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Un hors-série consacré à la santé durable

 

 

Le nnouvel hors-série de Bretagne Durable est disponible dans toutes les bonnes librairies, Biocoop, kiosques… N’hésitez pas à vous abonner et à en faire profiter vos amis !

N’hésitez plus à vous abonner en version papier ou PDF ! Toutes les informations et les différentes formules sont disponibles sur notre page"Abonnements"

 

Plus d’infos

www.harmonie-mutuelle.fr

 

 




Valorem mise sur la participation des citoyens dans l’éolien

En France, la participation des citoyens dans le domaine de l’énergie est encore limitée. Mais des initiatives se développent : création de coopératives (Enercoop), mouvement Energie Partagée, regroupement dans des Cigales (Clubs d’Investisseurs pour une Gestion Alternative et Locale de l’Epargne Solidaire …un mouvement semble se mettre en marche, et qui intéresse particulièrement le groupe Valorem, né il y a 16 ans, et qui exploite aujourd’hui l’équivalent de 250 méga watts de parcs éoliens. Depuis 2011, il œuvre à la mise en place de démarches de financement participatif pour cette énergie. « Ce mode de financement est une bonne chose pour le développement de l’éolien », estime Mathieu Blandin, chef de projet au sein de l’agence Valorem de Nantes (44).

Mobilisation de tous les acteurs pour la transition

Ainsi, le groupe et le Crédit Coopératif ont développé un partenariat qui a donné naissance à un produit bancaire qui permet de simplifier l’investissement citoyen dans l’éolien, et qui a été lancé dans le Tarn à la fin de l’année 2012. Un enjeu d’autant plus important que dans le cadre de la transition énergétique, mouvement dans lequel la France tente de s’engager aujourd’hui, les citoyens sont plus que jamais concernés, notamment en participant au débat national sur le sujet.
Les collectivités sont invitées également à participer au développement des énergies renouvelables. « La transition est un enjeu sur lequel tous les acteurs doivent être mobilisés. Ce qui est intéressant, c’est l’implication des élus, des collectivités locales, des services de l’état…créer du lien, de la concertation, c’est très important », commente Mathieu Blandin. Une façon aussi de mieux faire accepter auprès des habitants la présence des parcs éoliens, parfois décriés…

 

 

 

 

Des énergies renouvelables à la voile…

Le groupe Valorem est également engagé dans le monde de la voile. En effet, il sponsorise le trimaran de Lalou Roucayrol, skippeur du Médoc, qui participera à la Transat Jacques Vabre 2013 et à la Route du Rhum 2014. "Au-delà du vent, qui porte nos deux projets vers de nouveaux horizons, c’est au travers de valeurs communes que nous avons su nous retrouver. Détermination, envie d’innovation, souci de la transmission, attachement à valoriser les ressources locales qu’elles soient naturelles ou humaines… C’est, entres autres, pour toutes ces valeurs que VALOREM s’est reconnue dans le projet du skippeur médocain.", explique le groupe sur son site internet.

 

Plus d’infos

www.valorem-energie.com/




Vers une santé durable !

« 60 % des petits garçons nés aujourd’hui fêteront leurs 80 ans et les petites filles seront 80 % dans ce cas. C’est deux à trois fois plus qu’en 1950 ! » s’exclame Bertrand Garros, en introduction de cette journée riche en débats. « La mortalité maternelle et infantile ont également considérablement diminué. Nous sommes maintenant dans un double enjeu : la qualité de la vie et l’égalité d’accès à la santé », poursuit cet expert des questions de santé, ancien président de l’Institut national de la prévention et d’éducation pour la santé (l’Inpes).
« C’est bien par l’action collective, l’innovation sociale et la mise en réseau des acteurs, chère aux Bretons, que ce double enjeu pourrait bien être comblé », a complété Jean Ollivro, géographe et écrivain.

Education, Alimentation…

Durant près de 3 heures d’échanges filmés, la douzaine d’intervenants (Cpam, Mutualité Française, Mission locale de Rennes, ATD ¼ monde, Cres, Collectif interassociatif…) ont insisté sur « l’importance de l’éducation », autour des questions de santé. « Education au sein de la cellule familiale », pour favoriser la prévention et les bonnes pratiques, comme l’a souligné notamment Claude Martin, directeur de recherche au CNRS et enseignant à l’école des hautes études en santé publique (EHESP). Mais aussi éducation au sein de l’école, en faveur d’une alimentation saine par exemple et d’une activité physique régulière, « deux points clés pour prévenir notamment l’obésité », a précisé Yann Menot de la Mutualité Française Bretagne, en donnant l’exemple du programme de prévention contre l’obésité : Nutrimut.
La question des inégalités sociales de santé a également été approfondie durant ce temps fort. Désormais, le constat est clair : les personnes en état de précarité se prennent moins en charge, voire retardent – notamment en période de crise, leur accès au soin. Autant de raisons de les accompagner pour éviter qu’ils mettent leur santé en second plan. Comme le souligne Pierre Saglio, ex-président d’ATD quart Monde dans la dernière table-ronde dédiée à l’impact de la précarité sur la santé : « Nous devons impérativement nous unir, nous mettre ensemble. Nous devons nous unir entre acteurs de la santé, entre professionnels, responsables administratifs et usagers. Nous avons besoin d’apprendre ensemble, de réfléchir ensemble, de comprendre ensemble ce qui peut et doit être fait pour rejoindre ceux qui ont le plus de difficulté à accéder aux soins. »

