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Umami : à Lannion, une épicerie un peu spéciale va bientôt ouvrir ses portes

[Rediff] À Lannion, Claire et Corinne souhaitent ouvrir un lieu atypique, un lieu de rencontres et d’échanges, où pourraient se rencontrer le bien-manger et le bien-être…

L’une est cuisinière, l’autre masseuse… Corinne et Claire souhaitent combiner leurs compétences au sein d’un même lieu : une épicerie. Baptisée Umami, des produits originaux y seront proposés, comme des algues, des épices, et même des tisanes ayurvédiques.

L’espace de restauration, géré par Corinne, sera ouvert sur la cuisine, pour que soient concocté « en toute transparence des boissons, des plats, des soupes, des desserts, des en-cas, en utilisant des produits biologiques, locaux et de saison dans un esprit de développement durable et d’économie solidaire…à consommer sur place ou à emporter ».

Des Ateliers de Curiosités Culinaires

Dans un esprit de partage de connaissances, des « Ateliers de Curiosités Culinaires » seront organisés, pour apprendre à préparer des recettes végétariennes, aux algues ou aux plantes, sans gluten, ou même véganes. L’après-midi, l’épicerie sera transformée en salon de thé et il sera possible de déguster un Thaï en prenant le temps de feuilleter un livre de la bibliothèque mise à disposition.

En ce qui concerne la partie bien-être, détente, ce sera Claire qui s’en occupera. Elle y prodiguera des massages toniques aux hydrolats ou relaxants, des massages aux huiles végétales et essentielles bio en mélanges personnalisés.

Un lieu d’échange

Enfin, dans un esprit solidaire et de récupération, un dépôt-vente d’ustensiles de cuisine sera aménagé. Le lieu présentera également des conférences thématiques autour de la nutrition, de la santé au naturel, de la biodiversité et du développement personnel.

Pour aider Corinne et Claire dans leur projet, c’est par ICI que ça se passe.




Le festival luttant contre les discriminations « L’autre c’est toi, c’est moi », jusqu’au 23 mars

Depuis aujourd’hui et jusqu’au 23 mars, Morlaix et ses alentours accueillent la sixième édition du festival « L’autre c’est toi, c’est moi », qui vise à lutter contre les discriminations grâce à divers événements : pièce de théâtre, ciné-débat, etc. 

Disséminé sur plusieurs lieux de la ville, comme à Carré d’As, à la Salamandre, à Ti an Oil à Plourin-lès-Morlaix, à la MJC, au théâtre du pays de Morlaix, et même dans trois établissements scolaires (au collège de Plounéour-Ménez et dans les lycées Tristan Corbières et Suscinio), le festival souhaite toucher un maximum de personnes, de tous âges et de toutes conditions.

Rencontre, théâtre, exposition photographique, atelier jeunesses, animation pour les familles, bibliothèque nomade sur les thèmes des genres, des sexualité ou des identités, lecture collective, ciné-débat, conférence gesticulée, soirée-débat, enregistrement d’une émission de radio sur la thématique des discriminations ou tout simplement rencontre, écoute et discussion sont à retrouver tout au long de ces deux semaines et demi.

Le programme est à retrouver ICI.




The association of women bearing the name of Vishnu

There is in Trivandrum, a premier institution for all the struggles for emancipation of women and feminist concerns; It is an NGO whose name is difficult to catch for an average French, Sreevaraham Vanitha Samithi (SVS). Translated into usual French, this means “the association of women in the name of Lord Varaha”, Varaha is one of the many avatars of the Hindu God Vishnu.

This NGO name is not due to any religious affiliation but only for being situated close to a Hindu temple dedicated to the God whose uniqueness is to have led a fight to 1,000 years to save planet Earth. Quite a symbol!

This charity association was created in 1913 by women of the high society of Kerala but acquired the true status of association only in 1957. Thanks to powerful political support in the early days, the association obtained a long-term lease of the State on a very large plot on which the current facility was built gradually.

