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Du cabotage fluvio-maritime, de proximité et décarboné, en projet en Bretagne avec Avel Marine

L’association Avel Marine veut développer le transport fluvio-maritime de marchandises, décarboné et de proximité, en Bretagne. Pour se faire, elle a acquis deux bateaux, une barge pour le transport fluvial et un ancien crevettier hollandais pour le maritime, et est en train de les transformer, avec une propulsion à air comprimé et des voiles auxiliaires.

Développer le transport fluvio-maritime décarboné et de proximité. Voilà le projet de l’association bretonne Avel Marine. «Nous avons prolongé un précédent travail réalisé par le géographe Yves Lebahy, sur le cabotage de proximité », explique Pierre-Yves Glorennec, président de l’association. « Le but, c’était de renouer avec le développement local et de diminuer la circulation des camions sur la Bretagne. Nous avons rajouté à cela la partie fluviale, et avons pris en compte de nouveaux enjeux qui étaient moins pris en compte il y a une dizaine d’année, comme par exemple la lutte contre la pollution, la décarbonation, la préservation de la biodiversité », précise-t-il.

L’association, qui couvre toute la Bretagne, mais qui est surtout active sur le secteur de Dinan et Saint-Malo, a constitué pour le moment une « petite flotte » de deux bateaux. « Un des navires est destiné au littoral, et l’autre est une barge, à destination des canaux », détaille le président. « L’idée, c’est de les transformer, pour qu’ils soient décarbonés et exemplaires. On veut montrer que le transport de proximité de marchandises par voie fluvio-maritime est viable ».

Deux types de frets sont envisagés pour commencer : l’un serait dédié au papier à recycler, « qui est transporté actuellement vers trois entreprises qui sont sensibles à la décarbonation. Nous, on se propose de remplacer les camions », indique Pierre-Yves Glorennec. L’autre type de fret serait celui des produits alimentaires complémentaires aux produits locaux, comme par exemple le riz, le café, les légumineuses, le sucre. « Ils sont forcément transportés, et par camions. On discute avec deux entreprises qui livrent aux magasins bio pour voir si un transport par bateau est possible ».

Actuellement, la petite équipe d’Avel Marine s’attelle à terminer les aménagements des deux bateaux. Un système à air comprimé sera prochainement installé sur la barge, afin d’assurer la propulsion, et une station de production à air comprimé sera mise en service, fonctionnant à partir de panneaux photovoltaïques. Le bateau pour la mer, baptisé « La Mouette », est un ancien crevettier hollandais. Il sera équipé de voiles auxiliaires, et « remis entièrement au norme et en beauté », annonce le président de l’association, qui cherche également le soutien actif de la société civile pour continuer la route vers un transport de marchandises en Bretagne moins impactant au niveau des émissions de Co2.

 

Plus d’infos : https://avelmarine.fr/




Festival La P’Art Belle : Quand la musique s’accorde avec la transition écologique

Le festival La P’Art Belle revient vendredi 8 et samedi 9 septembre pour une quatrième édition, cette fois-ci au Théâtre de Verdure de Séné (56), sur les bords du Golfe du Morbihan. Petite jauge, réduction de l’empreinte carbone, artistes « découvertes », ateliers, tables-rondes…tout est fait pour faire de l’événement un moment convivial et familial à taille humaine, durant lequel on se divertit et on réfléchit sur les transitions écologiques.

Vous en avez marre des festivals mastodontes, avec des dizaines de milliers de personnes réunies dans une prairie ? Vous souhaitez pouvoir vous retrouver plus près des artistes ? Vous vous posez des questions sur l’impact environnemental de ces événements géants ? L’alternative à ce modèle qui semble avoir trouvé ces limites se trouve dans le Morbihan : le festival la P’Art Belle.