 

Plus d’infos

Retrouvez dès la fin de semaine les premières interviews vidéos des intervenants et mi-novembre l’intégralité des débats en vidéo sur :

www.bretagne-durable.info

www.harmonie-mutuelle.fr

www.ars.bretagne.sante.fr




Réalisez vous-même votre peinture à l’ocre

5 m2/kg de peinture
Cabane à peindre 25 m2 en 2 couches
Confection de 5kg de peinture

Ingrédients

eau
farine
ocres
sulfate de fer
savon noir
huile de lin

Les grandes étapes de la fabrication de la peinture :

Retrouvez les détails concernant les quantités exactes dans le petit guide illustré de la peinture à l’ocre, édité par l’association Terres et couleurs.

-Portez de l’eau à ébulition dans un fait-tout
-Diluez de la farine dans l’eau froide et l’ajouter au de l’eau chaude
-Laisser cuire en mélangeant
-Ajouter des terres colorantes, ainsi que du sulfate de fer s’il s’agit d’une -peinture pour l’extérieur (traitement des mousses).
-Faire cuire et mélanger 15 autres minutes
-Ajouter de l’huile de lin et du savon liquide ou du savon noir
pour favoriser l’émulsion. Cuire 15 minutes

Conditions météo : éviter de peindre sur bois humide ou trop chauffé
-Avant de repeindre : brosser ou laver le bois et retirer les anciennes peintures, le traiter s’il risque d’être attaqué avec des moisissures (sel de bore).
Temps de séchage : la peinture sèche en 1 heure.
Les têtes de clous et les nœuds du bois sont difficiles à accrocher lors de la 1re couche,
Mais ceci ne se produit plus à la 2e. Elle prend même sur les ferrures inox !
Conservation plusieurs années dans un seau hermétique avec qq gouttes d’huile essentielle de clou de girofle, de romarin, menthe poivrée…. (effet antibactérien)

Coût :

savoir noir et eau : 0,10 €
Farine : 0, 35 €
Huile de lin : 1,52 €
Sulfate de fer : 0,08 €
Ocres : 12 €
_______
13,95 € pour 25 m2 en deux couches
soit : 0,55 € du m2 ! une peinture classique : 3 €/m2 = 6 fois moins cher
La peinture est très couvrante, une couche peut suffire sur un bois brut
Elle est beaucoup plus durable et surtout 100% naturelle colorée avec des terres ou ocres( idem) toujours utilisée en Scandinavie.

 

Plus d’infos

www.ambiancedeco.org




Et si on se lançait dans l’habitat groupé ?


Habitat groupé par BD_info

A voir aussi

Nos autres vidéos de la journée : Et si nous changions le monde ici? , Tous au jardin ! et A la Découverte du couchsurfing et du wwoofing

 




L’art de vivre au bout du monde

C’est un Ovni dans la planète festivals. Tentez le coup, vous ne serez pas décus ! 2 familles, dont 4 adultes et 6 enfants, 1 poussette, 1 cariole bi-place… et pas de stress. Le festival du bout du monde en famille, c’est sans problème. Peut-être d’ailleurs est-ce l’un des seuls festivals de l’été à vous proposer autant de solutions pour répondre à vos appréhensions…

Pas d’agression sonore

Vous craignez pour les oreilles de vos bambins. Pas de souci. A l’espace "enfants", situé au milieu du festival, vous pourrez louer des casques de chantier pour les équiper contre les agressions sonores. Pour les moins jeunes, des boules quies sont également à disposition au stand de l’orange bleue, où des bénévoles vous proposeront de vous protéger les tympans.
Toujours sur le stand "enfants", profitez-en pour proposer à vos bambins des ateliers découverte entre 2 concerts. Et s’ils ont plus de 6 ans, vous pourrez même les confier une heure ou deux aux sympatiques bénévoles qui s’occuperont d’eux comme des chefs, pour le plaisir des petits comme des grands !

Gastronomie en musique

Une fois la question sonore réglée, vous pourrez vous diriger vers les nombreux stands qui proposent de manger bio, local et de saison. Notre coup de coeur : la saucisse de Molène. Imbattable ! Les pâtes bio sont aussi franchement délicieuses avec un bonne bière bretonne ou un bon vin sous le chapiteau. Et des fruits de saison comme dessert, parfait ! Ca change des éternelles frites et kébabs des vieilles charrues qu’on a toujours pas digérés (oups, on avait dit pas de comparaison surtout qu’on aime bien les charrues…).

Accessibilité pour tous

Autre point fort : zéro déchet sur le site. Et les déchets sont triés. Ca fait plaisir de voir qu’il est clairement possible de concilier écologie et évènement festif. On a beau chercher un point faible, une critique… rien ! Tout le monde peut accèder au site : familles, personnes handicapées, personnes âgées,.. (elles étaient nombreuses ce we à profiter du bout du monde et on s’en réjouit !). Le bout du monde : c’est vraiment de 7 à 77 ans.

 

Plus d’infos

www.festivalduboutdumonde.com/