First there was a clinic in 1957, and then pre-school classes and a handicraft training center. The school was built in 1961 as well as the children’s theatre, which officially opened on February 28, 1969, just 50 years ago.

Grafted on these activities of local social services, is a community-cum-school library that combine sa mobile library,meant mainly for home-bound elderly women.

 

A view of the front of the SVS / photo credit: Dominique Guizien

 

Today’s activities of SVS

 

A training and production centre

Throughout the year, women from poor neighborhoods (30 women per batch) come to learn artisan production techniques, in order to make their livelihood. Trainings extend from 2-3 days to 3-6 months.The normal cycle of progress for these women is trainee, then paid worker, and for the more gifted of them, entrepreneurs or even trainers, in a gradual process of empowerment. The crafts are very varied: bookbinding, fabric painting , mural painting, glass painting , metal embossing, manufacturing of soaps, detergents and lotions, decorations for Christmas and weddings, production manufacturing of candles, soft toys , thermal cooker, manufacturing of bags and file board , jewelry and beads works. There are also trainings in food craft, nutrition, catering etc. In fact, several women have taken up catering business for big and smalll events from their homes.

 

A part of the production of jewelry

 

Beads works

 

Painting on fabric

 

Folded paper picture

 

An elephant trunk ornament in embossed metal

 

Some of the trainees

 

The main trainer (left), a former trainee, next to one of her trainees, a future trainer.

 

A private school group

On these premises, kids are in school from the age of 4 years up to the age of 10-11 years, with an average of 25 children (boys and girls) per class. To complete this school equipment, there is also a creche which welcomes children from 2-3 years. The pride of SVS is its library but over time its documentary fund has dwindled and SVS would need a boost to level its books collection.

A Neighborhood Center for social activities

In addition, SVS continues its activities in the areas of health, culture and awareness through programmes of seminars and conferences aimed at the empowerment of women. It deals with health, violence against women, waste management, water preservation, energy management, use of solar energy devices, foodconservation and cookery. « Health camps » are organized for women and their children, but are also open to all public.Ayurveda massage sessions, learning of nursing home care, courses of life skill education for young girls, the importance of human values, education and personal development complete this social offer.

A theatre

The children’s theatre is 50 years old and had a heyday which witnessed the passage of the great stars of Indian music, dance and drama. It was also a neighborhood facility often hired out for family festivals and weddings. But with the years passing, this exceptional facility has much decayed, due to lack of funding available to carry out routine maintenance. Therefore it remains a magnificent 600-seat theater room that dramatically needs financial help for maintaining its role of a community centre for culture.

To learn more about SVS:

sreevaraham vanitha saminthi
https://www.freeofme.com/groups/view/36149/sreevaraham-vanitha-Samithi




« Protéines animales, végétales, ou les deux ? »

C’est une des grandes nouveautés de cette année 2019 pour les familles zéro-déchet de Morlaix : les conférences. Catherine et Gérard de Cap Santé ont animé la toute première, mardi 26 février, sur les « Protéines animales, végétales, ou les deux ? ».

Une protéine, qu’est-ce que c’est exactement ?

Les protéines sont précieuses et sont nécessaires à notre organisme. Elles participent au renouvellement cellulaires en remplaçant les cellules usées ou non-efficaces et en réparant les tissus et les cellules endommagées. Elles aident également à digérer, à respirer, protègent nos ongles, notre peau et nos cheveux et permettent la contraction des muscles.

Pour bien comprendre tout l’enjeux des bienfaits des protéines, il faut également se pencher sur leur composition. Elles sont constituées d’une ou de plusieurs chaînes d’acides aminés. Si il manque n’en serait-ce qu’un, la protéine ne peut jouer son rôle. Les acides aminés qui les composent peuvent se diviser en deux groupes : ceux que le corps sait fabriquer (12) et ceux qui sont obtenus pas le biais de l’alimentation (8).