Depuis août 2019, ce « micro-festival », dont la jauge est limitée à 1000 personnes par jour, vise à sensibiliser le public de façon ludique et artistique aux enjeux environnementaux. D’abord organisé sur la presqu’île de Rhuys, à Sarzeau, au domaine de Kerlevenan, il déménage pour cette édition 2023 dans un autre écrin végétal, celui du Théâtre de Verdure de Séné, sur les bords du Golfe du Morbihan. L’événement, avec sa petite jauge, est engagé depuis le début dans une démarche environnementale : utilisation d’un système son solaire, restauration en circuit court, signature de la charte « Drastic on plastic », opération « ramène tes couverts », utilisation du réemploi…

Au programme encore cette année, de la musique, des tables-rondes, des rencontres, des ateliers…

On pourra ainsi retrouver vendredi une table-ronde « Dialogue intergénérationnel enthousiasmant et engagé en faveur de l’océan » avec les associations La P’Art Belle et BioDiverTissons, et Laurent Labeyrie, Professeur invité Université Bretagne Sud-LGO, Ancien membre du GIEC, Professeur honoraire Institut Universitaire de France et Institut Pierre Simon Laplace Membre du Haut Conseil Breton pour le Climat et des conseils scientifique des PNR Golfe du Morbihan et Projet de Parc Rance-Emeraude‍, Mia Lemeau-Ly-Cuong : Lycéenne au sein de l’établissement Alain René Lesage en option sciences de la mer / ancienne éco-déléguée du Collège Gilles-Gahinet à Arradon., Sullian Masse : Étudiant BPJEPS « Education à l’Environnement et au Développement Durable » au sein de l’association Les Glénans, Charlotte Nirma : Astrolabe Expeditions, Coordinatrice de projets de recherches, et Annaïg Le Port : Directrice de la Maison de la Mer / Médiatrice scientifique. Le même jour, des « Ateliers de l’imaginaire » seront aussi proposés, avec la Fresque de la Renaissance Ecologique, la Fresque de la Biodiversité, et un Bar à Eau.

Côté musique, on retrouvera les concerts de Sandra Nkaké, Victor Solf, et Macadam Crocodile.

Le Samedi, une table-ronde sera consacrée aux Aventurier.e.s de l’écologie, avec Anaëlle MAROT, aventurière projet AZUR, Nicolas VANDENELSKEN, aventurier Rand’eau Raid GR® 34, Lili SEBESI, Olympienne, finaliste en 49erFX au Jeux de Tokyo 2021 et membre du collectif La Vague, et Paul METAILLER, aventurier de Pogui Surf un voyage à vélo engagé de la Bretagne au Portugal.

Au menu aussi, les « Ateliers de l’imaginaire », avec au programme une balade contée familiale, des ateliers sérigraphie, jouets buissonniers, céramique, textile et eau, bar à eau, une animation « Bienvenue en 2100 sur l’île de Séné », une balade découverte de Séné animée par les bénévoles de la Coop des Vénètes (supermarché coopératif de Vannes), le vélo-smoothie des Cuisiniers Solidaires et le camion-laboratoire des Petits Débrouillards. Le « Cabaret Cyclette », manège entrainé par un vélo, sera aussi présent. On pourra également assister au spectacle de « musique verte » de Jean-Yves Bardoul « Normalement, ça marche », et à une dégustation de vin nature animée.

Concernant les concerts, sont programmés ce samedi Mychelle, « Résistances Poétiques » de Cyril Dion et Sébastien Hoog, et « Le RDV du Tout Le Monde ».

Tout le week-end, le Capitaine Stuppyd, alias Anthony Serazin de la Compagnie Orange Givrée, sera présent et ira à la rencontre du public. Et le café-librairie « Marée-Pages » proposera une « librairie éphémère », avec rencontres et dédicaces, là aussi sur les deux jours.

 

Le programme détaillé et la billetterie sont ici : https://www.lapartbelle.bzh/

A lire aussi, notre portrait de Louise Robert, fondatrice de la P’Art Belle : http://www.eco-bretons.info/portrait-de-femme-n8-louise-robert-lexploratrice-de-la-transition/

 




Samedi et dimanche, rendez-vous dans le Centre Bretagne pour Biozone

Samedi 09 et dimanche 10 septembre, la foire régionale biologique Biozone se déroulera à Mûr-de-Bretagne (22). Pour cette édition 2023, 180 exposants seront présents de 10 à 19h, pour ce qui est la plus grande foire bio de Bretagne. Le mot d’ordre cette année : Lumière sur l’agriculture biologique !

