Travail qui relie et communication non-violente : nous proposons de faire se rencontrer ces deux pratiques au sein d’un atelier de la Samain, qui explore et questionne la place des émotions dans nos vies, nos sociétés, notre Histoire – en cette époque si particulière.
Mettre notre conscience sensible au service de nos engagements, nos actions pour la Terre.
Le travail qui relie (the Work that reconnects) est un ouvrage en groupe permettant d’écouter nos sentiments de désespoir ou d’impuissance face à l’ampleur de la crise écologique et sociale. Il relie l’implication dans l’action aux dimensions corporelles, émotionnelles et spirituelles. Les exercices pratiques et les expériences qu’il propose nous aident à transformer notre inquiétude en engagement créatif. Il contribue à l’émergence d’une « éco-conscience ».
La Communication Non Violente (CNV) est une démarche qui met en lumière ce qui facilite ou entrave la relation, en développant une conscience accrue des liens entre nos émotions et nos choix quotidiens. Elle aide à renouer avec une écoute plus profonde de soi-même et de l’autre, et à retrouver la bienveillance et l’empathie que nous portons naturellement en nous, à partir de la vision fondamentale que tous les êtres humains ont les mêmes besoins.
Pendant ces deux jours, nous cheminerons sur la spirale d’écologie profonde en prenant du recul sur ce que nous accomplissons ainsi, et nous célébrerons l’entrée dans l’hiver.
Participation libre en conscience (minimum logistique de l’ordre de 50€). Repas coopératifs, hébergement collectif en gîte. Détails de l’organisation co-gérée par mails quelques jours avant.
L’atelier aura lieu à Kerslow (la Maliguen, 56430 Concoret) et à Ty Lizmaël (2, abbaye Penguily, 56 430 Mauron) du vendredi 30 octobre 2020 à 18h au dimanche 1er novembre à 17h.