Pour un adulte, 8 acides aminés sont essentiels : la leucine, l’isoleucine, la valine, la thréonine, la méthionine, la phénylalanine, le tryptophane et la lysine. Les œufs contiennent ces 8 acides aminés essentiels pour l’adulte, tout comme le quinoa. La volaille et la viande rouge ne contiennent pas de tryptophane, tandis que le poisson, lui, ne contient pas de phénylalanine. Le fromage ne produit pas la lysine, ni l’isoleucine. Le soja quant à lui ne contient pas de thréonine, ni de méthionine et de tryptophane. Les céréales (comme le riz, le maïs) ne contiennent pas de leucine, de valine, de thréonine, ni de phénylalanine. La leucine, la thréonine et le tryptophane ne se retrouvent pas dans les légumineuses comme les pois et les lentilles. Enfin, les fruits à coques ne contiennent « que » l’isoleucine, le phénylalanine et le tryptophane.

« En général dans nos pays, on n’est pas en carence, on est plutôt au-dessus de nos besoins ».

Il faut tout d’abord bien comprendre que les protéines ne se stockent pas, il faut en manger tous les jours. Cependant, si une personne ingère trop de protéines, cela peut engendrer une production d’urée et d’acide urique, qui surcharge le rein et qui est donc incapable de tout éliminer. Les déchets s’accumulent dans l’organisme, ce qui a pour effet de le fatiguer et de favoriser la prise de masse graisseuse.

Les besoins en protéines sont donc déterminés en fonction du poids : ils sont estimés à 0,8 à 0,9 g par kilo de poids idéal et par jour, avec des variations selon l’activité musculaire. Ils varient également en fonction de l’âge, du sexe, du poids, de la taille et de l’activité physique pratiquée. D’une manière générale, il est conseillé aux femmes d’en consommer environ 50 g par jour et les hommes peuvent aller jusqu’à 60 g.

Mais alors, vaut-il mieux privilégier les protéines animales, végétales, ou les deux ?

Les protéines animales ont un potentiel acidifiant dangereux pour l’organisme. Pour les carnivores, leur intestin, court, permet de dégrader et d’absorber la viande rapidement et contient l’urase, un enzyme précieux. Pour l’être humain, en raison de la longueur de nos intestins, la viande séjourne trop longtemps dans notre tube digestif… ce qui est propice à la formation de putrescences toxiques. Il convient donc de réduire sa portion de protéines animales, car pour tamponner cette acidité, l’organisme va puiser dans ses réserves minérales. Les os, cheveux, ongles et dents vont alors en payer le prix.

Si vous souhaitez manger moins de viande, vous pouvez opter pour du poisson (privilégier les poissons de débuts de chaîne, comme le maquereau ou le hareng, riche en oméga 3). Les œufs sont également une bonne alternative. Bien que le jaune d’œuf à la réputation d’être riche en cholestérol (environ 186 mg), cela permet à l’organisme d’en produire moins : « plus vous mangez de cholestérol, moins votre corps en produits lui-même ».

En ce qui concerne les protéines végétales, il est conseillé d’associer une céréale à une légumineuse pour rétablir l’équilibre entre tous les acides aminés essentiels (et ne pas dépasser la combinaison 2/3 de féculents pour 1/3 de légumineuse).

Quelques exemples de protéines végétales

Préférez les céréales complètes comme le riz, l’avoine, l’épeautre ou le blé. Le quinoa ou le sarrasin sont également conseillés. Associez-les aux lentilles, pois chiches, fèves, au soja sous toutes ses formes, aux petits-pois, aux haricots. Pensez également aux noix, aux amandes, aux graines de tournesol, de chanvre ou de sésame, ainsi qu’à l’avocat et aux oléagineux en général.