C’est reparti pour Biozone ! La célèbre foire biologique de Mûr-de-Bretagne, organisée par l’Association Produire et Consommer Biologique (APCB) et ses 150 bénévoles, se déroulera ce week-end. Pour cette édition 2023,, ce sont 180 exposants qui sont attendus : associations militantes, producteurs, paysans transformateurs, viticulteurs, commerçants…  « tous ont des produits certifiés 100% bio ou une activité éthique vérifiée et validée par la commission exposants composée de responsables bénévoles », précise l’APCB.

Cette année, retour aux fondamentaux, puisque la thématique choisie par les organisateurs pour servir de fil rouge à la manifestation est « Lumière sur l’agriculture biologique ». Après avoir connu un grand succès durant la crise covid, la bio est actuellement chahutée, avec des ventes en recul. L’inflation, la guerre en Ukraine, la perte du pouvoir d’achat…ne sont pas étrangers à cette situation. La foire de Mûr-de-Bretagne sera l’occasion de parler et débattre du sujet, et de redéfinir précisément ce qu’est l’agriculture biologique, qui peut être parfois confondue avec d’autres labels apparus sur le marché.

Les visiteurs pourront ainsi retrouver un programme de conférences, table-rondes, ateliers…sur cette thématique. Parmi les temps forts, on peut noter un débat sur les labels avec les radios associatives locales Radio Bro Gwened et Radio Kreiz Breizh, une conférence introductive « L’agriculture biologique, solution incontournable aux crises du climat et de la biodiversité » par Jacques Caplat, ou encore une table-ronde le dimanche avec la MAB 22 (Maison de l’Agriculture Biologique) «De la bio dans ton assiette….oui mais comment ? ».

Des projections de documentaires, films (dont « Algues Vertes » et « Secrets toxiques ») et animations pour les petits et grands sont également au menu du week-end, qui sera aussi placé sous le signe du « zéro déchet ». Laetitia Crnkovic de Zéro Déchet Trégor animera ainsi plusieurs ateliers durant lesquels on pourra apprendre à fabriquer son cake vaisselle, son shampooing solide ou son dentifrice. Biozone est aussi engagée dans un « défi zéro déchet » : le public est invité à apporter sa gamelle, son gobelet, ses couverts, et ses contenants pour les achats en vrac !

 

Pratique

Samedi 9 et dimanche 10 septembre, de 10h à 19h, bourg de Mur-De-Bretagne (commune de Guerlédan)

Tarif : plein : 4 euros / réduit 2 euros / gratuit pour les -15 ans

Toutes les animations sont gratuites après paiement de l’entrée

Plus d’infos : https://foire-biozone.org/

 

 




165 km à vélo pour découvrir 11 tiers-lieux bretons

A partir du jeudi 31 août, 40 cyclistes vont s’élancer pour un premier périple à vélo de 165 kilomètres, à l’initiative de l’association Bretagne Tiers Lieux. De Lorient à Redon, le peloton partira ainsi à la découverte de onze structures et dynamiques collectives.

 

2500. C’est le nombre de tiers-lieux existant en France aujourd’hui. Mais qu’est ce qu’un tiers-lieu ?

Selon la définition du Larousse, c’est un « Espace physique hybride (bâtiment, local, etc.) destiné à être utilisé par des professionnels indépendants, des associatifs, des bénévoles, etc., afin qu’ils puissent y élaborer des projets collectifs, échanger leurs expériences, transmettre leur savoir-faire ». Ils peuvent se décliner sous plusieurs formes : espaces de coworking, FabLab, friches culturelles, ateliers artisanaux partagés…

En Bretagne, ils sont également nombreux. L’association Bretagne Tiers-lieu, qui a vocation à les fédérer, a lancé une grande campagne de recensement de fin mars au 10 mai dernier, en compagnie de la Région, de la Cress (Chambre Régionale de l’Economie Sociale et Solidaire) et de France Tiers Lieux. Près de 180 tiers-lieux ont répondu, ce qui confirme le dynamisme de la région sur le sujet.

