande locale, bretonne et française : celle des consommateurs qui plébisciteront de plus en plus les produits de proximité, bons pour leur santé, et des modes de production respectueux des animaux et des ressources naturelles.

Il est primordial que les éleveurs de porcs qui s’engagent sur de bonnes pratiques, avec souvent des tailles d’élevage plus modestes, tirent un revenu décent de leur métier. C’est ainsi que pourront se développer de nouveaux modes de production pour demain, bons pour la santé, bons pour l’environnement et bons pour l’économie locale.


Une conférence-discussion sur le thème "Produire du porc demain en Bretagne" aura lieu demain mardi 10 décembre à 20h à Lannilis (29), salle Lapoutroie, animée par Jean-Claude Pierre, porte-parole du réseau Cohérence.