Par exemple, pour 100 g, la teneur en protéines des lentilles est de 10 g, les haricots rouges en contiennent 22,5 g et les haricots blancs 19,1 g. En ce qui concerne les proportions pour les légumineuses, on compte environ 60 à 75 g par personne pour un plat principal, et 30 g pour un accompagnement.

Et l’impact environnemental dans tout ça ?

En terme d’émission de gaz à effet de serre, d’après les données reprises par la FAO (Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture), pour un kilo de bœuf produit, on peut produire 2 kg de porc, 3 kg de poulet, 4,4 kg de thon, 10 kg de riz, 12 kg de yaourt, 13 kg de haricots, 13 kg de tofu, et 30 kg de lentilles… Pour produire un kilo de viande de bœuf, il faut 250 m² de surface, 10 kg de céréales et 13 000 litres d’eau. En comparaison, pour produire 1 kilo de céréales ou de légumineuses, il ne faut que 20 m² et 1 300 litres d’eau.

Selon l’organe de surveillance des aliments (Foodwatch) dans son «Rapport sur l’effet de serre dans l’agriculture conventionnelle et biologique en Allemagne» et publié par l’Institut de recherche pour une économie écologique (IOeW) et Foodwatch Allemagne, un repas sans viande et sans produit laitier (en agriculture conventionnelle), produit un effet de serre équivalent à 629 km parcourus, tandis qu’un repas avec viande et produit laitier produit l’équivalent de 4 758 km.




L’association des femmes au nom de Vishnou

Il est à Trivandrum, une institution incontournable pour tous celles et ceux que les luttes féministes et pour l’émancipation des femmes concernent ; il s’agit d’une ONG au nom compliqué pour un Français moyen , Sreevaraham Vanitha Samithi (SVS). Traduit en bon Français, cela donne l’association des femmes au nom du Seigneur Varaha, Varaha étant un des nombreux avatars du dieu hindou Vishnou.

Cette ONG doit son nom, non à une affiliation religieuse mais à la proximité d’un temple hindou dédié à ce dieu dont la particularité est d’avoir mené un combat de 1.000 ans pour sauver la planète Terre, tout un symbole en somme.

Cette association de bienfaisance a été créée en 1913 par des femmes de la haute société kéralaise mais n’acquit son véritable statut d’association qu’en 1957. Grâce à de puissants soutiens politiques au début, l’association a obtenu un bail emphytéotique de l’Etat sur une très grande parcelle sur laquelle fut bâti progressivement l’établissement actuel. Ce fut d’abord une clinique en 1957 puis des classes pré-scolaires et un centre de formation artisanale. L’école fut construite en 1961 ainsi que le théâtre des enfants, inauguré le 28 février 1969, il y a tout juste 50 ans.

Sont venus se greffer sur ces activités des services sociaux de proximité, une bibliothèque scolaire à laquelle est jumelée une bibliothèque ambulante à destination principalement des personnes âgées confinées chez elles.

Une vue de la façade du SVS/ crédit photo : Dominique Guizien

Les activités de SVS aujourd’hui

 

Un centre de formation et de production artisanale

Tout au long de l’année, des femmes issues des quartiers pauvres avoisinants (30 femmes par promotion) viennent s’initier à des techniques artisanales de production, dans le but d’en faire leur gagne-pain. Les formations vont de 2-3 jours à 3-6 mois. Le cycle normal de progression pour ces femmes est stagiaire puis salariée rémunérée et pour les plus douées d’entre elles entrepreneures voire formatrice, dans un processus d’émancipation progressif. Les productions artisanales sont très variées : reliure de livres, peinture sur tissu, peinture murale, peinture sur verre, embossage métallique, fabrication de savons, détergents et lotions fabrication de décorations pour Noël et les mariages, fabrication de bougies, de jouets en tissu, fabrication de cuiseur thermique, fabrication de sacs et filets à provision, de bijoux et d’articles en perles. Elles apprennent également la cuisine et la nutrition. De fait, plusieurs femmes ont créée leur propre activité de traiteurs à partir de chez elles, pour des petits et grands événements du quartier.