Afin de mieux les faire connaître, Bretagne Tiers-lieux organise la première édition d’un « Cyclo-Tour », qui aura lieu du 31 août au 3 septembre, à travers le Morbihan et L’Ille-Et-Vilaine. « Quarante participants se sont inscrits », précise Arnaud Bonnet, directeur de Bretagne Tiers Lieu. « Certains vont venir pour les tiers-lieu, d’autre plus pour l’aspect périple à vélo ». « L’idée », poursuit-il, « c’est de faire « collectif », de créer une action collective entre les lieux et à travers eux ».

Au programme : 3 visites d’une heure chaque jour, par un membre de l’équipe du tiers-lieu qui est visité, pour « présenter le projet, l’histoire du lieu, son rapport avec la collectivité… », souligne Arnaud Bonnet. Les soirées se dérouleront dans des « éco-lieux », avec des temps dédiés à des animations autour de l’intelligence collective.

 

Le détail du parcours :

  • Jeudi 31 août : Départ de Lorient, visite de la Colloc, déjeuner à l’Embarcadère, restaurant d’insertion, puis visite du tiers-lieu Le Garage à Etel. Soirée et nuit à l’éco-lieu « Demain en mains » à Locoal-Mendon.
  • Vendredi 1er septembre : Visites de l’Argonaute (Auray), de la Machinerie (Baden), et du Hangar (Vannes), soirée à l’UCPA à Séné.
  • Samedi 2 septembre : Pique-Nique à La -Vraie-Croix, visite du Café de la Pente (Rochefort-En-Terre), de l’éco-lieu Caringa à Malansac, où aura lieu le soir un forum ouvert
  • Dimanche 3 septembre : Visite de Chez Angèle à Peillac, et échange avec les contributeurs et contributrices du Parallèle à Redon.

    Conclusion de l’aventure collective à 14h

 

 

Plus d’infos : https://www.bretagnetierslieux.bzh/cyclotour-des-tiers-lieux-bretons




« Ce qui reste en forêt », un polar au cœur de l’Amazonie

Idée lecture pour ce week-end : un livre de Colin Niel, qui nous plonge au cœur de l’éco-système luxuriant de la Guyane et de l’Amazonie : Ce qui reste en Forêt.

 

Surprise sur une plage des côtes guyannaise. Deux naturalistes amateurs membres d’une association de protection de l’environnement, en pleine opération de comptage de tortues, tombent nez à nez avec un cadavre d’albatros, en provenance directe des terres australes. Comment l’oiseau est-il arrivé jusqu’ici ? Un scientifique spécialiste des mouvements des oiseaux est retrouvé mort, dans une grotte en pleine forêt amazonienne, les poumons remplis d’eau, à quelques kilomètres de la station scientifique de Japigny, appartenant au CNRS. Y-a-t-il un lien entre les deux affaires ? Quels rôles jouent les orpailleurs et les clandestins qui travaillent pour eux, oeuvrant dans la forêt en toute illégalité ? C’est à ces questions, et bien d’autres encore, que le capitaine Anato et le lieutenant Vacaresse devront répondre, tout en essayant de gérer au mieux leurs problèmes personnels et familiaux, au fil de leurs investigations en territoire guyannais, où ils vont aller de surprises en surprises.