Une partie de la production de bijoux

 

Travaux de perles

 

Peinture sur tissu

 

Ouvrage en papier plié

 

Un ornement de trompe d’éléphant en métal embossé

 

Une partie des stagiaires

 

La formatrice principale (à gauche), ancienne stagiaire, à côté d’une de ses stagiaires, future formatrice.

Un groupe scolaire privé

Dans ces locaux, les enfants sont scolarisés de l’âge de 4 ans jusqu’à l’âge de 10-11 ans, avec une moyenne de 25 enfants (garçons et filles) par classe. Pour compléter cet équipement scolaire, il y a également une crèche qui accueille les plus petits à partir de 2-3 ans. La fierté de SVS est sa bibliothèque mais au fil du temps son fonds documentaire s’est étiolé et SVS aurait besoin d’un coup de pouce pour remettre à niveau son offre de livres.

Un centre social de quartier

En outre, SVS poursuit ses activités dans le domaine de la santé, de la culture et de l’ouverture des consciences à travers un programme de séminaires et de conférences visant à l’émancipation des femmes. On y traite de Santé, de violences faites aux femmes, de gestion des déchets, de préservation de l’eau, de maitrise de l’énergie, d’utilisation d’appareils à énergie solaire, de conservation des aliments mais aussi de cuisine. Des « camp de santé » sont organisés pour les femmes et leurs enfants mais sont aussi ouverts à tous publics, des séances de massage Ayurveda , d’apprentissage des soins infirmiers à domicile, des cours d’éducation à la vie pour les jeunes filles, sur l’importance des valeurs humaines, l’éducation et le développement personnel complètent cette offre sociale.

Un théâtre

Le théâtre des enfants a 50 ans d’existence et a connu de grandes heures avec le passage de grande vedettes de la chanson indienne. Ce fut également un équipement de quartier apprécié notamment pour l’organisation de fêtes familiales et de mariages. Mais les années passant, cet équipement exceptionnel s’est beaucoup détérioré, faute de financements disponibles pour effectuer l’entretien courant. Reste donc une magnifique salle de théâtre de 600 places qui aurait bien besoin d’un coup de pouce financier pour jouer de nouveau son rôle d’équipement culturel de quartier.

Pour en savoir plus sur SVS :

sreevaraham vanitha saminthi

https://www.freeofme.com/groups/view/36149/sreevaraham-vanitha-samithi




L’association RespectOcean a un nouveau site internet pour mettre ses actions en valeur

RespectOcean, le réseau des acteurs engagés pour un développement économique durable en faveur de la protection des océans, a un tout nouveau site internet, pour permettre une navigation plus fluide.

Initiée en 2013 par Raphaëla le Gouvello, l’association RespectOcean promeut une « économie bleue plus durable », c’est-à-dire une activité économique liée aux océans, aux mers et aux zones côtières respectueuse de l’environnement. L’association s’emploie à fédérer et représenter tous les acteurs qui s’engagent pour ce développement économique plus durable.

« Il devient impératif de protéger, préserver et restaurer la santé des océans ».

L’association agit sur plusieurs points et mène plusieurs actions, dont l’identification et la promotion des bonnes pratiques et innovations des membres de l’association, la co-rédaction, révision et acceptation d’une charte commune d’engagement de tous ses membres, un accompagnement de ces derniers dans leur cheminement vers un développement durable, par une mise en réseau, des actions de concertation ainsi que des conférences.

Pour mettre en valeur toutes ses actions et faire vivre et animer le réseau de RespectOcean, l’association a un tout nouveau site internet. Mis en ligne le 22 janvier 2019, il a été entièrement refondu et modernisé afin de permettre une « navigation plus fluide, ergonomique et repensée afin que le site soit lisible sur un grand nombre de plateformes ».

Retrouvez-le ICI.