Faune et flore riches et luxuriantes

Un territoire que l’auteur, Colin Niel, connait particulièrement bien. Ingénieur en environnement, spécialisé dans la protection de la biodiversité, il a travaillé pendant plusieurs années en Guyane, qui fut d’ailleurs déjà le théâtre de son précédent roman, premier volet des enquêtes du capitaine Anato, intitulé « Les hamacs de carton ». Avec Ce qui reste en forêt, il embarque le lecteur au cœur de l’éco-système amazonien, et donne à voir de sa faune et sa flore riche et luxuriante, avec une écriture directe et rythmée. Si l’intrigue est classique, le cadre de l’enquête l’est moins. Le lecteur part à la découverte du milieu scientifique, du travail des naturalistes sur le terrain, notamment dans une station en pleine forêt que l’auteur décrit dans le roman comme le lieu « où l’on comprend l’importance des forêt dans la lutte contre le réchauffement climatique, où l’on découvre les dernières espèces de mammifères inconnues, où l’on étudie de cycle permanent de l’éco-système le plus complexe de la planète, où se joue le sort réservé à l’Amazonie par les grands de ce monde ». Ce qui reste en forêt est un roman agréable à lire, avec des personnages attachants, qui invite au voyage et au dépaysement.

Ce qui reste en forêt, de Colin Niel, éditions du Rouergue, 336 pages, 18 euros.

Plus d’infos

www.lerouergue.com




L’idée sortie. Découvrir chauve-souris et animaux de la nuit sur le territoire de Morlaix Communauté

Officiellement, la Nuit de la Chauve-Souris se déroule tous les ans le dernier week-end d’Août. Mais de nombreuses animations ont lieu tout l’été, pour découvrir ce petit mammifère étonnant et encore mal connu. C’est le cas par exemple sur le territoire de Morlaix, avec trois événements à venir. Le premier a lieu ce vendredi soir, avec Bretagne Vivante. Rendez-vous dans les jardins de la Manufacture dès 20h45 pour découvrir la faune nocturne, dont la chauve-souris.

Savez-vous qu’il existe près de 1400 espèces de chauve-souris à travers le monde ? Ce petit animal nocturne représente ainsi à lui seul 20% des mammifères de la planète ! En France métropolitaine, 36 espèces sont reconnues. Elles jouent un rôle écologique très important : ce sont de très grands insectivores, capables de consommer en une nuit près de la moitié de leurs poids ! Les chauves-souris sont aussi un excellent indicateur de la bonne santé d’un éco-système. En Bretagne, 22 espèces ont été recensées, parmi lesquelles le Grand Rhinolophe, le Grand Murin, le Murin de Daubenton, la sérotine commune, la pipistrelle commune, ou encore la noctule géante, plus grande espèce européenne, présente en Ille-et-Vilaine.

Les 26 et 27 août 2023 aura lieu la vingt-septième édition de la traditionnelle Nuit de la Chauve Souris. Mais c’est en fait durant tout l’été que des animations autour du petit mammifères ont lieu.

C’est le cas par exemple sur le territoire de Morlaix Communauté, qui organise trois événements, les 18, 29 et 31 août, dans le cadre du programme Trame Verte et Bleue.

 

Au menu :

  • Le vendredi 18 août : Avec Bretagne Vivante, rendez-vous dans les jardins de la Manufacture, de 20h 45 à 22h45, pour découvrir la faune nocturne de la Ville de Morlaix, du ver luisant aux chauve-souris.

Réservation : karine.viseur@bretagne-vivante.org • 06 07 22 91 77

 

  • Le mardi 29 août : Avec Au Fil Du Queffleuth et de la Penzé, rendez-vous à l’Abbaye du Relec, à Plounéour-Menez, de 19h30 à 22h. Présentation d’un diaporama dans l’abbaye avec des ateliers pour les enfants, suivi d’une balade autour de l’étang. Utilisation d’un détecteur à ultra-sons pour repérer les chauve-souris.

Réservation : afqp29@gmail.com • 02 98 78 45 69

 

  •  Jeudi 31 août : avec l’Ulamir-CPIE, rendez-vous dans la vallée de Trobodec, à Guimaëc, de 20h à 22h. Balade familiale et ludique avec animation pour découvrir les chauve-souris. Réservation : www.ulamir-cpie.bzh (rubrique agenda) • 02 98 67 51 54 • 06 15 06 82 08

 

 

 

Plus d’infos

https://morlaix-communaute.bzh/Amenager-durablement/Gemapi/Trame-verte-et-bleue-Animations-nature-biodiversite?fbclid=IwAR0GrCUFDPM25gDAfaijz1ipiioaWkCK82umO-84jFlEERfJKPpv_in6piI